Habituellement, le vendredi est un jour où la circulation pour rentrer sur Lyon depuis le Nord du Département est chargé et mon temps de route est d'environ trente-cinq minutes.
Mais voilà, les vacances de février, pardon les vacances d'hiver comme on les appelle maintenant, ont débuté il y a trois semaines maintenant.
Dorénavant, les vacanciers (français et étrangers) ont la bonne idée de partir dès le vendredi.
Je ne suis pas contre si ce n'est qu'ils se retrouvent à Lyon à l'heure de sortie du travail des lyonnais.
Du coup, les bouchons se multiplient et le temps pour rentrer à la maison passe de trente-cinq minutes à un peu plus d'une heure trente.
Une heure trente car je prends les itinéraires bis pour éviter ces embouteillages.
Mais voilà, je ne suis pas le seul et la plupart des autres lyonnais se dirigent vers ces raccourcis créant là aussi des bouchons.
Nos itinéraires bis restent toutefois plus rapides que si l'on restait dans le flot de la circulation.
Courage amis lyonnais, encore deux vendredis à tenir !
Pour les vacanciers, dont font partie nos nièces et neveux, bonnes vacances.
vendredi 28 février 2014
jeudi 27 février 2014
Pattaclop Pénélope
On la connait surtout comme concurrente dans la série Les fous du volant mais on oublie que la belle blonde Pénélope a été la star de son propre dessin animé.
Titre en anglais : The perils of Penelope Pitstop
Année de diffusion aux États-Unis : 1969
Nombre d'épisodes : 17
Diffusion en France : Canal +, Cartoon Network, Boomerang
Le tuteur de Pénélope, l'homme au grand chapeau, essaye coûte que coûte, dans chacun des épisodes, d'assassiner la jeune femme pour tenter de récupérer son immense fortune.
Bien entendu, il n'y parviendra jamais car elle est aidée par les Zozos Zélés, les mafieux des Fous du volant.
Je n'ai que de vagues souvenirs sur les épisodes mais je reste persuadé qu'ils ont été diffusés il y a fort longtemps, ailleurs que sur Canal +.
Titre en anglais : The perils of Penelope Pitstop
Année de diffusion aux États-Unis : 1969
Nombre d'épisodes : 17
Diffusion en France : Canal +, Cartoon Network, Boomerang
Le tuteur de Pénélope, l'homme au grand chapeau, essaye coûte que coûte, dans chacun des épisodes, d'assassiner la jeune femme pour tenter de récupérer son immense fortune.
Bien entendu, il n'y parviendra jamais car elle est aidée par les Zozos Zélés, les mafieux des Fous du volant.
Je n'ai que de vagues souvenirs sur les épisodes mais je reste persuadé qu'ils ont été diffusés il y a fort longtemps, ailleurs que sur Canal +.
mercredi 26 février 2014
Même pas peur !
Hier, tandis que je rédigeais le billet du jour, j'ai été interrompu par un volatile qui venait se poser sur la rambarde de notre balcon.
Habituellement, ce sont ces satanés pigeons, véritables plaies en ville pour les dégâts qu'ils occasionnent, qui tentent de faire leurs nids.
Il suffit alors de secouer les stores intérieurs pour les faire fuir.
La technique ici, cependant, ne marche pas !
Serai-je tombé sur un dur à cuire ?
En regardant mieux cette forte tête, je m'aperçois que je n'ai pas affaire à un vulgaire pigeon.
Serait-ce une colombe ?
Frédéric, qui ne l'a vu qu'en photo, penche plutôt pour un pigeon d'ornement.
Dans tous les cas, j'ouvre la porte fenêtre, et là, mon résistant ne bronche pas d'une plume !
Pire il me regarde et à l'air de me demander de me pousser pour le laisser rentrer au chaud.
Je m'approche de lui à quelques centimètres, je le prends en photos, rien ne l'effraie !
Devant sa volonté à vouloir visiter notre appartement et n'ayant aucune peur de l'humain que je suis, je lui dépose quelques graines de sésame, qu'il ne fera que goûter, et je lui ferme la porte au bec.
Il reste longtemps à me regarder, puis comme il était venu, il disparaît.
Allons-nous le revoir ?
Pas aujourd'hui en tout cas car il pleut.
Habituellement, ce sont ces satanés pigeons, véritables plaies en ville pour les dégâts qu'ils occasionnent, qui tentent de faire leurs nids.
Il suffit alors de secouer les stores intérieurs pour les faire fuir.
La technique ici, cependant, ne marche pas !
Serai-je tombé sur un dur à cuire ?
En regardant mieux cette forte tête, je m'aperçois que je n'ai pas affaire à un vulgaire pigeon.
Serait-ce une colombe ?
Frédéric, qui ne l'a vu qu'en photo, penche plutôt pour un pigeon d'ornement.
Dans tous les cas, j'ouvre la porte fenêtre, et là, mon résistant ne bronche pas d'une plume !
Pire il me regarde et à l'air de me demander de me pousser pour le laisser rentrer au chaud.
Je m'approche de lui à quelques centimètres, je le prends en photos, rien ne l'effraie !
Devant sa volonté à vouloir visiter notre appartement et n'ayant aucune peur de l'humain que je suis, je lui dépose quelques graines de sésame, qu'il ne fera que goûter, et je lui ferme la porte au bec.
Il reste longtemps à me regarder, puis comme il était venu, il disparaît.
Allons-nous le revoir ?
Pas aujourd'hui en tout cas car il pleut.
mardi 25 février 2014
Broadchurch
France 2 diffuse depuis la semaine dernière, une série britannique comme on les aime.
Broadchurch est produite par la télévision privée britannique ITV.
Partout où elle est diffusée, elle remporte des succès d'audience.
Chez nous, c'est notre deuxième chaîne publique qui récolte les bons chiffres depuis deux lundis de suite grâce au drame survenu dans cette communauté de la petite ville de Broadchurch où un jeune garçon est retrouvé mort, un matin, au bas de la falaise de la ville côtière.
