Si vous passez par Villeurbanne un soir et que vous voyez des lampes frontales s'agiter tout en haut d'un immeuble, n'ayez crainte, ce ne sont pas des cambrioleurs mais Frédéric et moi qui sommes partis à la chasse à l'otiorhynque.
Kézako ?
L'otiorhynque est un insecte de l'espèce des charançons qui n'a que deux idées en tête : se reproduire et manger.
En matière de reproduction il n'a aucun mal puisqu'il est hermaphrodite et n'a donc pas besoin d'un ou d'une partenaire pour se multiplier. Il peut pondre jusqu'à 800 œufs qui donneront naissance à 800 larves puis à 800 nouveaux otiorhynque. Le problème de cet insecte c'est que sous forme de larve il se goinfre des racines des végétaux alors que lorsqu'il devient adulte, il dévore les feuilles de n'importe quelle plante à vitesse grand V en laissant derrière lui des dentelles de feuilles.
Depuis l'an dernier, nous avions assisté à cette attaque sur nos feuilles sans connaître le coupable de ces dévastations.
Il y a quelques jours, grâce à des recherches sur Internet, nous avons découvert à quoi il ressemblait et à graver son nom dans notre mémoire : otiorhynque.
Hier au soir, tandis qu'il faisait nuit, nous avons eu la chance d'en voir un car en plus d'être un insecte dévastateur, il est très intelligent. Il ne commet ses crimes que la nuit ! Avec la lumière de notre portable nous avons pu l'attraper et en cherchant bien nous en avons trouvé une bonne dizaine. Le remède pour s'en débarrasser est simple : les anéantir en les écrasant et amener des nématodes (vers microscopiques) qui se chargeront de manger les larves. Les nématodes ne pouvant être installées dans nos jardinières que mi-mars et mi-septembre, nous allons devoir chausser nos lampes frontales et partir à l'anéantissement de ces vilaines petites bêtes si nous voulons conserver nos arbustes encore longtemps.
Nous allons nous amuser car ils ont la couleur de la terre et ont la particularité, dès qu'ils se sentent repérés de faire le mort et de disparaître tels des caméléons.
Hier nous avons réussi à en tuer 10 (ils sont super durs à écraser car ils possèdent une carapace) ce qui nous a sauvé de pas moins de 8 000 larves qui seraient devenus 8 000 autres congénères !
Nous n'osons imaginer le nombre qui réside chez nous. Ces bestioles vivent au moins trois ans et les larves peuvent rester dans le seul entre un et deux ans.
La chasse ne fait que commencer...
dimanche 30 juin 2019
samedi 29 juin 2019
A cause d'Adèle
A peu près deux fois par an, nous nous rendons au Théâtre Métro Ateliers dans le 2e arrondissement de Lyon pour assister à l'une des représentations données par les Bob'Arts sous la direction de Jean-Claude Martin.
Hier au soir, c'était une adaptation d'une pièce de 2008 de Rémi de Vos Le ravissement d'Adèle.
Dans un village, quelque part en France, la jeune Adèle disparaît.
Des affiches informant de sa disparition sont placardées un peu partout ce qui va entraîner les habitants dans une hystérie collective ou certains seront suspects, d'autres victimes de la rumeur le tout sous l’œil de l'incompétent Inspecteur Corentin Falière. Le père d'Adèle, sa belle-mère, sa grand-mère mais également l'institutrice, sa fille, Gaëtan le jeune zonard dont la fille de l'institutrice tombe sous le charme, le boucher et son épouse, le simplet jardinier municipal, l'ivrogne membre de la battue à la recherche d'Adèle vont semer la zizanie. Mais qu'à pu devenir Adèle ?...
Même si nous avions beaucoup d'appréhension sur les températures qu'il allait faire dans ce tout petit théâtre, l'équipe des Bob'Arts a tout fait pour nous rendre la représentation agréable en ventilant au maximum la pièce ce qui nous a donné, durant une bonne partie de la soirée, une sensation de fraîcheur. En plus, il y avait des bouteilles d'eau à disposition.
Leur talent a été une nouvelle fois confirmé et mis en avant grâce à une mise en scène très inventive. Quelle bonne idée de faire jouer des peluches dans le rôle des enfants de la classe de l'institutrice.
Nous n'avons pas vu le temps passer.
Encore un grand bravo aux Bob'Arts; Gwendaël Avignon, Guillaume Boujeant, Anne-France Bruneel, Céline Darniot, Berthine Déliry, Mélanie De Sousa, Eloïse De Carvalho, Sébastien Guignard, Jean-Baptiste Lucazeau, qui, à chaque fois, réussissent à nous surprendre et à nous divertir.
A notre sortie, nous avons été surpris car le vent du Nord s'étant levé, il a permis l'arrivée d'air frais tant attendu. Nous avons profité d'une terrasse sur la Place Carnot pour sentir ce vent venir faire descendre les températures caniculaires, baisse sensible durant la nuit qui nous a enfin autorisé à passer une nuit... au frais avant le retour des chaudes températures de ce samedi.
Hier au soir, c'était une adaptation d'une pièce de 2008 de Rémi de Vos Le ravissement d'Adèle.
Dans un village, quelque part en France, la jeune Adèle disparaît.
Des affiches informant de sa disparition sont placardées un peu partout ce qui va entraîner les habitants dans une hystérie collective ou certains seront suspects, d'autres victimes de la rumeur le tout sous l’œil de l'incompétent Inspecteur Corentin Falière. Le père d'Adèle, sa belle-mère, sa grand-mère mais également l'institutrice, sa fille, Gaëtan le jeune zonard dont la fille de l'institutrice tombe sous le charme, le boucher et son épouse, le simplet jardinier municipal, l'ivrogne membre de la battue à la recherche d'Adèle vont semer la zizanie. Mais qu'à pu devenir Adèle ?...
Même si nous avions beaucoup d'appréhension sur les températures qu'il allait faire dans ce tout petit théâtre, l'équipe des Bob'Arts a tout fait pour nous rendre la représentation agréable en ventilant au maximum la pièce ce qui nous a donné, durant une bonne partie de la soirée, une sensation de fraîcheur. En plus, il y avait des bouteilles d'eau à disposition.
