mardi 31 octobre 2017

Joyeux Halloween

En rentrant, j'ai croisé des dizaines d'enfants dans les rues, accompagnés de leurs parents.
Ils vont frapper aux portes des maisons pour réclamer des bonbons.
C'est vrai que cette année, Halloween tombe pendant les vacances scolaires.

Nous attendons les enfants de notre résidence qui vont bientôt passer.
Les confiseries les attendent...



lundi 30 octobre 2017

Mon herbier géant

Papa m'a fait mourir de rire aujourd'hui lorsque je lui ai demandé de me préparer un sac de feuilles mortes et qu'il m'a répondu :
"C'est pour ton herbier ?" 😀😁😂😃😄
Il est vrai que je tenais un herbier quand j'étais à l'école primaire et que j'aimais bien ça.
Je me demande aujourd'hui quel enfant tient un herbier ?
Et si je me relançais ?

Soyons sérieux, les feuilles que mes parents m'ont gentiment ramassées vont nous servir pour...

Réponse dans quelques jours...

dimanche 29 octobre 2017

Nous sommes passés à l'heure d'hiver

La nuit dernière nous avons reculé d'une heure (depuis 3h00 du matin, il est 2h00) ce qui va se traduire par une luminosité plus courte.
En ce changement d'heure, je pense au cycliste que je double tous les matins en allant au travail en rase campagne et j'aimerai lui rappeler comment il devrait rouler pour se faire remarquer :
En effet, ce brave monsieur roule actuellement en habit sombre, sans aucune lumière sur son vélo, sans aucun gilet jaune ou bandes réfléchissantes, et ces derniers jours où il commençait à faire bien nuit, c'est à la dernière minute que ce monsieur apparaît dans les phares de nous autres automobilistes.
Se déplacer en vélo la nuit c'est bien, mais être vu c'est essentiel !

samedi 28 octobre 2017

27ème Salon des Vins des Vignerons Indépendants

Après avoir fait mon marché, nous avons pris la direction de la Halle Tony Garnier pour le 27ème Salon des Vins des Vignerons Indépendants qui se tient du 26 au 30 octobre.
Nous pensions arriver tôt et pourtant il y avait déjà une très longue file d'attente qui s'étirait le long de l'enceinte de la Halle. Heureusement, il faisait grand soleil et nous n'avons pas attendu tant que ça.
A l'intérieur, en échange de notre invitation, on nous offre un verre chacun (que nous pouvons ramener chez nous) pour pouvoir déguster les vins proposés.
Nous sommes étonnés par le nombre impressionnants de petits producteurs !
Heureusement, Frédéric avait repéré sur la carte avant de venir, les producteurs chez qui nous avons pu déguster leurs productions : vins de Loire et Bourgogne sinon nous nous serions perdus dans tous ces stands.
C'est vraiment bien ce genre de salon car on peut faire en direct la différence entre les différentes bouteilles proposées par les producteurs et trouver celles les plus à notre goût.
Heureusement également, nous pouvons vider nos verres ou recracher notre vin mis en bouche car déjà avec les quelques dégustations que nous avons faites, il me vient de grands fous rires.

Finalement, nous prendrons un carton de Saumur Champigny du Domaine des Varinelles et trois bouteilles de Rully Chaponnières des Domaines Manigley et Des Chauchoux (pas de site Internet).

Frédéric est en train de mettre à jour sa base de données et va procéder au rangement de ces neuf bouteilles dans notre cave.

vendredi 27 octobre 2017

Capitaine Futur : à la rescousse

Nous retrouvons dans ce livre le Capitaine Flam, euh, le Capitaine Futur et ses amis dans de nouvelles aventures.
Nos héros font face à un étrange personnage, le Docteur Zarro qui affirme qu'une immense étoile noire prend la direction de notre système solaire. Il dit être le seul à pouvoir dévier la trajectoire de l'étoile noire et sauver les peuples du système solaire.
Il exige que le Président du Gouvernement de la Terre lui donne les pleins pouvoirs sur l'ensemble des planètes qu'il dirige.
Ce dernier ne semble pas être inquiet car il s'appuie sur les recherches des scientifiques qui n'ont  repéré aucun danger. Mais pourtant, peu à peu, les savants et leurs familles disparaissent. Les rumeurs disent qu'ils fuient devant l’anéantissement annoncé de nos mondes.
Le Président du Gouvernement de la Terre commence alors à faire face à des rébellions un peu partout dans l'Univers.
Il ne lui reste plus qu'une chose à faire : lancer un appel à l'aide au Capitaine Futur...