La série est très bien conçue puisque tour à tour, chacun des personnages apparaît pouvoir être le meurtrier.
Plus on avance dans l'intrigue, plus on pense avoir découvert le suspect et moins il s'avère que nous ayons raison.
David Tennant, interprète du Doctor Who, est très bon, dans son rôle du Capitaine Alec Hardy au caractère si particulier.
Dans Broadchurch, nos sentiments se mélangent et nous ne savons plus trop que penser des personnages qui de prime abord semblaient comme n'importe qui de la vraie vie et qui pourtant ont tous quelque chose de secret, quelque chose à cacher, quelque chose d'inavouable...
En fait, je réalise que ce sont de vraies personnes comme on en croise au quotidien, avec tous leurs défauts et leurs qualités !
C'est cela la force de cette série : rendre les personnages d'une intense réalité.
Nous avons hâte de voir lundi prochain sur France 2 les deux derniers épisodes.
En plus, grâce à la VM (Version Multilingue) on la regarde en VO.
Broadchurch est produite par la télévision privée britannique ITV.
Partout où elle est diffusée, elle remporte des succès d'audience.
Chez nous, c'est notre deuxième chaîne publique qui récolte les bons chiffres depuis deux lundis de suite grâce au drame survenu dans cette communauté de la petite ville de Broadchurch où un jeune garçon est retrouvé mort, un matin, au bas de la falaise de la ville côtière.
La série est très bien conçue puisque tour à tour, chacun des personnages apparaît pouvoir être le meurtrier.
Plus on avance dans l'intrigue, plus on pense avoir découvert le suspect et moins il s'avère que nous ayons raison.
David Tennant, interprète du Doctor Who, est très bon, dans son rôle du Capitaine Alec Hardy au caractère si particulier.
Dans Broadchurch, nos sentiments se mélangent et nous ne savons plus trop que penser des personnages qui de prime abord semblaient comme n'importe qui de la vraie vie et qui pourtant ont tous quelque chose de secret, quelque chose à cacher, quelque chose d'inavouable...
En fait, je réalise que ce sont de vraies personnes comme on en croise au quotidien, avec tous leurs défauts et leurs qualités !
C'est cela la force de cette série : rendre les personnages d'une intense réalité.
Nous avons hâte de voir lundi prochain sur France 2 les deux derniers épisodes.
En plus, grâce à la VM (Version Multilingue) on la regarde en VO.
lundi 24 février 2014
Le Pont Raymond Barre est ouvert
Depuis le 19 février, les piétons et les cyclistes peuvent emprunter le Pont Raymond Barre sur leurs voies spécialement réservées tandis que le T1 roule sur ses voies.
Nous avons circulé samedi dernier à bord du tramway de la ligne T1 pour nous rendre à la Confluence.
Nous n'avons pas résisté, après nos achats, à emprunter le prolongement de la ligne, qui s'enrichit de quatre stations.
Le terminus du T1 n'est plus l'Hôtel de Région Montrochet mais Debourg.
Avant cela vous pouvez descendre à :
- Musée des Confluences : les visiteurs du Musée qui ouvre en fin d'année, se retrouveront sur son esplanade.
- Halle Tony Garnier : vous êtes à deux pas de la salle lyonnaise où l'on retrouve tant de concerts, de spectacles, de salons...
- E.N.S. : utile pour les étudiants de l’École Nationale Supérieure.
- Debourg : le nouveau terminus du T1 permet d'emprunter la station de métro de la ligne B et de rejoindre le Stade de Gerland, à une station de là.
Vous pouvez également prendre la direction de la station de métro Gare d'Oullins ou dans l'autre direction, celle de Charpennes Charles Hernu à Villeurbanne.
dimanche 23 février 2014
64ème Festival de San Remo
Pour la 64ème année consécutive, avait lieu hier au soir la finale du Festival de la Chanson Italienne de San Remo.
La grande gagnante cette année est la chanteuse Arisa avec sa très jolie chanson Controvento.
Le gagnant de la catégorie jeune est Rocco Hunt qui interprète Nu Juorno Buono.
ROCCO HUNT-NU JUORNO BUONO (VIDEO UFFICIALE 2013) par GUGLIELMOTAMMARO
La grande gagnante cette année est la chanteuse Arisa avec sa très jolie chanson Controvento.
Le gagnant de la catégorie jeune est Rocco Hunt qui interprète Nu Juorno Buono.
ROCCO HUNT-NU JUORNO BUONO (VIDEO UFFICIALE 2013) par GUGLIELMOTAMMARO
samedi 22 février 2014
Sur nos raquettes
La météo du jeudi 13 février est exécrable si bien que nous ne skions pas.
En fait, il pleut au village mais également en altitude sur les pistes.
Du coup, nous prenons le bus et partons visiter La Clusaz.
Il pleut tellement là-bas également que la visite est vite faite.
Nous déjeunons tout de même sur place et rentrons au chalet au Grand Bornand.
Heureusement, le vendredi 14 février est un peu plus clément.
La pluie, absente, nous permet de chausser nos raquettes et de partir tranquillement faire notre randonnée.
Le ciel est chargé et il ne tarde pas à se mettre à neiger.
La neige n'est pas un obstacle par rapport à la pluie de la veille et nous profitons de cette dernière journée à la montagne.
Nous dinons le soir d'une fondue royale (accompagnement de charcuterie et de pommes de terre) dans un restaurant qui semble tout nouvellement ouvert.
Malgré nos soucis de santé, cette semaine au ski nous a fait du bien et nous a même permis de prendre quelques couleurs.
Nous ferons-nous vacciner l'année prochaine pour notre nouvelle semaine de ski ?
Rien n'est moins sûr car de retour au bureau, je me suis rendu compte que les collègues vaccinés étaient atteints... d'une méchante grippe !
En fait, il pleut au village mais également en altitude sur les pistes.