Leur talent a été une nouvelle fois confirmé et mis en avant grâce à une mise en scène très inventive. Quelle bonne idée de faire jouer des peluches dans le rôle des enfants de la classe de l'institutrice.
Nous n'avons pas vu le temps passer.
Encore un grand bravo aux Bob'Arts; Gwendaël Avignon, Guillaume Boujeant, Anne-France Bruneel, Céline Darniot, Berthine Déliry, Mélanie De Sousa, Eloïse De Carvalho, Sébastien Guignard, Jean-Baptiste Lucazeau, qui, à chaque fois, réussissent à nous surprendre et à nous divertir.
A notre sortie, nous avons été surpris car le vent du Nord s'étant levé, il a permis l'arrivée d'air frais tant attendu. Nous avons profité d'une terrasse sur la Place Carnot pour sentir ce vent venir faire descendre les températures caniculaires, baisse sensible durant la nuit qui nous a enfin autorisé à passer une nuit... au frais avant le retour des chaudes températures de ce samedi.
jeudi 27 juin 2019
41° à l'ombre de Villeurbanne
On connaissait l'émission en direct diffusée durant l'été de 1987 à 1997 40° à l'ombre de la 3 et présentée successivement par Caroline Tresca, Marc Bessou, Vincent Perrot, Pascal Sanchez, Sylvain Augier, Marie-Ange Nardi, Thierry Beccaro, Isabelle Martinet et Patrice Laffont.
Hier, on a connu 41° à l'ombre de Villeurbanne !
C'est en effet la température relevée sur notre terrasse côté Nord vers 18h00.
A 5h50 il ne faisait plus que 25°c donnant une impression de fraîcheur... alors que bien entendu c'est déjà une température très élevée pour l'horaire.
Outre la chaleur, la pollution est présente sur la ville et la Métropole.
Elle a sans doute, même si on nous dira le contraire, été amplifiée avec cet impressionnant panache de fumée noire provoqué par l'incendie d'un entrepôt de plastiques à Saint-Priest.
On a intérêt à encore plus rincer nos légumes...
Hier, on a connu 41° à l'ombre de Villeurbanne !
C'est en effet la température relevée sur notre terrasse côté Nord vers 18h00.
A 5h50 il ne faisait plus que 25°c donnant une impression de fraîcheur... alors que bien entendu c'est déjà une température très élevée pour l'horaire.
Outre la chaleur, la pollution est présente sur la ville et la Métropole.
Elle a sans doute, même si on nous dira le contraire, été amplifiée avec cet impressionnant panache de fumée noire provoqué par l'incendie d'un entrepôt de plastiques à Saint-Priest.
On a intérêt à encore plus rincer nos légumes...
mercredi 26 juin 2019
기생충 / Parasite
Hier au soir, nous sommes partis au cinéma Lumière Terreaux pour aller voir un film sud-coréen qui a reçu la Palme d'Or du Festival de Cannes de 2019 et nous l'avouons, c'est bien l'un des premiers films ayant reçu cette distinction qui nous donne envie.
C'est donc sous une température accablante de 36,9 degrés que nous arrivons dans la salle climatisée du cinéma.
Parasite est diffusé en V.O. : 기생충.
Ki-taek est au chômage tout comme son épouse, Chung-sook et leurs deux enfants, Ki-woo le fils et Ki-jung la fille. La famille vit dans un minuscule appartement situé au niveau d'une cave. Ils parviennent à avoir un tout petit peu d'argent en mettant en forme des boîtes de pizzas. Ils ont toutefois accès à Internet sur leurs smartphones en utilisant les réseaux Wifi de leurs voisins. Un jour, un ami de Ki-woo, Park Seo-joon lui propose de le remplacer pour donner des cours d'anglais à une jeune étudiante dont la famille est extrêmement riche. Ki-woo se retrouve donc dans une immense et moderne villa pour rencontrer Madame Park, la mère de l'étudiante à qui il doit donner ses cours. Madame et Monsieur Park ont également un jeune fils hyperactif qui peint. Malheureusement, aucun de ses professeurs particuliers n'ont la patience de lui donner des cours. Ki-woo explique qu'il connaît quelqu'un dans son entourage qui pourrait devenir son professeur d'art-thérapie. Ce que Madame Park ne sait pas c'est qu'il a l'intention de faire embaucher sa sœur. La gentillesse et la naïveté de son employeuse lui donne d'autres idées...
Nous avons vraiment beaucoup aimé l'histoire de cette famille qui est prête à tout pour sortir de la pauvreté, sans trop en faire. Bong Joon-ho, réalisateur et scénariste nous offre un petit bijou du cinéma. Il mêle l'humour, le suspens, le drame en nous bluffant par ses effets de surprise, de peur, d'horreur, d'humour. Nous ne nous doutons pas un seul instant de la direction que va prendre l'histoire et à aucun moment nous trouvons de longueur. Même le fait de le regarder en sud-coréen, langue que nous ne pratiquons absolument pas n'est pas un frein. Nous aimons la manière dont il filme et plus particulièrement une scène où les héros ne semblent jamais cesser de descendre des escaliers histoire de montrer où ils se trouvent dans la société. Nous sommes à la fois attendris par la famille pauvre mais aussi par celle riche car chacun des membres de ces familles ont leurs faiblesses et leurs forces.
Parasite est un grand film, sans doute le meilleur de cette année 2019 à voir d'urgence et à revoir en ce qui nous concerne.
A noter que Bong Joon-ho devrait être présent au prochain Festival du Cinéma Lumière.
En sortant de la salle, il m'a fallu un moment pour réaliser que nous nous trouvions à Lyon car j'avais l'impression d'avoir été transporté en Corée du Sud et d'avoir été témoin des scènes que je venais de voir.
C'est donc sous une température accablante de 36,9 degrés que nous arrivons dans la salle climatisée du cinéma.
Parasite est diffusé en V.O. : 기생충.