J'espère que la maison d'éditions Le Bélial' va maintenant sortir la suite des aventures de mon héros de science-fiction préféré car je me suis régalé à lire ce deuxième tome.

Capitaine Futur : à la rescousse
Edmond Hamilton
Éditions Le Bélial' 


jeudi 26 octobre 2017

Sur un air québécois

La visite de ma grande cousine et de son mari s'est terminée tard hier au soir.
Elle avait commencé quelques heures plus tôt lorsque, accompagnés de ma sœur et de mon filleul, nous sommes allés les chercher dans le centre-ville de Lyon.
Nous leur avons fait prendre le métro lyonnais.
Une fois à la maison, mes parents nous attendaient.
Nous avons alors commencé une belle fin d'après-midi et une belle soirée avec cette partie de ma famille du Québec, qui, fort heureusement avec Internet, nous est maintenant plus proche qu'il y a quelques années.
Il ne manquait plus que Frédéric qui nous a rejoint après le travail.
Nous avons beaucoup apprécié nous retrouver tous les huit et la soirée a été ponctuée de fou rires avec nos deux accents, nos expressions et notre vocabulaire différents.
Côté nourriture, j'avais fait léger car Sylvie se remettait tout juste de sa fatigue intestinale.
Soupe à la tomate du potager, saucisson lyonnais aux pistaches, pommes de terre suédoises, fromages, tarte aux pommes et macarons composaient le menu.

De bons moments partagés et nous espérons très vite remettre cela ici ou ailleurs.

Merci encore à vous deux pour ce dessous de plat venu tout droit du Québec que j'avais vu chez vous lors de notre dernière visite.
Il trône fièrement sur notre table de séjour.
Ce soir, je vais moins rire car je débute à la maison dans quelques minutes la réunion mensuelle du conseil syndical.

mardi 24 octobre 2017

Une nouvelle capitale pour l'Egypte ?

A l'occasion de la visite en France du Président de l’Égypte Abdel Fattah al Sissi, je viens de lire dans la presse qu'il a lancé en 2015 l'idée de construire une nouvelle capitale administrative pour son pays pour remplacer Le Caire.
Peuplée de 18 000 000 d'habitants, Le Caire est congestionné c'est pourquoi le Président égyptien souhaite doter son pays d'une immense capitale moderne qui serait sept fois plus grande que Paris !
Rien que ça !
Voici en maquettes ce qui est prévu avec un monument qui serait un mélange entre la Tour Eiffel, le Monument de Washington et les obélisques de l'ancienne Égypte.
Le Président Abdel Fattah al Sissi se verrait-il comme un nouveau Pharaon ?
Selon la presse, même si l'opposition est contre cette nouvelle capitale, la population espère que ces pharaoniques chantiers amèneront du travail...
Voici d'ailleurs la première image de cette future capitale qui ne porte pas encore de nom.
Et pendant ce temps, les Droits de l'Homme passent sous silence...

lundi 23 octobre 2017

Jour J : le crépuscule des damnés

Ce 21ème album est la suite du 14ème Oméga et du 18ème Opération Charlemagne.
Dans Le crépuscule des damnés les Alliés anglo-américains prennent le dessus sur l'aviation française. Le régime fasciste français est sur le point de tomber. Tous les membres de cette dictature tentent par tous les moyens de passer en Espagne. C'est sans compter sur la détermination de Léo pour les arrêter...
Encore une bonne cuvée pour cette série même si j'attends une suite car sinon la fin ne serait pas celle que j'aurai aimé lire.

Jour J
Le crépuscule des damnés
1943 : l'aviation fasciste française livre son dernier combat lors du débarquement Allié
Tome 21
Éditions Delcourt
Duval & Pécau - Maza 