Du coup, nous prenons le bus et partons visiter La Clusaz.
Il pleut tellement là-bas également que la visite est vite faite.
Nous déjeunons tout de même sur place et rentrons au chalet au Grand Bornand.
Heureusement, le vendredi 14 février est un peu plus clément.
La pluie, absente, nous permet de chausser nos raquettes et de partir tranquillement faire notre randonnée.
Le ciel est chargé et il ne tarde pas à se mettre à neiger.
La neige n'est pas un obstacle par rapport à la pluie de la veille et nous profitons de cette dernière journée à la montagne.
Nous dinons le soir d'une fondue royale (accompagnement de charcuterie et de pommes de terre) dans un restaurant qui semble tout nouvellement ouvert.
Malgré nos soucis de santé, cette semaine au ski nous a fait du bien et nous a même permis de prendre quelques couleurs.
Nous ferons-nous vacciner l'année prochaine pour notre nouvelle semaine de ski ?
Rien n'est moins sûr car de retour au bureau, je me suis rendu compte que les collègues vaccinés étaient atteints... d'une méchante grippe !
12 years a slave
Le titre du film que nous sommes allés voir hier au soir se traduit par 12 ans d'esclavage.
On se demande d'ailleurs pourquoi il n'est pas en français ?
Nous savions avant d'aller le voir, que le sujet, l'esclavage aux États-Unis, n'allait pas être gai et que nous n'allions pas rire.
Aucun risque de sourire dans ce film qui nous montre l'esclavage tel qu'il était.
Chaque scène nous prend aux tripes, l'histoire nous émeut et nous révolte, les scènes de fouet nous écœurent.
12 years a slave est un très bon film qui nous montre toute la réalité du quotidien des esclaves noirs d'Amérique, de leurs maîtres et maîtresses, et nous replonge dans cette période où débutaient tout juste les questions sur l'ignominie que vit la communauté noire.
12 years a slave est une histoire vraie.
Celle de Solomon Northup, un homme libre qui vit dans l'état de New York avec sa femme, sa fille et son fils. Les parents travaillent et permettent une vie correcte à toute la famille. Ils sont propriétaires de leur appartement, font leurs courses, fréquentent la communauté blanche. Solomon est également très bon violoniste.
Mais tandis que sa femme part en voyage d'affaires accompagnée de ses enfants, Solomon rencontre deux hommes qui l'invitent à venir jouer du violon dans leur cirque à Washington pour montrer son talent. Les deux hommes le saoule et il se réveille le lendemain matin enchaîné dans une cave.
Des esclavagistes viennent de l'enlever.
Solomon est vendu sous le nom de Platt et restera esclave de plusieurs maîtres durant douze longues années...
Vous vous doutez bien que nous avons été tout retournés par ce film.
Pour ma part, j'ai pleuré pendant et après la séance, dans la voiture.
J'ai d'ailleurs beaucoup d'émotions qui remontent en écrivant ce billet et je l'avoue, nous avons eu du mal à trouver le sommeil.
Deux scènes vont rester à jamais gravées dans ma mémoire : le long gros plan sur l'admirable acteur Chiwetel Ejiofor qui tient le rôle principal, qui semble regarder le public en implorant son aide et en lui demandant comment des hommes peuvent faire subir ces traitements à d'autres hommes !
La scène du fouet contre la jeune esclave Patsey est horrible et on souffre pour elle.
12 years a slave est un grand film de cinéma qui nous montre le pire côté de l'Humanité, celui que nous exécrons, celui qui nous révolte, celui qui nous donne honte, celui que nous voudrions voir disparaître et qu'il n'existe plus jamais.
On se demande d'ailleurs pourquoi il n'est pas en français ?
Nous savions avant d'aller le voir, que le sujet, l'esclavage aux États-Unis, n'allait pas être gai et que nous n'allions pas rire.
Aucun risque de sourire dans ce film qui nous montre l'esclavage tel qu'il était.
Chaque scène nous prend aux tripes, l'histoire nous émeut et nous révolte, les scènes de fouet nous écœurent.
12 years a slave est un très bon film qui nous montre toute la réalité du quotidien des esclaves noirs d'Amérique, de leurs maîtres et maîtresses, et nous replonge dans cette période où débutaient tout juste les questions sur l'ignominie que vit la communauté noire.
12 years a slave est une histoire vraie.
Celle de Solomon Northup, un homme libre qui vit dans l'état de New York avec sa femme, sa fille et son fils. Les parents travaillent et permettent une vie correcte à toute la famille. Ils sont propriétaires de leur appartement, font leurs courses, fréquentent la communauté blanche. Solomon est également très bon violoniste.
Mais tandis que sa femme part en voyage d'affaires accompagnée de ses enfants, Solomon rencontre deux hommes qui l'invitent à venir jouer du violon dans leur cirque à Washington pour montrer son talent. Les deux hommes le saoule et il se réveille le lendemain matin enchaîné dans une cave.
Des esclavagistes viennent de l'enlever.
Solomon est vendu sous le nom de Platt et restera esclave de plusieurs maîtres durant douze longues années...
Vous vous doutez bien que nous avons été tout retournés par ce film.
Pour ma part, j'ai pleuré pendant et après la séance, dans la voiture.
J'ai d'ailleurs beaucoup d'émotions qui remontent en écrivant ce billet et je l'avoue, nous avons eu du mal à trouver le sommeil.
Deux scènes vont rester à jamais gravées dans ma mémoire : le long gros plan sur l'admirable acteur Chiwetel Ejiofor qui tient le rôle principal, qui semble regarder le public en implorant son aide et en lui demandant comment des hommes peuvent faire subir ces traitements à d'autres hommes !
La scène du fouet contre la jeune esclave Patsey est horrible et on souffre pour elle.