Ki-taek est au chômage tout comme son épouse, Chung-sook et leurs deux enfants, Ki-woo le fils et Ki-jung la fille. La famille vit dans un minuscule appartement situé au niveau d'une cave. Ils parviennent à avoir un tout petit peu d'argent en mettant en forme des boîtes de pizzas. Ils ont toutefois accès à Internet sur leurs smartphones en utilisant les réseaux Wifi de leurs voisins. Un jour, un ami de Ki-woo, Park Seo-joon lui propose de le remplacer pour donner des cours d'anglais à une jeune étudiante dont la famille est extrêmement riche. Ki-woo se retrouve donc dans une immense et moderne villa pour rencontrer Madame Park, la mère de l'étudiante à qui il doit donner ses cours. Madame et Monsieur Park ont également un jeune fils hyperactif qui peint. Malheureusement, aucun de ses professeurs particuliers n'ont la patience de lui donner des cours. Ki-woo explique qu'il connaît quelqu'un dans son entourage qui pourrait devenir son professeur d'art-thérapie. Ce que Madame Park ne sait pas c'est qu'il a l'intention de faire embaucher sa sœur. La gentillesse et la naïveté de son employeuse lui donne d'autres idées...
Nous avons vraiment beaucoup aimé l'histoire de cette famille qui est prête à tout pour sortir de la pauvreté, sans trop en faire. Bong Joon-ho, réalisateur et scénariste nous offre un petit bijou du cinéma. Il mêle l'humour, le suspens, le drame en nous bluffant par ses effets de surprise, de peur, d'horreur, d'humour. Nous ne nous doutons pas un seul instant de la direction que va prendre l'histoire et à aucun moment nous trouvons de longueur. Même le fait de le regarder en sud-coréen, langue que nous ne pratiquons absolument pas n'est pas un frein. Nous aimons la manière dont il filme et plus particulièrement une scène où les héros ne semblent jamais cesser de descendre des escaliers histoire de montrer où ils se trouvent dans la société. Nous sommes à la fois attendris par la famille pauvre mais aussi par celle riche car chacun des membres de ces familles ont leurs faiblesses et leurs forces.
Parasite est un grand film, sans doute le meilleur de cette année 2019 à voir d'urgence et à revoir en ce qui nous concerne.
A noter que Bong Joon-ho devrait être présent au prochain Festival du Cinéma Lumière.
En sortant de la salle, il m'a fallu un moment pour réaliser que nous nous trouvions à Lyon car j'avais l'impression d'avoir été transporté en Corée du Sud et d'avoir été témoin des scènes que je venais de voir.
mardi 25 juin 2019
Le Pont Samuel-De Champlain
Je réfléchissais qu'il y a 20 ans, en juin 1999, je me rendais pour la première fois au Canada pour rendre visite à ma famille du Québec.
J'ai eu la chance d'y retourner trois fois déjà et nous y retournerons assurément pour leur rendre visite ainsi qu'à nos amis mais également pour voir de nos yeux les changements qui ont lieu actuellement au Québec.
Montréal, comme toutes les villes du monde, ne cesse de modifier sa physionomie.
Depuis ce matin, le Pont Champlain inauguré le 28 juin 1962 et que l'on reconnaît à son armature métallique est à la retraite.
Il était long de 3 440 mètres et large de 23,80 mètres. Il sera, sur plusieurs années, entièrement démonté.
Mais comment va se faire le trafic de l'A10, de l'A15 et de l'A20 qui l'empruntaient ?
Qu'on se rassure.
A quelques mètres de là a été construit un nouveau pont, le Pont Samuel-De Champlain.
D'une longueur de 3 400 mètres, plus court de 40 mètres mais d'une largeur de 60 mètres soit bien plus large que son prédécesseur.
Fini la structure métallique, place au pont suspendu.
L'illumination est annoncée comme exceptionnelle et sa couleur peut varier.
C'est aujourd'hui qu'il a été inauguré dans le sens Montréal mais il faudra patienter le 1er juillet prochain pour l'ouverture en direction de la rive Sud.
Voici le direct diffusé sur les antennes de la chaîne d'information québécoise : ICI RDI .
J'ai eu la chance d'y retourner trois fois déjà et nous y retournerons assurément pour leur rendre visite ainsi qu'à nos amis mais également pour voir de nos yeux les changements qui ont lieu actuellement au Québec.
Montréal, comme toutes les villes du monde, ne cesse de modifier sa physionomie.
Depuis ce matin, le Pont Champlain inauguré le 28 juin 1962 et que l'on reconnaît à son armature métallique est à la retraite.
Il était long de 3 440 mètres et large de 23,80 mètres. Il sera, sur plusieurs années, entièrement démonté.
Mais comment va se faire le trafic de l'A10, de l'A15 et de l'A20 qui l'empruntaient ?
Qu'on se rassure.
A quelques mètres de là a été construit un nouveau pont, le Pont Samuel-De Champlain.
D'une longueur de 3 400 mètres, plus court de 40 mètres mais d'une largeur de 60 mètres soit bien plus large que son prédécesseur.
Fini la structure métallique, place au pont suspendu.
L'illumination est annoncée comme exceptionnelle et sa couleur peut varier.
C'est aujourd'hui qu'il a été inauguré dans le sens Montréal mais il faudra patienter le 1er juillet prochain pour l'ouverture en direction de la rive Sud.
Voici le direct diffusé sur les antennes de la chaîne d'information québécoise : ICI RDI .
lundi 24 juin 2019
Première alerte canicule de l'été 2019
On nous prévient depuis plusieurs jours, la première canicule de l'été est en train de s'installer sur le pays.
Il fait actuellement 33,4°c à Villeurbanne mais les météorologistes nous annoncent que nous pourrions passer les 40°c dans les jours qui viennent voir dépasser les records de juin 1947 ou d'août 2003 car ces fortes températures sont accompagnées d'humidité.
Ce qui est pénible dans ces périodes de canicule dont nous prenons malheureusement l'habitude c'est lorsque les températures descendent à peine la nuit ce qui provoquent des nuits difficiles.
Pour la première fois cependant, nous devrions moins ressentir ces grosses chaleurs puisque nous allons tester une climatisation mobile installée ce week-end.
Pour tous, nous rappelons les quelques règles à appliquer durant ces journées difficiles pour nos organismes.
Il fait actuellement 33,4°c à Villeurbanne mais les météorologistes nous annoncent que nous pourrions passer les 40°c dans les jours qui viennent voir dépasser les records de juin 1947 ou d'août 2003 car ces fortes températures sont accompagnées d'humidité.