dimanche 22 octobre 2017

La montagne, ça nous gagne

Samedi, nous avons pris la direction de Grenoble pour passer une bonne partie de la journée avec Tatie Marie-France.
Elle avait besoin de réglages sur sa télévision et sur son téléphone.
Elle voulait nous montrer comment elle se débrouille sur son ordinateur avec le clavier inventé par un ingénieux monsieur qui lui permet de lire ce qui est à l'écran; car ma grande-tante est non-voyante. C'est toujours en sa présence que nous réalisons combien les personnes handicapées visuelles (mais les autres aussi !) peuvent se sentir seules dans notre monde d'images et d'écrans tactiles.
Elle nous a invité au restaurant Le Marrakech où nous avons mangé un délicieux couscous et tajine pour Frédéric.
En fin de journée, nous avons pris la route de Villard-Noir pour rendre visite à Tatie Jacqueline.
Elle nous avait préparé un succulent goulasch.
Et tandis qu'il avait fait beau et chaud toute la journée, le vent s'est levé et la pluie s'est mise à tomber en même temps que la nuit.
Un gros dodo plus tard et des bisous à Tatie, nous quittons Villard-Noir
pour nous enfoncer plus loin dans les Alpes rendre visite à mon cousin Eric et à sa femme Ghislaine près d'Annemasse à l'occasion de la visite de ma cousine canadienne Sylvie et de son mari Sylvain. Il y avait également Tonton Guy et ma Tatie Danièle, mais également mon petit cousin Arnaud et sa copine Charlotte. Nous avons croisé brièvement ma petite cousine Mélanie.
Ce fut une belle journée à revoir tout le monde même si notre pauvre Sylvie n'était pas au mieux de sa forme.
Apéritif en terrasse, salade avec crevettes, saumon, crabe puis fondue bressane sont les plats de ce repas familial. On termine par le fromage, des flans et des tartes aux pommes. Pendant ce bon repas durant lequel nous avons bien ri, la pluie a fait son apparition et nous découvrons, lorsque les nuages font apparaître les montagnes que la neige est tombée ! Il faut dire qu'ici, les températures sont descendues à 7°c.
A notre tour d'attendre la visite de Sylvie et Sylvain mercredi.
A moins que ce ne soit mardi ?
Ou vendredi ?

Non, non je confirme bien mercredi.

vendredi 20 octobre 2017

Cronos

Frédéric a fait le choix du film de ce soir, film mexicain tourné en 1993 par le célèbre réalisateur Guillermo del Toro (que nous avons vu à la Cérémonie d'Ouverture samedi dernier).

Cronos raconte l'histoire d'un antiquaire qui trouve un scarabée en or. Tandis qu'il l'examine, des pattes sortent du scarabée et piquent l'homme. Le scarabée renferme le secret de l'éternité enfermé là par un moine du XIVème siècle. Une force inconnue est alors libérée...

C'est un film fantastique et d'épouvante et pour celles et ceux qui me connaissent, ils savent combien je déteste cela mais c'est bien pour faire plaisir à Frédéric que je le suis.
De toute manière je vais me boucher les oreilles et fermer les yeux...





jeudi 19 octobre 2017

The kid brother

C'est une comédie de 1927 que nous sommes allés voir hier au soir à l'Auditorium de Lyon.
Qui dit auditorium, dit musique, et en effet, le film muet était rythmé par la musique composée par Carl Davis qui dirigeait lui-même les musiciens de l'Orchestre National de Lyon.
Le petit frère (The kid brother) est un film avec Harold Lloyd (1893 - 1971).
Harold Lloyd est nettement moins connu pour nous que ne le sont Charlie Chaplin, Laurel et Hardy, et Buster Keaton.
Pourtant, nous avions déjà vu, il y a fort longtemps, certains de ses films dans les émissions Récré A2 (1978 - 1988) ou Histoires sans paroles (1964 - 1986).
Harold Lloyd est surtout connu pour cette scène inoubliable.
C'est lui qui faisait toutes ses cascades.

Jim Hickory est le Shérif d'Hickoryville dans l'Ouest américain.
Lui et ses fils, Leo et Olin sont une institution et sont crains par tous pour leur autorité, leur force, leur respectabilité. Mais Jim a un troisième fils, Harold, plutôt timide et introverti. Son père et ses frères le cantonnent aux tâches ménagères et apparait être le souffre douleur de ses deux aînés. Mais un jour, tandis qu'il est laissé seul à la maison familiale, Harold endosse l'étoile du Shériff, son chapeau et son revolver. Tandis qu'il joue à tirer au pistolet, une caravane de charlatans joue de la faiblesse d'Harold pour les autoriser à stationner en ville. Seule Mary est honnête dans ce groupe et les deux jeunes héros tombent amoureux. Harold va devoir user de toute son intelligence et de toute sa ruse (et il en a !) pour apparaitre aux yeux de sa belle comme étant un homme courageux...

Je suis fan de tous ces films comiques de l'époque du cinéma muet que je trouve indémodable même si certains gags font moins rire qu'à leur sortie, ils continuent à nous amuser. Car il ne font pas oublier que ce sont eux qui ont inventé le cinéma moderne.