12 years a slave est un grand film de cinéma qui nous montre le pire côté de l'Humanité, celui que nous exécrons, celui qui nous révolte, celui qui nous donne honte, celui que nous voudrions voir disparaître et qu'il n'existe plus jamais.
vendredi 21 février 2014
La belle et la bête
C'est un film français bourré d'effets spéciaux que nous sommes allés voir hier au soir au cinéma : La belle et la bête.
La France n'a pas a rougir face aux grands films américains.
D'ailleurs en voyant les extraits, je pensais que le film venait tout droit des États-Unis.
L'histoire :
au début des années 1800, un veuf père de six enfants (trois garçons et trois filles) joué par l'excellent André Dussollier, est un riche marchand propriétaire de trois bateaux.
Malheureusement, les trois navires sont pris dans une tempête et coulent entrainant dans ce triple naufrage, celui de la famille toute entière.
Ruinés, ils se retrouvent tous dans une maison à la campagne où seule, Belle est heureuse.
Son père, suite à une chute du haut d'une falaise découvre un endroit étrange où les saisons ne sont pas les mêmes que dans le reste du pays, où la végétation est différente, où il découvre un château en ruines.
Dans cette demeure qui semble abandonnée, il découvre une montagne de victuailles, des habits, des bijoux... qui semblent lui être offerts.
Au moment de partir, il prend une rose sur un gigantesque rosier, pour sa cadette Belle, mais le propriétaire, la Bête, apparait alors lui indiquant que le vol de cette rose l'oblige à revenir vivre éternellement au château sous peine que toute sa famille soit massacrée.
De retour dans son foyer, il explique tout à ses enfants.
Belle décide alors de prendre la place de son père au château...
La Belle et la Bête (2014) - Bande-annonce [VF|HD] par mator-fr Le film est très poétique, les effets spéciaux sont splendides, les petites créatures sont trop mignonnes, les flashbacks pour expliquer l'histoire de la Bête tombent à pic à chaque fois, le réveil des statues géantes est très bien fait, la Bête est belle et semble parfois tellement humaine...
Bref, c'est un merveilleux film qui nous a fait rêver.
On regrette cependant une certaine lenteur et surtout le fait, qu'instantanément, alors que Belle semble rejeter la Bête, elle en tombe follement amoureuse. Ce doit être ce qu'on appelle le coup de foudre. On aurait aimé que ce changement d'émotion envers la Bête soit plus expliqué.
Il nous reste à le comparer avec l'oeuvre cinématographique dans laquelle joue Jean Marais datant de 1946.
La France n'a pas a rougir face aux grands films américains.
D'ailleurs en voyant les extraits, je pensais que le film venait tout droit des États-Unis.
L'histoire :
au début des années 1800, un veuf père de six enfants (trois garçons et trois filles) joué par l'excellent André Dussollier, est un riche marchand propriétaire de trois bateaux.
Malheureusement, les trois navires sont pris dans une tempête et coulent entrainant dans ce triple naufrage, celui de la famille toute entière.
Ruinés, ils se retrouvent tous dans une maison à la campagne où seule, Belle est heureuse.
Son père, suite à une chute du haut d'une falaise découvre un endroit étrange où les saisons ne sont pas les mêmes que dans le reste du pays, où la végétation est différente, où il découvre un château en ruines.
Dans cette demeure qui semble abandonnée, il découvre une montagne de victuailles, des habits, des bijoux... qui semblent lui être offerts.
Au moment de partir, il prend une rose sur un gigantesque rosier, pour sa cadette Belle, mais le propriétaire, la Bête, apparait alors lui indiquant que le vol de cette rose l'oblige à revenir vivre éternellement au château sous peine que toute sa famille soit massacrée.
De retour dans son foyer, il explique tout à ses enfants.
Belle décide alors de prendre la place de son père au château...
La Belle et la Bête (2014) - Bande-annonce [VF|HD] par mator-fr Le film est très poétique, les effets spéciaux sont splendides, les petites créatures sont trop mignonnes, les flashbacks pour expliquer l'histoire de la Bête tombent à pic à chaque fois, le réveil des statues géantes est très bien fait, la Bête est belle et semble parfois tellement humaine...
Bref, c'est un merveilleux film qui nous a fait rêver.
On regrette cependant une certaine lenteur et surtout le fait, qu'instantanément, alors que Belle semble rejeter la Bête, elle en tombe follement amoureuse. Ce doit être ce qu'on appelle le coup de foudre. On aurait aimé que ce changement d'émotion envers la Bête soit plus expliqué.
Il nous reste à le comparer avec l'oeuvre cinématographique dans laquelle joue Jean Marais datant de 1946.
jeudi 20 février 2014
De l'argent en half-pipe
Tandis que nous étions au cinéma, ce sera le billet de demain, nous avons appris grâce à l'application smartphone francetv info que Marie Martinod remportait la deuxième place en half-pipe.
Bravo à elle.
La France récolte donc 15 médailles mais reste à la 9ème place.
Bravo à elle.
La France récolte donc 15 médailles mais reste à la 9ème place.
Un jour historique pour le sport français
Jean-Frédéric Chapuis, Arnaud Bovolenta et Jonathan Midol ont remporté respectivement la médaille d'or, la médaille d'argent et la médaille de bronze dans la même épreuve olympique, en skicross.
Il faut remonter aux JO d'été de 1924 pour revivre un même exploit.
Bravo les gars !
La France comptabilise 14 médailles et prend la 9ème place de ces Jeux Olympiques devant la Pologne et derrière la Biélorussie.
Il faut remonter aux JO d'été de 1924 pour revivre un même exploit.
Bravo les gars !
La France comptabilise 14 médailles et prend la 9ème place de ces Jeux Olympiques devant la Pologne et derrière la Biélorussie.
мужність наші українські друзі
Nous avons une grosse pensée pour les ukrainiens qui tentent depuis des mois de se libérer du joug russe et de leur poupée de chiffon, le Président Viktor Ianoukovytch.