Ce qui est pénible dans ces périodes de canicule dont nous prenons malheureusement l'habitude c'est lorsque les températures descendent à peine la nuit ce qui provoquent des nuits difficiles.
Pour la première fois cependant, nous devrions moins ressentir ces grosses chaleurs puisque nous allons tester une climatisation mobile installée ce week-end.
Pour tous, nous rappelons les quelques règles à appliquer durant ces journées difficiles pour nos organismes.
dimanche 23 juin 2019
Agatha Raisin : vacances tous risques
C'est déjà la cinquième enquête d'Agatha Raisin que je lis.
Celle-ci l'embarque à Chypre à la recherche de son voisin James Lacey qu'elle devait épouser et qui s'est finalement fait la malle sur l'île de Chypre car Agatha ne lui avait pas dit que son mari était encore vivant. (cf. lire Pour le meilleur et pour le pire que je n'ai pas lu !) Forcément partout où passe Agatha, une personne trépasse. Mais cette fois, elle devra changer de partenaire car James soit lui fait la tête, soit disparaît en Turquie...
Cette nouvelle aventure est loin d'être ma préférée et même elle est plutôt agaçante car Agatha et James semblent tourner en rond. En plus, l'arrivée de l'ami de James, Charles; déjà rencontré dans Randonnée mortelle; vient perturber le duo quitte à le faire éclater. L'enquête quant à elle reste fort heureusement dans le même esprit.
Oh, tiens, et quel hasard, c'est ce soir que France 3 diffuse la deuxième saison et je trouve que la série TV est presque plus réussie que les livres car il y a un peps qu'il n'y a pas dans les livres.Il faut dire que les histoires dans les livres se déroulent dans les années 90 alors que dans la série elles se déroulent actuellement.
Celle-ci l'embarque à Chypre à la recherche de son voisin James Lacey qu'elle devait épouser et qui s'est finalement fait la malle sur l'île de Chypre car Agatha ne lui avait pas dit que son mari était encore vivant. (cf. lire Pour le meilleur et pour le pire que je n'ai pas lu !) Forcément partout où passe Agatha, une personne trépasse. Mais cette fois, elle devra changer de partenaire car James soit lui fait la tête, soit disparaît en Turquie...
Cette nouvelle aventure est loin d'être ma préférée et même elle est plutôt agaçante car Agatha et James semblent tourner en rond. En plus, l'arrivée de l'ami de James, Charles; déjà rencontré dans Randonnée mortelle; vient perturber le duo quitte à le faire éclater. L'enquête quant à elle reste fort heureusement dans le même esprit.
Oh, tiens, et quel hasard, c'est ce soir que France 3 diffuse la deuxième saison et je trouve que la série TV est presque plus réussie que les livres car il y a un peps qu'il n'y a pas dans les livres.Il faut dire que les histoires dans les livres se déroulent dans les années 90 alors que dans la série elles se déroulent actuellement.
samedi 22 juin 2019
N'Soleh aux Invites de Villeurbanne
Après avoir mangé une paella au village des associations, nous nous sommes installés dans les gradins installés Rue Léon Chomel pour assister au spectacle donné par un groupe de la Côte d'Ivoire : N'Soleh.
Annoncé pour une durée d'une heure, le spectacle a été nettement plus long pour notre plus grand plaisir.
Quelle énergie ont ces danseuses et danseurs sur scène. Ils n'arrêtent pas une seconde.
Nous passons encore un bon moment à cette édition 2019 des Invites et partons Avenue Henri Barbusse où le vert domine.
Nous assistons aux dernières notes de la chanteuse Bakel (dommage, ses chansons avaient l'air bien) avant que la pluie ne s'invite aux Invites !
Protégés un temps par les feuilles des arbres, nous découvrons le défilé de la foule power avec des bénévoles de la ville qui exécutent un défilé de mode avec des habits donnés et restaurés histoire de dire qu'au lieu de jeter nos vieux habits, il y a moyen de leur donner une deuxième vie. De grands écrans montrent la bêtise de notre société de consommation. J'ai retenu un chiffre : une voiture est produite toutes les deux secondes dans le monde !
Gênés par la pluie, nous rentrons à la maison en métro.
Annoncé pour une durée d'une heure, le spectacle a été nettement plus long pour notre plus grand plaisir.
Quelle énergie ont ces danseuses et danseurs sur scène. Ils n'arrêtent pas une seconde.
Nous passons encore un bon moment à cette édition 2019 des Invites et partons Avenue Henri Barbusse où le vert domine.
Nous assistons aux dernières notes de la chanteuse Bakel (dommage, ses chansons avaient l'air bien) avant que la pluie ne s'invite aux Invites !
Protégés un temps par les feuilles des arbres, nous découvrons le défilé de la foule power avec des bénévoles de la ville qui exécutent un défilé de mode avec des habits donnés et restaurés histoire de dire qu'au lieu de jeter nos vieux habits, il y a moyen de leur donner une deuxième vie. De grands écrans montrent la bêtise de notre société de consommation. J'ai retenu un chiffre : une voiture est produite toutes les deux secondes dans le monde !
Gênés par la pluie, nous rentrons à la maison en métro.
vendredi 21 juin 2019
Fête de la musique, faites de la musique
En ce premier jour de l'été, jour de l'anniversaire de mon papa, c'est également la 32e Fête de la Musique.
A Villeurbanne, la Fête de la Musique est intégrée dans le festival des Invites.
Comme hier, la météo étant très orageuse, nous ne savons pas encore si nous allons pouvoir nous y rendre car il pleut pas mal depuis quelques heures sur la Métropole.
Mais profitons de cette agréable fraîcheur car on nous annonce pour la semaine prochaine l'arrivée de la première canicule de l'année 2019 avec des températures attendues entre 35 et 40°c à l'ombre !
Il va être normalement difficile de trouver de la fraîcheur dès dimanche dans notre région...
A Villeurbanne, la Fête de la Musique est intégrée dans le festival des Invites.
Comme hier, la météo étant très orageuse, nous ne savons pas encore si nous allons pouvoir nous y rendre car il pleut pas mal depuis quelques heures sur la Métropole.
Mais profitons de cette agréable fraîcheur car on nous annonce pour la semaine prochaine l'arrivée de la première canicule de l'année 2019 avec des températures attendues entre 35 et 40°c à l'ombre !