Ce soir, on fait relâche mais dès demain nous retournons dans les salles obscures.

mercredi 18 octobre 2017

La fête à Henriette

Nous sommes tombés littéralement sous le charme du film La fête à Henriette sorti en 1952 que nous sommes allés voir hier à l'Institut Lumière.
C'est dans la maison des Frères Lumière que nous avons assisté à la projection, dans la salle en sous-sol.
Dès le début du générique, nous nous posons des questions avec cette inscription à l'écran :
Une musique commence à être jouée mais très vite un narrateur demande de l'arrêter... puisqu'il n'y a pas de film !
Nous découvrons alors deux scénaristes très dépités.
Le film que nous devions regarder n'a pu être tourné à cause de la censure.
Mais les deux hommes ne s'avouent pas vaincus et cherchent de nouvelles idées.
L'un d'entre eux regarde dans le journal et tombe sur une histoire d'un Maire et d'un Curé qui se battent à propos d'une procession de la vierge dans leur petit village. Il affirme qu'on ne peut pas en faire une histoire et qu'un tel film n'aura aucun succès !
Peu à peu cependant les deux hommes échangent des idées, imaginent être à Paris, choisir une femme dans la foule et lui faire vivre une histoire.
Tandis que l'un des scénaristes semble être plus censé, l'autre voudrait incorporer du sexe, de la violence, de l'action.
Cependant, ils parviennent à se mettre d'accord pour raconter l'histoire d'Henriette, lors de sa fête qui coïncide avec la Fête Nationale...

Julien Duvivier nous propose un film admirable et inédit puisque nous assistons en direct, à l'écran, à la création d'un film.
C'est très bien fait puisque tout change à l'image selon les idées avancées par les deux scénaristes.
Par exemple, lorsqu'ils imaginent être à Paris, nous voyons apparaître Paris.
Lorsqu'il parle d'une place nous y sommes.
Lorsqu'ils choisissent un personnage nous le voyons mais il disparaît aussitôt lorsqu'ils décident d'en changer et nous découvrons une autre personne.
Le film est très drôle car les deux scénaristes magistralement joués par Louis Seigner (1903 - 1991) et Henri Crémieux (1896 - 1980) sont diamétralement opposés dans leur manière de voir l'histoire.
Julien Duvivier fait même une allusion à son autre film sorti en 1952 avec ce que je vous ai écrit dans le pitch du film. L'histoire entre le Curé et le Maire n'est autre que son plus grand succès : Le petit monde de Don Camillo !
Nous avons plaisir également de revoir des acteurs disparus aujourd'hui : la belle Dany Robin (1927 - 1995), Michel Auclair (1922 - 1988), Michel Roux (1929 - 2007), Paulette Dubost (1926 - 2007), Daniel Ivernel (1918 - 1999), Odette Laure (1917 - 2004).

Le film est sorti en blu-ray, nous vous conseillons de vous procurer un exemplaire car vous passerez un excellent moment avec cette histoire inhabituelle et pour revoir Paris dans les années 50.



Direction ce soir l'Auditorium de Lyon pour une grande soirée cinéma et musique.

mardi 17 octobre 2017

春光乍洩 / Happy together

Hier au soir, c'était un film venu de Hong Kong et tourné en 1997 que nous sommes allés voir à l'UGC Ciné Cité Confluence.
La salle était pleine et le film a été présenté par un réalisateur américain.
Lai Iu-Fai et Ho Po-Wing quittent Hong Kong où ils vivaient heureux pour l'Argentine dans l'objectif d'aller voir les chutes d'Iguazù qu'ils ont découvert sur une lampe qu'ils ont apporté avec eux.
Mais leur arrivée en Argentine, coïncide avec des tensions dans leur couple. Les deux amoureux décident de se séparer et de vivre leur vie à Buenos Aires. Lai trouve un travail en rameutant les touristes chinois dans un club de tango. Il vit dans un tout petit appartement d'une pension de famille minable. Il ne souhaite qu'une chose, amasser suffisamment de l'argent pour rentrer à Hong Kong.
Ho décide quant à lui de céder à la facilité en trafiquant et en se prostituant. Mais un jour, il est violemment frappé et trouve refuge chez son ancien compagnon. Tandis que Ho souhaite recommencer à zéro, Lai souhaite uniquement l'héberger. Mais peu à peu, Lai se laisse à nouveau séduire. C'est à ce moment qu'il devient cuisinier dans un restaurant chinois et qu'il croise la route d'un jeune taïwanais, Chang...



Après un temps d'adaptation pour écouter des dialogues en chinois, on plonge très vite dans cette histoire d'amour torturée. Ce n'est pas tant la langue qui m'a gèné mais plutôt le manque d'intonation dans les voix. 
Mise à part ce détail, le film est très bien.
Au départ, il est tourné en noir-et-blanc jusqu'au moment où les héros repartent à zéro.
On a envie que les deux héros se remettent ensemble et pourtant on sait que s'ils le font, ils ne seront pas heureux. L'arrivée d'un troisième protagoniste dans l'histoire nous permet de supposer qu'au moins deux d'entre eux pourraient être heureux. Mais quels seront-ils ?
 