MM Ianoukovytch et Poutine : la majorité du peuple ukrainien souhaite rejoindre l'Union Européenne et mettre un terme à l'ingérence russe dans leurs destinés.
Cessez cette sanglante répression, vous n'êtes plus crédibles en Ukraine et dans le reste du monde.
Les ukrainiens sont nos frères européens !
У нас є великий думка для українських намагається протягом декількох місяців, щоб звільнитися від російського панування і їх ганчіркову ляльку, Президента України Віктора Януковича.
Янукович і Путін: більшість українського народу хоче приєднатися до Європейського союзу і покласти край російського втручання в їх призначенням.
Зупинити цей криваві репресії, у вас більше довіри в Україні і в світі.
Українці наші європейські брати!
MM Ianoukovytch et Poutine : la majorité du peuple ukrainien souhaite rejoindre l'Union Européenne et mettre un terme à l'ingérence russe dans leurs destinés.
Cessez cette sanglante répression, vous n'êtes plus crédibles en Ukraine et dans le reste du monde.
Les ukrainiens sont nos frères européens !
У нас є великий думка для українських намагається протягом декількох місяців, щоб звільнитися від російського панування і їх ганчіркову ляльку, Президента України Віктора Януковича.
Янукович і Путін: більшість українського народу хоче приєднатися до Європейського союзу і покласти край російського втручання в їх призначенням.
Зупинити цей криваві репресії, у вас більше довіри в Україні і в світі.
Українці наші європейські брати!
mercredi 19 février 2014
Les grippés font du ski
Mardi 11 février, la "grippe" nous a cloué au lit toute la journée.
Et pourtant il faisait tellement beau !
Regardez plutôt ces deux photos du Grand Bornand.
Nous n'avons fait qu'une courte sortie à la pharmacie (c'est la personne qui nous connaissait le mieux au village !) pour recharger nos stocks d'efferalgans.
Heureusement le lendemain, le soleil est toujours présent.
Nous passons la journée entière sur les pistes en prenant autant de plaisir à skier que nous en avions eu dimanche, dernier jour de beau temps.
Il y a beaucoup d'enfants en ce mercredi, mais les pistes sont quasiment toutes à nous.
Les Airelles, les Chardons Blancs, les Tétras, la Piste 2000, la Combe de la Tolar, les Dames, les Églantines, le Bois Joli, les Fougères, les Gentianes, l'Abondance, les Cyclamens, la Serpentine, les Violettes, l'Azalée, la Sapinière, les Envers... n'ont plus aucun secret pour nous !
La forme revient même si les efferalgans ne sont pas loin et surtout nos mouchoirs de papier.
Et pourtant il faisait tellement beau !
Regardez plutôt ces deux photos du Grand Bornand.
Nous n'avons fait qu'une courte sortie à la pharmacie (c'est la personne qui nous connaissait le mieux au village !) pour recharger nos stocks d'efferalgans.
Heureusement le lendemain, le soleil est toujours présent.
Nous passons la journée entière sur les pistes en prenant autant de plaisir à skier que nous en avions eu dimanche, dernier jour de beau temps.
Il y a beaucoup d'enfants en ce mercredi, mais les pistes sont quasiment toutes à nous.
Les Airelles, les Chardons Blancs, les Tétras, la Piste 2000, la Combe de la Tolar, les Dames, les Églantines, le Bois Joli, les Fougères, les Gentianes, l'Abondance, les Cyclamens, la Serpentine, les Violettes, l'Azalée, la Sapinière, les Envers... n'ont plus aucun secret pour nous !
La forme revient même si les efferalgans ne sont pas loin et surtout nos mouchoirs de papier.
Comme à Vancouver
En 2010, la France avait remporté 11 médailles.
Quatre ans plus tard, notre pays récolte le même nombre de médailles grâce à la médaille d'argent de Steve Missillier (originaire du Grand Bornand !) et une de bronze pour Alexis Pinturault en géant.
Bravo à tous les deux !
La France prend la 10ème place de ces Jeux Olympiques d'hiver derrière la Pologne et devant la Chine.
Quatre ans plus tard, notre pays récolte le même nombre de médailles grâce à la médaille d'argent de Steve Missillier (originaire du Grand Bornand !) et une de bronze pour Alexis Pinturault en géant.
Bravo à tous les deux !
La France prend la 10ème place de ces Jeux Olympiques d'hiver derrière la Pologne et devant la Chine.
mardi 18 février 2014
Et de neuf !
Kevin Rolland a remporté la troisième place de ski half-pipe et augmente d'une médaille de bronze la récolte française.
Bravo Kevin !
Bravo Kevin !
Le lundi au soleil
Le lever de ce lundi 10 février est plutôt difficile pour ma part.
J'ai claqué des dents toute la nuit, et fait nouveau ce matin : je tousse.
Frédéric étant en pleine forme et pensant encore à cet instant, que ma petite condition physique est due à la fatigue de la veille, c'est fiévreux, fatigué et malade que je pars à l'assaut des pistes avec lui.
Le week-end est terminé, les touristes nous laissent l'entière disposition des pistes, quasiment rien que pour nous.
Il faut dire que la météo n'est plus du tout ensoleillée !
Plus nous avançons dans la journée, plus le temps se dégrade.
Nous commençons par un ciel couvert accompagné d'un froid vif (même Frédéric qui n'est pas malade à froid)
Le vent souffle fort, la neige s'envole du sol pour venir frapper nos visages.
La visibilité baisse énormément si bien que nous n'arrivons plus à distinguer aucun relief.
Ma fatigue accumulée à ces exécrables conditions climatiques me font perdre tous mes repères.
Je ne dois mon salut qu'en essayant de suivre Frédéric de visu mais également en l'appelant pour savoir où il est.
En milieu d'après-midi, nous nous réfugions dans un chalet pour déjeuner.
Je tousse de plus en plus et j'alterne entre moments de sensation de grand froid et de forte transpiration.
Dehors, le brouillard est tel que nous devinons à peine la terrasse.