Il va être normalement difficile de trouver de la fraîcheur dès dimanche dans notre région...
jeudi 20 juin 2019
Lindigo Connexion aux Invites de Villeurbanne
Hier débutait les Festival entièrement gratuit des Invites à Villeurbanne.
Comme à chaque fois que nous le pouvons et que la météo le permet, nous nous y rendons.
Les Gratte-Ciels et les futurs Gratte-Ciels; d'ailleurs où auront lieu les Invites lorsque les Gratte-Ciels II seront sortis de terre ?; sont rendus aux piétons.
Deux vastes zones pour manger ont été installées et les associations villeurbannaises proposent des repas dont une partie de l'argent est distribué à des œuvres caritatives.
Nous décidons de manger des assiettes découvertes des cuisines du Bénin et du Liban (ci-dessous celles du Liban)
Nous mangeons en profitant du concert donné par Grail'Oli.
C'est pas mal mais faute de sono, on ne les entend que difficilement.
Le concert auquel nous assistons ensuite est donné par un groupe venant tout droit de La Réunion : Lindigo qui s'est associé avec d'autres musiciens; Fixi, Jori Collignon, Gino Bombrini, René Lacaille, Pongo et Yarol Poupaud; créant Lindigo Connexion.
Le genre musical est typique de La Réunion : le maloya.
C'est d'ailleurs en créole réunionnais que le chanteur s'exprime rendant difficile pour nous autres la compréhension mais en gros on arrivait à voir ce qu'il voulait dire.
Ce soir, nous scrutons le ciel en nous répétant : on y va ? on y va pas ?
Il faut dire que les orages se sont installés sur la région et que plusieurs ont déjà éclaté dans la journée.
Comme à chaque fois que nous le pouvons et que la météo le permet, nous nous y rendons.
Les Gratte-Ciels et les futurs Gratte-Ciels; d'ailleurs où auront lieu les Invites lorsque les Gratte-Ciels II seront sortis de terre ?; sont rendus aux piétons.
Deux vastes zones pour manger ont été installées et les associations villeurbannaises proposent des repas dont une partie de l'argent est distribué à des œuvres caritatives.
Nous décidons de manger des assiettes découvertes des cuisines du Bénin et du Liban (ci-dessous celles du Liban)
Nous mangeons en profitant du concert donné par Grail'Oli.
C'est pas mal mais faute de sono, on ne les entend que difficilement.
Le concert auquel nous assistons ensuite est donné par un groupe venant tout droit de La Réunion : Lindigo qui s'est associé avec d'autres musiciens; Fixi, Jori Collignon, Gino Bombrini, René Lacaille, Pongo et Yarol Poupaud; créant Lindigo Connexion.
Le genre musical est typique de La Réunion : le maloya.
C'est d'ailleurs en créole réunionnais que le chanteur s'exprime rendant difficile pour nous autres la compréhension mais en gros on arrivait à voir ce qu'il voulait dire.
Le groupe a très rapidement enflammé le public et deux des membres, dont le super danseur au triangle (qu'on entend franchement pas !) n'ont pas hésité à descendre avec le public pour nous entraîner dans une danse dynamique.

Notre première soirée a été très agréable.Ce soir, nous scrutons le ciel en nous répétant : on y va ? on y va pas ?
Il faut dire que les orages se sont installés sur la région et que plusieurs ont déjà éclaté dans la journée.
mardi 18 juin 2019
Rocketman
Non Rocketman n'est pas un énième super-héros mais le titre d'une chanson d'Elton John sortie en 1972 et depuis peu celui du titre du film de la biographie musicale de ce chanteur britannique aux 33 albums.
Elton John surgit dans une réunion des alcooliques anonymes habillé de l'un de ses très extravagants costumes de scène. Il s'assoit avec le groupe et débute son histoire. Né le 25 mars 1947 à Pinner au Royaume-Uni, Reginald Kenneth Dwight vit avec sa mère, son père et sa grand-mère. Il est repoussé par son père qui ne l'a jamais voulu et d'une mère qui ne prend pas trop soin de lui ni de son époux. Seule sa grand-mère semble croire en lui lorsqu'il se met à répéter parfaitement au piano une musique entendue à la radio. Enfant très timide, il réussit cependant à entrer à la Royal Academy of Music. Les années passent, il fait partie d'un groupe et décide en 1967 de prendre un nom de scène : Elton John. C'est à ce moment qu'il rencontre Bernie Taupin auteur de chansons. Les deux hommes ne se quitteront plus : Bernie écrira les paroles tandis qu'Elton composera la musique. Le chanteur est révélé dans un club aux États-Unis, sa carrière internationale peut alors commencer et ses excès également...
Rocketman est finalement une comédie musicale sur une partie de la vie d'Elton John, de ses débuts à son ascension puis à sa chute causée par ses excès de drogue, d'alcool, de sexe, d'argent... On assistera ensuite à sa résurrection, à son total changement de vie, à son acceptation de soi.
Le film est ponctué de nombreux tubes du chanteur plus ou moins connu pour nous et se termine par une note positive avec son titre de 1983 I'm still standing dont le clip est repris entièrement en mêlant images d'époques et incrustation de l'acteur principal Taron Egerton.
L'histoire est malheureusement connue puisqu'elle raconte les problèmes psychologiques que semblent avoir vécu bon nombre d'artistes durant leur enfance, leur fragilité face au succès, face à l'entourage professionnel qui n'aspire qu'à gagner de l'argent sur le dos de l'artiste, leurs excès dans les produits illicites qui semblent venir combler des manques.
Il n’empêche que le film nous donne envie d'explorer à nouveau le riche répertoire d'Elton John.
Elton John surgit dans une réunion des alcooliques anonymes habillé de l'un de ses très extravagants costumes de scène. Il s'assoit avec le groupe et débute son histoire. Né le 25 mars 1947 à Pinner au Royaume-Uni, Reginald Kenneth Dwight vit avec sa mère, son père et sa grand-mère. Il est repoussé par son père qui ne l'a jamais voulu et d'une mère qui ne prend pas trop soin de lui ni de son époux. Seule sa grand-mère semble croire en lui lorsqu'il se met à répéter parfaitement au piano une musique entendue à la radio. Enfant très timide, il réussit cependant à entrer à la Royal Academy of Music. Les années passent, il fait partie d'un groupe et décide en 1967 de prendre un nom de scène : Elton John. C'est à ce moment qu'il rencontre Bernie Taupin auteur de chansons. Les deux hommes ne se quitteront plus : Bernie écrira les paroles tandis qu'Elton composera la musique. Le chanteur est révélé dans un club aux États-Unis, sa carrière internationale peut alors commencer et ses excès également...