Happy together se termine sur une bonne note : la chanson du groupe américain The Turtles en 1967 qui donne enfin un peu de positivité, de joie, d'espérance au film.

Un bon choix de film, espérons que celui de ce soir le soit également...

lundi 16 octobre 2017

Le renne blanc

Hier au soir, nous nous sommes rendus au Lumière Fourmi pour voir notre deuxième film.
Rentrant de Finlande et ayant vu qu'un classique du cinéma finlandais était diffusé durant ce Festival Lumière 2017, j'avais pris deux places.
Le renne blanc (Valkoinen Peura) a été tourné en 1952.
Même si l'affiche est en couleur, c'est bel et bien un film en noir-et-blanc qui nous est proposé.

C'est même un finlandais, expert dans son cinéma, qui nous le présente.
Le renne blanc est un film fantastique très troublant car très surprenant.
Les scènes sont courtes, la musique est toujours la même, les images sont parfois troubles, les paroles sont presque inexistantes, heureusement que le film ne durait qu'une heure quinze !
Sincèrement nous l'avons vu une fois, ce sera suffisant.
Nous nous sommes consolés par des paysages de Finlande sous la neige, des habits traditionnels des Lapons, la présence de troupeaux de rennes mais c'est tout.
L'histoire est extrêmement simple et le film aurait encore pu être plus court.

Tout commence à la naissance de Pirita. Sa mère meurt en lui donnant naissance et il semble que des pouvoirs lui sont donnés. Adulte, elle tombe amoureuse d'Aslak un gardien de rennes. Ils se marient. Mais Aslak est souvent dehors durant plusieurs jours pour mener ses rennes. Pirita est en manque d'amour et a besoin d'avoir des hommes auprès d'elle. Elle va donc voir un chamane qui lui propose un filtre d'amour. Mais tandis que l'homme fait ses incantations, la vraie nature de Pirita lui apparait. Pirita est une sorcière capable de se transformer en un magnifique renne blanc. Les hommes essaient de la chasser mais le renne blanc reprend son apparence sous les traits de Pirita. Les chasseurs sont alors sous son charme mais la sorcière les vampirise et les tue. Les villageois commencent à avoir peur de ce renne blanc mais Pirita poursuit ses crimes...


Le renne blanc est une adaptation d'un conte finlandais.



Nous nous préparons à partir pour notre troisième film, espérons qu'il sera plus à notre goût...

dimanche 15 octobre 2017

Nous déclarons Lumière 2017 la neuvième édition du festival du cinéma de Lyon et de la Métropole de Lyon ouvert !

C'était hier au soir qu'avait lieu la Cérémonie d'Ouverture du 9ème Festival du Cinéma Lumière à la Halle Tony Garnier.
Le Festival a lieu du 14 au 22 octobre et hier, nous étions présents à cette grande fête du cinéma.
Le parrain de la soirée était Eddy Mitchell

mais il y avait une ribambelle de star :
Guillermo del Toro, Vincent Lindon, Cahterine Frot, Michèle Laroque, Gérard Jugnot,
Pierre Richard, Danièle Thompson, Laurent Gerra, Jean-François Stévenin, Pierre Lescure, Thomas N'Gijol...
La cérémonie était présentée par l’incontournable Thierry Frémaux puis rejoint par le bavard Bertand Tavernier.
Un bel hommage a été fait à Jean Rochefort (que nous avions vu ici même il y a quelques années) et à Jerry Lewis.
La cérémonie était déclarée ouverte par les artistes

et par le public.
Après avoir présenté les films visibles en salle cette semaine, Eddy Mitchell est monté sur scène pour répondre aux questions de Thierry Frémaux.
Toutes les anecdotes rapportées par Bertrand Tavernier et Christophe Lambert laisse à penser qu'Eddy Mitchell aime l'alcool. Même lui d'ailleurs raconte qu'un jour, tandis qu'il se regarde un film sur bobine, il voit que l'une d'entre elle va se couper. Il demande alors à son secrétaire d'alors de lui apporter du scotch très rapidement. Ce dernier revient avec une bouteille de scotch alors qu'il demandait du ruban adhésif pour réparer la bobine !
Un karaoké sur la chanson La dernière séance s'en suit. C'était également le titre de son émission qu'il présentait sur FR3 de 1982 à 1998 où se mêlaient actualités d'époque, dessins animés et films classiques.