La neige fait son apparition sous formes de très gros flocons.
Nous décidons de rentrer mais la dernière descente nous demande énormément de temps.
La visibilité est nulle.
Parfois, nous doublons, au ralenti, d'autres naufragés coincés sur la piste et qui tous comme nous n'ont qu'un souhait : se retrouver chez eux au chaud.
Après de longues pauses pour reprendre notre souffle, le vent nous coupe la respiration, nous parvenons enfin en bas des pistes.
Il a neigé ici également et il neigera toute la nuit.
A nouveau épuisé par ce que nous décelons être un genre de grippe, je me couche comme les poules.
Dans la nuit, j'entends Frédéric gémir et délirer.
La fièvre l'a atteint également et nous voici tous les deux malades !
Après ces deux premières journées de ski, nous déclarons forfait pour les descentes que nous avions prévues mardi.
Les grippés font du ski vont passer la journée à tenter la descente de la fièvre !
J'ai claqué des dents toute la nuit, et fait nouveau ce matin : je tousse.
Frédéric étant en pleine forme et pensant encore à cet instant, que ma petite condition physique est due à la fatigue de la veille, c'est fiévreux, fatigué et malade que je pars à l'assaut des pistes avec lui.
Le week-end est terminé, les touristes nous laissent l'entière disposition des pistes, quasiment rien que pour nous.
Il faut dire que la météo n'est plus du tout ensoleillée !
Plus nous avançons dans la journée, plus le temps se dégrade.
Nous commençons par un ciel couvert accompagné d'un froid vif (même Frédéric qui n'est pas malade à froid)
Le vent souffle fort, la neige s'envole du sol pour venir frapper nos visages.
La visibilité baisse énormément si bien que nous n'arrivons plus à distinguer aucun relief.
Ma fatigue accumulée à ces exécrables conditions climatiques me font perdre tous mes repères.
Je ne dois mon salut qu'en essayant de suivre Frédéric de visu mais également en l'appelant pour savoir où il est.
En milieu d'après-midi, nous nous réfugions dans un chalet pour déjeuner.
Je tousse de plus en plus et j'alterne entre moments de sensation de grand froid et de forte transpiration.
Dehors, le brouillard est tel que nous devinons à peine la terrasse.
La neige fait son apparition sous formes de très gros flocons.
Nous décidons de rentrer mais la dernière descente nous demande énormément de temps.
La visibilité est nulle.
Parfois, nous doublons, au ralenti, d'autres naufragés coincés sur la piste et qui tous comme nous n'ont qu'un souhait : se retrouver chez eux au chaud.
Après de longues pauses pour reprendre notre souffle, le vent nous coupe la respiration, nous parvenons enfin en bas des pistes.
Il a neigé ici également et il neigera toute la nuit.
A nouveau épuisé par ce que nous décelons être un genre de grippe, je me couche comme les poules.
Dans la nuit, j'entends Frédéric gémir et délirer.
La fièvre l'a atteint également et nous voici tous les deux malades !
Après ces deux premières journées de ski, nous déclarons forfait pour les descentes que nous avions prévues mardi.
Les grippés font du ski vont passer la journée à tenter la descente de la fièvre !
L'or et l'argent
C'est Pierre Vaultier qui a remporté la première place en snowboard cross. Il rapporte ainsi la troisième médaille d'or pour la France aux JO de Sotchi.
Martin Fourcade a été battu de quelques centimètres par le norvégien Emil Svendsen en mass start de biathlon.
Le héros français de cette compétition remporte tout de même la deuxième place et ajoute une médaille d'argent aux compteurs français qui sont dorénavant de huit médailles (trois en or, une en argent, quatre en bronze) et plaçant notre pays à la 11ème place de ces Jeux Olympiques derrière la Chine et devant l'Autriche.
Bravo à eux deux.
Martin Fourcade a été battu de quelques centimètres par le norvégien Emil Svendsen en mass start de biathlon.
Le héros français de cette compétition remporte tout de même la deuxième place et ajoute une médaille d'argent aux compteurs français qui sont dorénavant de huit médailles (trois en or, une en argent, quatre en bronze) et plaçant notre pays à la 11ème place de ces Jeux Olympiques derrière la Chine et devant l'Autriche.
Bravo à eux deux.
lundi 17 février 2014
Skier sous le soleil
La journée de dimanche 9 février était splendide en montagne.
Équipés de nos skis et chaussures de locations,
nos forfaits en poches, nous passons notre dimanche sur les pistes enneigées du Grand Bornand sous un soleil radieux.
Toutes les conditions sont présentes pour profiter de notre première journée au maximum et surtout pour profiter des paysages que nous offre la montagne en hiver.
Les vacances scolaires d'hiver n'avaient alors pas encore débutées et nous étions presque seuls sur les pistes.
Point d'attente aux remontées mécaniques et c'est avec un grand plaisir que nous dévalons les pistes vertes, bleues et rouges du Grand Bornand et du Chinaillon.
Nous avons même la chance de pouvoir déjeuner dehors en milieu d'après-midi.
De retour au chalet cependant, cette fin journée est synonyme pour moi d'une grande fatigue.
Je me sens fiévreux, j'ai des douleurs, je prends mal à la tête, j'ai les yeux qui brûlent.
Littéralement épuisé; c'est rare; je n'ai qu'une idée en tête : me coucher; c'est encore plus rare.
Est-ce la fatigue de cette première journée de ski qui m'a mis dans cet état, comme le pense Frédéric ?
Ou pas ?...
Équipés de nos skis et chaussures de locations,
nos forfaits en poches, nous passons notre dimanche sur les pistes enneigées du Grand Bornand sous un soleil radieux.
Toutes les conditions sont présentes pour profiter de notre première journée au maximum et surtout pour profiter des paysages que nous offre la montagne en hiver.
Les vacances scolaires d'hiver n'avaient alors pas encore débutées et nous étions presque seuls sur les pistes.