Rocketman est finalement une comédie musicale sur une partie de la vie d'Elton John, de ses débuts à son ascension puis à sa chute causée par ses excès de drogue, d'alcool, de sexe, d'argent... On assistera ensuite à sa résurrection, à son total changement de vie, à son acceptation de soi.
Le film est ponctué de nombreux tubes du chanteur plus ou moins connu pour nous et se termine par une note positive avec son titre de 1983 I'm still standing dont le clip est repris entièrement en mêlant images d'époques et incrustation de l'acteur principal Taron Egerton.
L'histoire est malheureusement connue puisqu'elle raconte les problèmes psychologiques que semblent avoir vécu bon nombre d'artistes durant leur enfance, leur fragilité face au succès, face à l'entourage professionnel qui n'aspire qu'à gagner de l'argent sur le dos de l'artiste, leurs excès dans les produits illicites qui semblent venir combler des manques.
Il n’empêche que le film nous donne envie d'explorer à nouveau le riche répertoire d'Elton John.
lundi 17 juin 2019
Concert expresso à l'Auditorium Maurice Ravel de Lyon
L'une de mes collègues est abonnée aux cinq Concerts Expresso que donne l'Auditorium Maurice Ravel de Lyon par an. Il y en a à la pause déjeuner (12h30) ou au goûter (15h00).
Elle s'y rend habituellement avec deux autres collègues mais l'une d'entre elles ne pouvant s'y rendre, elle a pensé à moi.
Vendredi dernier, nous avons profité de notre pause déjeuner pour couper la journée avec un moment culturel.
Le sandwich est avalé sur le parcours pour arriver à l'Auditorium sous une pluie torrentielle.
L'expresso du jour a pour titre : De Bach à Ravel.
Six interprétations vont être jouées sur l'impressionnant orgue de l'Auditorium de Lyon
par Thomas Kientz.
Des explications sont données avant le spectacle et entre les six morceaux par l'une des anciennes présentatrices de l'émission de France 3; C'est pas sorcier; Sabine Quindou.
Elle nous explique tout d'abord l'histoire du gigantesque orgue qui a été créé en 1878 pour l'Exposition Universelle de Paris et installé au Palais du Trocadéro. Il a ensuite été déplacé au Palais de Chaillot, toujours à Paris en 1939 avant de déménager à l'Auditorium Maurice Ravel de Lyon en 1977.
Les morceaux écoutés pour ce mini-concert sont :
Thomas Kientz fera une improvisation en bouquet final.
Le programme pour l'année prochaine est disponible et je pense que je vais prendre les cinq mini-concerts. Ils sont disponibles ici : Concerts Expresso Auditorium Maurice Ravel saison 2019 - 2020
Écouter de l'orgue ou de la musique en général entre midi et treize heures trente permet de couper la journée et de s'évader du quotidien professionnel.
Le morceau que j'ai préféré et de loin pour ce concert expresso sur orgue, c'est la Toccata et Fugue en ré mineur de Bach que tout le monde connaît
et plus spécialement ceux qui aiment le dessin animé Il était une fois l'Homme puisque c'est son générique.
Merci à ma collègue d'avoir pensé à moi.
Elle s'y rend habituellement avec deux autres collègues mais l'une d'entre elles ne pouvant s'y rendre, elle a pensé à moi.
Vendredi dernier, nous avons profité de notre pause déjeuner pour couper la journée avec un moment culturel.
Le sandwich est avalé sur le parcours pour arriver à l'Auditorium sous une pluie torrentielle.
L'expresso du jour a pour titre : De Bach à Ravel.
Six interprétations vont être jouées sur l'impressionnant orgue de l'Auditorium de Lyon
par Thomas Kientz.
Des explications sont données avant le spectacle et entre les six morceaux par l'une des anciennes présentatrices de l'émission de France 3; C'est pas sorcier; Sabine Quindou.
Elle nous explique tout d'abord l'histoire du gigantesque orgue qui a été créé en 1878 pour l'Exposition Universelle de Paris et installé au Palais du Trocadéro. Il a ensuite été déplacé au Palais de Chaillot, toujours à Paris en 1939 avant de déménager à l'Auditorium Maurice Ravel de Lyon en 1977.
Les morceaux écoutés pour ce mini-concert sont :
- Toccata et Fugue en ré mineur, BWV 565; Johann Sebastian Bach — 9 min | ||||||||||||||||
- «Fileuse» et «Sicilienne», extraits de Pelléas et Mélisande (arr. Louis Robilliard); Gabriel Fauré — 8 min | ||||||||||||||||
- Danse macabre (arr. Edwin Lemare); Camille Saint-Saëns — 8 min | ||||||||||||||||
- Pavane pour une infante défunte (arr. Alphonse Seutin); Maurice Ravel — 7 min | ||||||||||||||||
- «Toccata» de la Symphonie n° 5, op. 42 n° 1; Charles-Marie Widor — 7 min |
Thomas Kientz fera une improvisation en bouquet final.
Le programme pour l'année prochaine est disponible et je pense que je vais prendre les cinq mini-concerts. Ils sont disponibles ici : Concerts Expresso Auditorium Maurice Ravel saison 2019 - 2020
Écouter de l'orgue ou de la musique en général entre midi et treize heures trente permet de couper la journée et de s'évader du quotidien professionnel.
Le morceau que j'ai préféré et de loin pour ce concert expresso sur orgue, c'est la Toccata et Fugue en ré mineur de Bach que tout le monde connaît
et plus spécialement ceux qui aiment le dessin animé Il était une fois l'Homme puisque c'est son générique.
Merci à ma collègue d'avoir pensé à moi.
dimanche 16 juin 2019
Bon courage Clara !
C'est demain que débutent les épreuves de la session 2019 du baccalauréat.
Cette année, Clara est en première ligne et planchera dès demain sur l'épreuve de philosophie.