Puis ce fut le début de notre première séance de ce Festival Lumière 2017 avec un grand classique d'Alfred Hitchcock; que nous n'avions jamais vu;  La mort aux trousses (North by Northwest) qui date de 1959 avec dans le rôle principal Cary Grant.
Roger Thornhill est publicitaire à New York City. Il est divorcé et est très proche de sa maman. Tandis qu'il rejoint des clients à un hôtel, il est enlevé par deux hommes qu'il l'enlèvent et l'amènent dans une grande demeure. Les ravisseurs pensent avoir en face d'eux un certain George Kaplan. Mais Roger n'est pas George et il a beau le crier fort, ses ravisseurs n'en croient pas un mot. Ils décident de l'éliminer en le forçant à boire puis en le mettant au volant d'une voiture. Mais malgré l'ivresse, il parvient à conduire, à s'enfuir et à se faire arrêter par la police. Dégrisé, il raconte son histoire d'enlèvement aux autorités qui lancent une enquête. Mais lorsqu'il accompagne les enquêteurs à la maison où il a été retenu prisonnier, rien n'est plus comme il s'en souvenait. La police décide de laisser tomber mais Roger Thornhill souhaitant apporter toute la clareté sur sur ce personnage de George Kaplan pour qui il est confondu est soudainement mêlé à l'assassinat d'un fonctionnaire des Nations Unies. Il est traqué par ses ravisseurs mais par la police également...


La mort aux trousses est vraiment un très bon film et malgré sa durée, c'est un véritable bijou. Bien entendu, Alfred Hitchcock fait une apparition comme dans chacun de ses films.
Nous avons apprécié de le découvrir dans cette grande salle.

Notre marathon du Festival Lumière 2017 a bien commencé.







vendredi 13 octobre 2017

Vive la vie : volume 2

Je viens de terminer le volume 2 de la série Vive la vie qui raconte l'histoire d'une famille à la fin des années 60.
Durant ces 18 épisodes, le père, veuf, tente de refaire sa vie mais sans y aboutir. Il faut dire qu'il partage sa maison avec ses enfants, son père, sa sœur et sa bonne. Tout ce petit monde n'aide pas Daniel Ceccaldi dans sa quête.

Dans le dernier épisode, un jeune acteur fait son apparition.
Patrick Maurin, nom de ses débuts, que tout le monde a connu plus tard sous le nom de... Patrick Dewaere.

jeudi 12 octobre 2017

Carrefour Market Carré de Soie

Le 1er avril 2009, nous étions à l'ouverture du centre commercial Carré de Soie.

Hier, le Carré de Soie a débuté une nouvelle vie avec l'arrivée tant attendue d'un supermarché.

C'est la marque Carrefour qui ouvre son enseigne Carrefour Market en lieu et place du regretté Castorama.

Je viens d'y faire un petit tour.
Il semble y avoir tout ce dont on peut avoir besoin (peut-être manque t'il quelques produits) sans que le magasin soit trop grand.
Pile la taille nécessaire pour ce genre de supermarché de courses régulières.

Auchan Dardilly restera l'hypermarché sur ma route (le plus beau certainement d'ailleurs !), Casino restera sans doute celui où l'on trouve certains produits, Carrefour Market devrait devenir celui où nous nous rendrons le plus fréquemment du moins avant l'arrivée annoncée prochainement d'un Lidl et d'un Super U.

Alors que nous étions dans un désert, nous allons être entourés de supermarchés.
A nous de faire attention aux prix pratiqués.