Point d'attente aux remontées mécaniques et c'est avec un grand plaisir que nous dévalons les pistes vertes, bleues et rouges du Grand Bornand et du Chinaillon.
Nous avons même la chance de pouvoir déjeuner dehors en milieu d'après-midi.
De retour au chalet cependant, cette fin journée est synonyme pour moi d'une grande fatigue.
Je me sens fiévreux, j'ai des douleurs, je prends mal à la tête, j'ai les yeux qui brûlent.
Littéralement épuisé; c'est rare; je n'ai qu'une idée en tête : me coucher; c'est encore plus rare.
Est-ce la fatigue de cette première journée de ski qui m'a mis dans cet état, comme le pense Frédéric ?
Ou pas ?...
dimanche 16 février 2014
JO d'hiver = vacances à la montagne pour nous
Nous ne l'avions pas fait exprès, mais la dernière fois que nous nous sommes rendus au Grand Bornand pour une semaine de vacances, c'était en 2010 lors des JO de Vancouver au Canada.
Quatre ans plus tard, les JO ont lieu en Russie et nous voici revenus au Grand Bornand pour une semaine de congés !
Samedi de la semaine dernière, nous avons pris possession du rez-de-chaussée de notre chalet.
Au-dessus se trouve la famille d'un médaillé d'argent des JO de Turin en 2006 bien connu au Grand Bornand.
Le chalet est bien conçu et typiquement décoré aux couleurs de Savoie.
On adore.
Nous adorons également la superbe vue que nous offre notre terrasse sur le village.
La neige est au rendez-vous en ce samedi soir.
Les propriétaires nous ont fait un cadeau d'arrivée : un succulent reblochon fermier !
Nous débutons nos vacances par un petit apéritif et nous nous installons tranquillement pour débuter cette semaine sportive dans cet bel appartement, qui est tout de même un peu trop chauffé à notre goût.
Quatre ans plus tard, les JO ont lieu en Russie et nous voici revenus au Grand Bornand pour une semaine de congés !
Samedi de la semaine dernière, nous avons pris possession du rez-de-chaussée de notre chalet.
Au-dessus se trouve la famille d'un médaillé d'argent des JO de Turin en 2006 bien connu au Grand Bornand.
Le chalet est bien conçu et typiquement décoré aux couleurs de Savoie.
On adore.
Nous adorons également la superbe vue que nous offre notre terrasse sur le village.
La neige est au rendez-vous en ce samedi soir.
Les propriétaires nous ont fait un cadeau d'arrivée : un succulent reblochon fermier !
Nous débutons nos vacances par un petit apéritif et nous nous installons tranquillement pour débuter cette semaine sportive dans cet bel appartement, qui est tout de même un peu trop chauffé à notre goût.
Du bronze en ski de fond
Nos athlètes sont en forme en cette journée de dimanche puisque quatre d'entre eux viennent de remporter la sixième médaille pour la France, la médaille de bronze en relais 4x10km messieurs de ski de fond.
Bravo à Jean-Marc Gaillard, Maurice Magnificat, Robin Duvillard et Ivan Perrillat Boiteux.
Bravo à Jean-Marc Gaillard, Maurice Magnificat, Robin Duvillard et Ivan Perrillat Boiteux.
Les compteurs de la France redémarrent
Alors que les compteurs de médailles semblaient être bloqués sur le chiffre quatre, Chloé Trespeuch apporte la cinquième médaille à la France grâce à sa troisième place et sa médaille de bronze en snowboard cross.
Bravo à elle.
Bravo à elle.
Citius, Altius, Fortius
Plus vite, plus haut, plus fort.
Tandis que les JO d'Hiver entament leur seconde semaine et que la France compte quatre médailles,
deux médailles d'or pour Martin Fourcade en biathlon poursuites hommes et individuels hommes,
une de bronze pour Jean-Guillaume Béatrix en biathlon poursuites hommes,
une autre de bronze pour Coline Mattel en tremplin normal individuel dames,
un athlète français entre dans l'Histoire du sport.
Ce n'est pas une discipline de sport d'hiver puisqu'on parle ici d'athlétisme et de saut à la perche.
Renaud Lavillenie a battu hier le record du monde de saut à la perche établi par l'ukrainien Serguei Bubka en 1993 à 6,15 mètres.
Le record est dorénavant détenu par le français pour un saut à ... 6,16 mètres.
Tandis que les JO d'Hiver entament leur seconde semaine et que la France compte quatre médailles,
deux médailles d'or pour Martin Fourcade en biathlon poursuites hommes et individuels hommes,
une de bronze pour Jean-Guillaume Béatrix en biathlon poursuites hommes,
une autre de bronze pour Coline Mattel en tremplin normal individuel dames,
un athlète français entre dans l'Histoire du sport.
Ce n'est pas une discipline de sport d'hiver puisqu'on parle ici d'athlétisme et de saut à la perche.
Renaud Lavillenie a battu hier le record du monde de saut à la perche établi par l'ukrainien Serguei Bubka en 1993 à 6,15 mètres.
Le record est dorénavant détenu par le français pour un saut à ... 6,16 mètres.
samedi 8 février 2014
Avant la foule
Les vacances scolaires d'hiver débutent samedi prochain pour la première zone.
Vite, vite, partons en direction de la montagne avant l'arrivée de cette horde de vacanciers.
Le Grand Bornand sera le village où nous allons profiter des sports d'hiver.
C'est un retour dans un lieu connu puisque nous y sommes déjà allés quelques jours en 2010.
A notre retour, nous vous ferons part de notre semaine à la neige.
Vite, vite, partons en direction de la montagne avant l'arrivée de cette horde de vacanciers.
Le Grand Bornand sera le village où nous allons profiter des sports d'hiver.
C'est un retour dans un lieu connu puisque nous y sommes déjà allés quelques jours en 2010.
