lundi 16 octobre 2017

Le renne blanc

Hier au soir, nous nous sommes rendus au Lumière Fourmi pour voir notre deuxième film.
Rentrant de Finlande et ayant vu qu'un classique du cinéma finlandais était diffusé durant ce Festival Lumière 2017, j'avais pris deux places.
Le renne blanc (Valkoinen Peura) a été tourné en 1952.
Même si l'affiche est en couleur, c'est bel et bien un film en noir-et-blanc qui nous est proposé.

C'est même un finlandais, expert dans son cinéma, qui nous le présente.
Le renne blanc est un film fantastique très troublant car très surprenant.
Les scènes sont courtes, la musique est toujours la même, les images sont parfois troubles, les paroles sont presque inexistantes, heureusement que le film ne durait qu'une heure quinze !
Sincèrement nous l'avons vu une fois, ce sera suffisant.
Nous nous sommes consolés par des paysages de Finlande sous la neige, des habits traditionnels des Lapons, la présence de troupeaux de rennes mais c'est tout.
L'histoire est extrêmement simple et le film aurait encore pu être plus court.

Tout commence à la naissance de Pirita. Sa mère meurt en lui donnant naissance et il semble que des pouvoirs lui sont donnés. Adulte, elle tombe amoureuse d'Aslak un gardien de rennes. Ils se marient. Mais Aslak est souvent dehors durant plusieurs jours pour mener ses rennes. Pirita est en manque d'amour et a besoin d'avoir des hommes auprès d'elle. Elle va donc voir un chamane qui lui propose un filtre d'amour. Mais tandis que l'homme fait ses incantations, la vraie nature de Pirita lui apparait. Pirita est une sorcière capable de se transformer en un magnifique renne blanc. Les hommes essaient de la chasser mais le renne blanc reprend son apparence sous les traits de Pirita. Les chasseurs sont alors sous son charme mais la sorcière les vampirise et les tue. Les villageois commencent à avoir peur de ce renne blanc mais Pirita poursuit ses crimes...


Le renne blanc est une adaptation d'un conte finlandais.



Nous nous préparons à partir pour notre troisième film, espérons qu'il sera plus à notre goût...

1 commentaire:

plou a dit…

une chance d'habiter la ville