mercredi 11 octobre 2017

En terrasse en montagne

Dans le Dauphiné Libéré nous avions vu la tenue d'un vide-grenier dans le village voisin de Laissaud.
Après le petit-déjeuner, nous nous y sommes donc rendus.
Un menuisier avait fort heureusement ouvert son parking pour permettre le stationnement et ce fut une riche idée car il y avait foule.
Alors qu'il avait plu au petit matin, le soleil fait son apparition réchauffant les températures et donnant de belles couleurs aux arbres.
Les produits vendus sont un peu différents de ceux que l'on voit ici : des skis, des chaussures de skis, du matériel pour faire du beurre, du matériel agricole...
Je trouve une BD mais je vous en reparlerai.
Nous prenons ensuite la direction d'Allevard puis montons encore plus haut à la station de ski du Collet d'Allevard.
Des parapentes s'élancent dans le vide face à Bramefarine, au Massif de la Chartreuse, au loin le Mont du Chat, Chambéry, la Croix du Nivolet où nous avions fait il y a quelques années une randonnée avec mon oncle et ma tante.
 Derrière la station, les montagnes s’élèvent de plus en plus haut.
La station de ski est complètement déserte et n'ouvrira qu'à la prochaine saison d'hiver.
Il y a tellement peu de monde, que nous apercevons un renard.
Nous avions prévu de manger ici mais tous les restaurants sont fermés, tous sauf Les terrasses du Collet où nous sommes accueillis par une marmotte en bois.
Il y a foule à l'intérieur de la salle de restaurant, une batterie est posée dans un coin, le bazar règne un peu partout.
Le patron nous explique qu'il y a eu une fête qui s'est terminée vers 06h30 du matin.
Il nous propose toutefois de rester manger et de nous installer à une table.
Nous nous amusons de voir les invités de la veille faire irruption dans le restaurant avec de petites mines de gens qui ont du bien faire la fête !
Certains petits déjeunent tandis que d'autres vont grignoter à un buffet.
Le patron et la patronne nous apportent une terrine maison. Mais quand je dis qu'ils nous apportent la terrine, c'est qu'ils viennent carrément avec le plat entier et un énorme Opinel et nous proposent de nous débrouiller.
Ils nous serviront ensuite des souris d'agneau accompagnées de salade et d'un gratin dauphinois (celui de maman est toutefois 10 000 fois meilleur, y'a pas photo !).
Des glaces artisanales nous permettront de digérer ce bon repas.
Le patron nous explique qu'il est menuisier et qu'il loue ou vend des chalets qui entourent le restaurant. Il y a une piscine, un spa, un sauna, un hammam, bref tout pour passer de bonnes vacances.
Nous avons été ravis de cet accueil car en d'autres endroits, dès notre entrée, on nous aurait dit d'aller voir ailleurs. Malgré la fatigue, le monde (120 personnes) nous avons été superbement accueillis.
Bravo à vous deux.
En plus, la vue de là-haut est superbe.
Il est temps de redescendre dans la vallée et de faire une nouvelle balade cette fois autour du petit lac d'Allevard. 
Ce grand jet d'eau, du genre de celui de Genève, laisse apparaître un arc-en-ciel.
Il est déjà temps pour nous de rentrer tandis que mes parents ont la chance de rester ici encore quelques jours.
Ce week-end fut une riche idée !

mardi 10 octobre 2017

L'Automne à Villard-Noir

Un villard c'est un hameau en parler savoyard.
Ce mot nous vient de l'occupation romaine car les romains utilisaient le mot villare pour désigner le lieu où se trouvait une villa romaine (grande ferme). Une accumulation de villas a sans doute donné le nom de villard (hameau).
Bref, à Villard-Noir, en ce début d'Automne, il fait très beau.
Arrivés la veille au soir dans la maison de ma grande-tante, nous partons en ce samedi matin nous promener dans le haut de Villard-Noir.
Il fait frais mais le soleil nous réchauffe.
Après avoir franchi le ruisseau du Papet, nous découvrons des vaches qui ont la chance d'avoir une superbe vue sur le Massif de la Chartreuse et sur le Mont Granier.
Même si Villard-Noir s'est, et se construit énormément, il y a encore de nombreux champs et de nombreuses noyeraies qui donnent les fameuses noix de Grenoble.
Ici une plantation de navets en-dessous de la montagne de Bramefarine.
Il est l'heure d'aller acheter le pain et de faire quelques courses à Pontcharra.
Non pas le Pontcharra (Rhône) où j'ai grandi, mais le Pontcharra (Isère) où j'ai passé des vacances.
La commune est "jeune" puisqu'elle a été créée en 1832 avec la fusion de deux communes : Grignon et Villard-Benoit.
C'est d'ailleurs à cause de cette jeunesse de la ville qu'il n'y a aucune ancienne église. Il faut attendre 1972 pour que Pontcharra soit dotée d'une église à l'architecture moderne.