Nous lui souhaitons bon courage 💪
Cette année, Clara est en première ligne et planchera dès demain sur l'épreuve de philosophie.
Nous lui souhaitons bon courage 💪
Bonne fête papa !
Aujourd'hui, c'est officiellement la fête pères.
Nous faisons de gros bisous à nos papas respectifs que nous avons fêté la semaine dernière pour celui de Frédéric et dans deux semaines pour le mien (pour faire coïncider avec son anniversaire).
On vous aime 💓💓💓💓
Nous faisons de gros bisous à nos papas respectifs que nous avons fêté la semaine dernière pour celui de Frédéric et dans deux semaines pour le mien (pour faire coïncider avec son anniversaire).
On vous aime 💓💓💓💓
samedi 15 juin 2019
De retour... sous l'orage !
Après quelques jours passés chez les parents de Frédéric pour garder Alfa, nous voici de retour.
Nous avons reçu la carte postale du lieu des vacances de ses parents complètement d'actualité puisque avec l'orage qui est en train d'éclater au-dessus de nos têtes, nous allons voir arriver à grande vitesse les escargots de Bourgogne !
Nous avons reçu la carte postale du lieu des vacances de ses parents complètement d'actualité puisque avec l'orage qui est en train d'éclater au-dessus de nos têtes, nous allons voir arriver à grande vitesse les escargots de Bourgogne !
lundi 10 juin 2019
A la découverte du monde grâce au Musée des Confluences
Ce lundi de Pentecôte étant très pluvieux, nous avons décidé de le passer au Musée des Confluences où nous nous rendons pour la quatrième fois depuis son ouverture en 2014; ce qui fait presque une visite par an.
Et ce n'est pas moins de quatre expositions temporaires que nous découvrons aujourd’hui.
La première d'entre elles est la plus récente puisqu'elle a ouvert le 6 juin dernier.
Vous pouvez vous y rendre jusqu'au 15 mars 2020.
Le monde en tête regroupe une collection impressionnante de couvre-chefs venus de tous les coins du globe.
Treize univers nous raconte les rôles du couvre-chefs :
Certains semblent être très difficiles à porter tel celui-ci qui ressemble plus à un petit tambourin qu'à un chapeau.
La mise en scène de la collection est moderne et bien pensé
même si parfois les reflets derrières miroirs rendent la prise de photographie plus difficile.
Pour la grande majorité des couvre-chefs la couleur est très présente, surtout ceux utilisant des plumes d'oiseaux.
Mais ceux fabriqués en tissu peuvent également être très colorés.
Certains nous apparaissent comme étant improbables à porter et pourtant ils l'ont été à certains endroits de notre planète dans certaines circonstances.
Nous pensons à celui-ci orné de griffes de félins.
ou cet autre avec une reproduction de tête de requin.
D'autres semblent vouloir confondre les personnes qui les portent dans leur environnement naturel.
Ces très simples couvre-chefs sont bien éloignés de ceux qui montrent la richesse de leurs propriétaires.
Ici, nous avons l'impression de nous replonger dans Tintin au Tibet car Hergé aimait à dessiner les habits traditionnels des peuples où le plus célèbre des reporters se rendait.
Nous terminons par ces deux merveilleux exemplaires de coiffes utilisées lors de cérémonie de mariage en Inde.
Depuis le 7 juillet dernier et jusqu'au 25 août prochain se tient l'exposition temporaire Yokainoshima esprits du Japon.
L'expo porte sur les divinités, les êtres surnaturels et les rites qui existent au Japon.
Nous sommes accueillis par deux renards que nous connaissons bien
puisque nous les avions rencontrés lors de notre voyage au Japon et plus précisément près de Kyoto au sanctuaire Fushimi Inari-taisha et ses nombreuses torii oranges.
Il y a de très belles photos de Charles Fréger qui reprend une multitudes de personnages liés à des rites un peu partout au Japon.
Les vrais costumes sont placés sous vitrine et sont très impressionnants.



Un temple a été reconstitué nous ramenant dans l'ambiance de notre voyage d'il y a 5 ans maintenant.
Il y a également beaucoup d'objets liés à des cultes ou à des croyances que nous reconnaissons
et plus particulièrement ces petites figurines qui représentent les 7 Dieux du Bonheur :
On les retrouve également peintes sur ces plaquettes de bois de prières.
Nous terminons notre visite par deux masques impressionnants
dont le très célèbre masque de démon Ôbeshimi qui semble être le sosie de notre ancien Président Jacques Chirac.
La troisième exposition à laquelle nous nous rendons est Fêtes
himalayennes, les derniers Kalash. Du 23 octobre 2018 au 01er décembre 2019.
Il y a très peu d'objets de ce peuple perdu dans les montagnes mais surtout des photos.
Nous ignorions absolument l'existence de ce peuple des Kalash qui habite dans le Nord du Pakistan.
100 000 au XIXe siècle, ils ne seraient plus que 3 000 aujourd'hui menacés par les musulmans souvent extrémistes de la région (présence de nombreux Talibans) qui les entourent et qui refusent qu'ils puissent avoir d'autres traditions, d'autres croyances que les leurs.
Ce peuple est très énigmatique car il est dit que les Kalash seraient les descendants des soldats d'Alexandre le Grand venu conquérir la région. Une étude scientifique de leur ADN apporterait plutôt la preuve que ce peuple serait le même que celui qui habitait en Allemagne et en Autriche en -990 et -200 avant Jésus-Christ.
Enfin, la dernière exposition est intitulée Coléoptères, insectes extraordinaires.
Elle est visible au Musée des Confluences jusqu'au 28 juin 2020.
Ces insectes sont tellement nombreux et tellement différents.
Cette spirale représente les différentes tailles de cette famille d'insectes.
Certains sont des dangers pour le jardinier tel le doryphore, grand amateur des pommes de terre.
Grillés et déposés dans ces récipients, l'exposition nous rappelle qu'ils feront prochainement partie de notre alimentation comme ils le sont déjà un peu partout.
Depuis fin mars, une ancienne habituée du Museum d'Histoire Naturelle de Lyon a fait son grand retour. Il s'agit de la baleine échouée sur une plage corse en 1877 et dont le squelette est à nouveau exposé de manière permanente et en hauteur au Musée des Confluences.