A notre retour, nous vous ferons part de notre semaine à la neige.
vendredi 7 février 2014
XXIIème JO d'hiver
La cérémonie d'ouverture des XXIIèmes JO d'hiver est diffusée actuellement sur les télévisions du monde entier.
Comme des milliards de téléspectateurs, nous sommes devant notre écran mais nous regarderons les différentes compétitions uniquement pour le sport.
Car ces Olympiades d'hiver se tiennent à Sotchi en Russie, dans ce pays dirigé par une main de fer par Vladimir Poutine qui est tantôt Président de la République (1999 - 2008), tantôt Premier Ministre (2008 - 2012), puis à nouveau Président de la République depuis 2012.
Alors qu'on aurait pu penser à un retour de la Démocratie à la chute de l'Empire Soviétique, la Russie reste sous le joug d'un Gouvernement autoritaire méprisant les liberté individuelles de chacun de ses citoyens et en pratiquant plus particulièrement les discriminations.
Ce soir, nous applaudissons les athlètes du monde entier et nous encourageons les russes victimes de la politique de leur Gouvernement.
Merci à Google et place au sport !
Comme des milliards de téléspectateurs, nous sommes devant notre écran mais nous regarderons les différentes compétitions uniquement pour le sport.
Car ces Olympiades d'hiver se tiennent à Sotchi en Russie, dans ce pays dirigé par une main de fer par Vladimir Poutine qui est tantôt Président de la République (1999 - 2008), tantôt Premier Ministre (2008 - 2012), puis à nouveau Président de la République depuis 2012.
Alors qu'on aurait pu penser à un retour de la Démocratie à la chute de l'Empire Soviétique, la Russie reste sous le joug d'un Gouvernement autoritaire méprisant les liberté individuelles de chacun de ses citoyens et en pratiquant plus particulièrement les discriminations.
Ce soir, nous applaudissons les athlètes du monde entier et nous encourageons les russes victimes de la politique de leur Gouvernement.
Merci à Google et place au sport !
jeudi 6 février 2014
The mind robber
Le Docteur, Jamie et Zoe se trouvent sur les pentes du Vésuve.
Pour échapper à une soudaine éruption, ils se réfugient dans le Tardis et se retrouvent dans un monde où tout semble être blanc.
Soudain, Jamie et Zoe aperçoivent sur les écrans de la machine à voyager dans le temps, des paysages de leurs planètes et de leurs époques respectives, tandis que de son côté, le Docteur ne voit absolument rien.
Ses deux compagnons décident de quitter le Tardis malgré son interdiction et il se voit obligé de les suivre.
Débute alors une grande aventure où ils croiseront des licornes, des robots, Méduse, Gulliver, D'Artagnan, Alice...
Sont-ils dans un monde réel ou ont-ils rejoint un monde imaginaire ?
Et qui est cette personne qui se fait appeler le Maître ?...
Cette aventure du Doctor Who, dont je viens de terminer le livre, date de 1968.
Je suis d'ailleurs tombé il y a quelques minutes sur l'épisode (en fait cinq) doublé... en italien.
Je vais de ce pas les regarder pour voir si l'histoire est la même.
Mon premier visionnage me fait préférer ce que j'ai imaginé en lisant le livre.
Doctor Who
The mind robber
N°115
Peter Ling
éditions Target
Pour échapper à une soudaine éruption, ils se réfugient dans le Tardis et se retrouvent dans un monde où tout semble être blanc.
Soudain, Jamie et Zoe aperçoivent sur les écrans de la machine à voyager dans le temps, des paysages de leurs planètes et de leurs époques respectives, tandis que de son côté, le Docteur ne voit absolument rien.
Ses deux compagnons décident de quitter le Tardis malgré son interdiction et il se voit obligé de les suivre.
Débute alors une grande aventure où ils croiseront des licornes, des robots, Méduse, Gulliver, D'Artagnan, Alice...
Sont-ils dans un monde réel ou ont-ils rejoint un monde imaginaire ?
Et qui est cette personne qui se fait appeler le Maître ?...
Cette aventure du Doctor Who, dont je viens de terminer le livre, date de 1968.
Je suis d'ailleurs tombé il y a quelques minutes sur l'épisode (en fait cinq) doublé... en italien.
Je vais de ce pas les regarder pour voir si l'histoire est la même.
Mon premier visionnage me fait préférer ce que j'ai imaginé en lisant le livre.
Doctor Who
The mind robber
N°115
Peter Ling
éditions Target
mercredi 5 février 2014
Le Médipôle Lyon - Villeurbanne
Lyon et Villeurbanne vont voir apparaître d'ici quelques années une nouvelle clinique à Villeurbanne, près du périphérique, de l'autre côté du Carré de Soie. (à l'endroit même où il était question à une époque de construire le nouvel Astroballe)
La Mutualité Française et le Groupe Capio ont en effet décidé d'ouvrir un nouvel établissement en regroupant cinq de leurs cliniques. (Clinique Mutualiste de Lyon, Clinique de l'Union, Clinique du Grand-Large, Centre des Ormes, Clinique du Tonkin et le Centre Bayard)
On nous annonce 708 lits et une multitude de spécialités médicales qui seront toutes regroupées au même endroit.
Voici le logo annoncé à la presse
ainsi que la maquette du Médipôle.
Cette architecture va transformer le quartier, qui a déjà débuté sa pleine mutation.
Et cela tombe très bien...
La Mutualité Française et le Groupe Capio ont en effet décidé d'ouvrir un nouvel établissement en regroupant cinq de leurs cliniques. (Clinique Mutualiste de Lyon, Clinique de l'Union, Clinique du Grand-Large, Centre des Ormes, Clinique du Tonkin et le Centre Bayard)
On nous annonce 708 lits et une multitude de spécialités médicales qui seront toutes regroupées au même endroit.
Voici le logo annoncé à la presse
ainsi que la maquette du Médipôle.
Cette architecture va transformer le quartier, qui a déjà débuté sa pleine mutation.
Et cela tombe très bien...
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