Mais à Pontcharra, il y a un héros local connu sur le plan national : le Chevalier Bayard, Sans Peur et sans Reproche.
Son véritable nom est Pierre Terrail de Bayard.
Il est né au château Bayard à Pontcharra en 1475 (ou 1476). Il décède en 1524 lors d'une bataille dans le Piémont.
Le Chevalier Bayard représente la chevalerie de l'époque et on peut lire ses aventures écrites par Jacques de Maille sous le titre très court : La très joyeuse et très plaisante histoire du gentil Seigneur de Bayart, le bon chevalier sans peur et sans reproche.
A Pontcharra, le héros a toujours été mis en avant avec notamment la mise en place de statues sur le Bréda.
Statue au pluriel car il y en a eu plusieurs.
L'une d'entre elle, sculptée en plâtre a été érigée en 1911 mais lâchement volée en 1992.
Elle est remplacée par l'actuelle en 1993.
Le torrent le Bréda coule ici tranquillement.
Ses eaux arrivent du Massif de Belledonne  et vont se jeter dans l'Isère toute proche.
Au loin, vous devinez l'impressionnante Tour d'Avalon.
La tour n'est pas celle d'origine, construite par la famille Romestand d'Avalon mais elle se trouve à l'endroit où une tour du château d'Avalon (aujourd'hui disparu) se dressait.
Celle-ci a été construite en 1895 par les Chartreux. 
Depuis le pied de la tour, elle est fermée en hors-saison, nous avons une superbe vue sur le Grésivaudan, sur le château Bayard et l’impressionnant massif de la Chartreuse.
Pour celles et ceux qui suivent comme nous Game of Thrones ce véritable mur naturel ressemble au célèbre Mur qui sépare le Nord.
Après avoir déjeuné, mes parents nous font découvrir le Plan d'Eau des Lônes où nous passons un bon moment en flânant dans ce joli paysage automnale.
Même si le Granier s'effondre,  il est toujours là.
Nos amis Christophe, Nathalie et Gaïa de passage dans la région, nous rejoignent et nous décidons, avant la poursuite de leur route, de leur faire découvrir la Tour d'Avalon.
Christophe filmera des images que plus personne ne pourra obtenir.
J'espère qu'il va conserver ce film précieusement !
De retour à la maison, avec mes parents, nous assistons à un très beau coucher de soleil.
Qu'il fait bon vivre dans le Grésivaudan.

lundi 9 octobre 2017

Nous irons tous au paradis

en tout cas, Jean Rochefort rejoint le paradis des acteurs que nous aimions tant.
Au début de sa longue carrière cinématographique, Jean Rochefort ne portait pas la moustache.
Il l'a adoptée à 40 ans et ne l'a jamais coupée depuis car selon lui, sans elle c'est comme s'il ne portait pas de slip !
Jean Rochefort était l'un de mes acteurs français préféré avec une voix tellement reconnaissable.
Il a tourné plus de 115 films entre 1955 et aujourd'hui.
Je pourrai citer ceux dans lesquels je l'ai tant aimé :
La Capitaine Fracasse, Cartouche, le Masque de Fer, la série des Angélique où il jouait le policier, Les tribulations d'un chinois en Chine, la série du Grand Blond (il rejoint Mireille Darc)...
mais surtout les inoubliables Un éléphant ça trompe énormément et Nous irons tous au paradis.

C'était un acteur qui semblait ne pas se prendre au sérieux.
J'adorai ce sourire qu'il avait derrière sa moustache et qu'il savait tant utiliser dans ses films.

Il a également joué dans plus de 30 séries télévisées dont Sueurs froides, le Comte de Monte-Cristo, Les Boeufs-Carottes...

Enfin, peu s'en souviennent mais ceux de ma génération oui : il a présenté sur FR3 dans le Disney Channel Les Aventures de Winnie L'Ourson.


Jean Rochefort nous quitte à 87 ans et vient d'entrer dans le Panthéon des acteurs qui vont nous manquer.

Hommages à la télévision :

aujourd'hui :
France 5  19:00 C à vous
France 3 20:55 Ridicule
France 2 23:05 Un jour, un destin : Jean Rochefort, cavalier seul

demain :
France 2 20h55 Un éléphant ça trompe énormément
France 2 22:45 Nous irons tous au paradis
Ciné+ 20:45 Floride

 
 

dimanche 8 octobre 2017

Fin de semaine en Grésivaudan

Nous rentrons tout juste du Grésivaudan, superbe vallée située entre Chambéry au Nord et Grenoble au Sud.
On parle de Bas-Grésivaudan (entre Tullins et Grenoble), de Moyen-Grésivaudan (entre Grenoble et Pontcharra), de Haut-Grésivaudan (entre Pontcharra et Albertville), à ne pas confondre avec les nouveaux cantons du Département de l'Isère (Moyen-Grésivaudan et Haut-Grésivaudan)
La vallée se situe entre le Massif de la Chartreuse et le Massif de Belledonne, où coule la rivière de l'Isère.
Le Grésivaudan se situe en effet dans le département de l'Isère, à la frontière de celui de la Savoie.
Cette introduction faite, nous vous raconterons dans les billets à venir notre séjour au Grésivaudan, région pour laquelle j'ai un attachement particulier.

vendredi 6 octobre 2017

190 000 000 €

C'est le montant de la cagnotte de l'Euro Millions de ce soir.
Je viens de jouer même si je sais que nous n'avons pas la moindre chance de gagner.
Et pourtant, c'est bien arrivé à d'autres