Il fait beau aujourd'hui. Au réveil, lorsque nous ouvrons les volets de notre chambre nous profitons de cet oranger. Malgré la couleur, ce sont en effet des oranges et non pas des citrons. Il faudra attendre encore un peu avant de pouvoir les manger.
Nous décidons de passer la journée de dimanche, ici à Bogliasco et allons sortir à plusieurs reprises dans la journée pour voir un spectacle qui nous donne parfois le frisson.
Débutons ce billet par un petit tour de la ville et ses monuments les plus emblématiques.
L'un d'entre eux est la gare que nous allons fréquenter tous les jours.
La SS1 passe sous un tunnel et évite le centre du village.
Notons en effet que la plupart des rues de Bogliasco sont extrêmement étroites sur le modèle de celle-ci qui m'a donné des frayeurs lorsque nous l'avons empruntée à notre arrivée.
Piazza Trento e Trieste il ya le Monument aux Morts, il Monumento ai Caduti juste à côté du Santuario di Nostra Signora delle Grazie et de la Chiesa di Santa Chiara.
Les bancs arc-en-ciel pour la diversité sont visibles dans de nombreuses communes.
Nous faisons nos achats de produits locaux, dont de délicieux grissoni,
sur le marché situé Piazza XXVI Aprile où l'on peut voir une voisine, la Chiesa della Natività di Maria Santissima.
Au port, c'est le Ponte Romano; le Pont Romain; la véritable star du village.
Tout comme ce goëland, nous allons regarder le spectacle que nous offre la mer durant des heures.
La tempête passée, celle à venir et les grandes marées vont nous permettre d'avoir un souvenir inoubliable de ce séjour. Nous avons ici une pensée pour les victimes de ce déchaînement naturel car si nous avons profité de ce moment, beaucoup ont souffert de ces nombreux facteurs météorologiques.
L'accès à toutes les plages est interdit et le restera encore plusieurs jours.
Voici quelques photos impressionnantes en commençant par ces maisons qui semblent se faire avaler par la mer.
Sur la série de clichés suivants, il faut imaginer la plage perdue sous les eaux déchaînées.
Au port, nous sommes témoins des débris laissés par le passage de la première tempête.
Plus on regarde les vagues au cours de la journée, plus on a l'impression qu'elle prennent en force, en violence, en taille si bien que nous ne savons plus trop si nous sommes au bord de la Méditerranée ou au bord de l'Atlantique ?
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