Longue de 17 mètres, elle pesait 2,5 tonnes.

Très heureux de cette visite qui nous a fait voyager à travers le monde, les verrières du musée nous rappellent vite à la grise réalité de ce jour de repos.
Rentrons nous mettre à l'abri et au chaud à la maison.
Et ce n'est pas moins de quatre expositions temporaires que nous découvrons aujourd’hui.
La première d'entre elles est la plus récente puisqu'elle a ouvert le 6 juin dernier.
Vous pouvez vous y rendre jusqu'au 15 mars 2020.
Le monde en tête regroupe une collection impressionnante de couvre-chefs venus de tous les coins du globe.
Treize univers nous raconte les rôles du couvre-chefs :
- du cheveu à la coiffe
- une protection physique et symbolique
- la coiffe comme étendard
- des objets de communication
- la plume en Amazonie un langage haut en couleur
- des objets de pouvoir
- valoriser l'esprit guerrier
- une passion africaine pour les couvre-chefs
- toucher les Dieux et les Esprits
- révéler l'invisible
- rythmer la vie
- autour du mariage
- au croisement des cultures
Certains semblent être très difficiles à porter tel celui-ci qui ressemble plus à un petit tambourin qu'à un chapeau.
La mise en scène de la collection est moderne et bien pensé
même si parfois les reflets derrières miroirs rendent la prise de photographie plus difficile.
Pour la grande majorité des couvre-chefs la couleur est très présente, surtout ceux utilisant des plumes d'oiseaux.
Mais ceux fabriqués en tissu peuvent également être très colorés.
Certains nous apparaissent comme étant improbables à porter et pourtant ils l'ont été à certains endroits de notre planète dans certaines circonstances.
Nous pensons à celui-ci orné de griffes de félins.
ou cet autre avec une reproduction de tête de requin.
D'autres semblent vouloir confondre les personnes qui les portent dans leur environnement naturel.
Ces très simples couvre-chefs sont bien éloignés de ceux qui montrent la richesse de leurs propriétaires.
Ici, nous avons l'impression de nous replonger dans Tintin au Tibet car Hergé aimait à dessiner les habits traditionnels des peuples où le plus célèbre des reporters se rendait.
Nous terminons par ces deux merveilleux exemplaires de coiffes utilisées lors de cérémonie de mariage en Inde.
Depuis le 7 juillet dernier et jusqu'au 25 août prochain se tient l'exposition temporaire Yokainoshima esprits du Japon.
L'expo porte sur les divinités, les êtres surnaturels et les rites qui existent au Japon.
Nous sommes accueillis par deux renards que nous connaissons bien
puisque nous les avions rencontrés lors de notre voyage au Japon et plus précisément près de Kyoto au sanctuaire Fushimi Inari-taisha et ses nombreuses torii oranges.
Il y a de très belles photos de Charles Fréger qui reprend une multitudes de personnages liés à des rites un peu partout au Japon.
Les vrais costumes sont placés sous vitrine et sont très impressionnants.
Un temple a été reconstitué nous ramenant dans l'ambiance de notre voyage d'il y a 5 ans maintenant.
Il y a également beaucoup d'objets liés à des cultes ou à des croyances que nous reconnaissons
et plus particulièrement ces petites figurines qui représentent les 7 Dieux du Bonheur :
- Ebisu : Dieu des pêcheurs, des marchands et de la prospérité
- Daikokuten : Dieu de la richesse, du commerce et des échanges
- Bishamonten : Dieu des guerriers, protecteur de la loi bouddhique et de la prospérité
- Benzaiten : Dieu du savoir, de l'art, de la beauté, de l'éloquence, de la musique, de la littératures, de la science, de la vertu, de la sagesse, de la prospérité, de la longévité
- Fukurokuju : Dieu du bonheur, de la richesse, de la longévité, de la virilité, de la sagesse
- Hotei : Dieu de l'abondance, de la bonne santé, du contentement, du commerce
- Jurōjin : Dieu de la longévité et de la prospérité
On les retrouve également peintes sur ces plaquettes de bois de prières.
dont le très célèbre masque de démon Ôbeshimi qui semble être le sosie de notre ancien Président Jacques Chirac.
La troisième exposition à laquelle nous nous rendons est Fêtes
himalayennes, les derniers Kalash. Du 23 octobre 2018 au 01er décembre 2019.
Il y a très peu d'objets de ce peuple perdu dans les montagnes mais surtout des photos.
Nous ignorions absolument l'existence de ce peuple des Kalash qui habite dans le Nord du Pakistan.
100 000 au XIXe siècle, ils ne seraient plus que 3 000 aujourd'hui menacés par les musulmans souvent extrémistes de la région (présence de nombreux Talibans) qui les entourent et qui refusent qu'ils puissent avoir d'autres traditions, d'autres croyances que les leurs.
Ce peuple est très énigmatique car il est dit que les Kalash seraient les descendants des soldats d'Alexandre le Grand venu conquérir la région. Une étude scientifique de leur ADN apporterait plutôt la preuve que ce peuple serait le même que celui qui habitait en Allemagne et en Autriche en -990 et -200 avant Jésus-Christ.
Enfin, la dernière exposition est intitulée Coléoptères, insectes extraordinaires.
Elle est visible au Musée des Confluences jusqu'au 28 juin 2020.
Ces insectes sont tellement nombreux et tellement différents.
Cette spirale représente les différentes tailles de cette famille d'insectes.
Certains sont des dangers pour le jardinier tel le doryphore, grand amateur des pommes de terre.
Grillés et déposés dans ces récipients, l'exposition nous rappelle qu'ils feront prochainement partie de notre alimentation comme ils le sont déjà un peu partout.
Depuis fin mars, une ancienne habituée du Museum d'Histoire Naturelle de Lyon a fait son grand retour. Il s'agit de la baleine échouée sur une plage corse en 1877 et dont le squelette est à nouveau exposé de manière permanente et en hauteur au Musée des Confluences.
Longue de 17 mètres, elle pesait 2,5 tonnes.
Très heureux de cette visite qui nous a fait voyager à travers le monde, les verrières du musée nous rappellent vite à la grise réalité de ce jour de repos.
Rentrons nous mettre à l'abri et au chaud à la maison.
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