C'est un film français bourré d'effets spéciaux que nous sommes allés voir hier au soir au cinéma : La belle et la bête.
La France n'a pas a rougir face aux grands films américains.
D'ailleurs en voyant les extraits, je pensais que le film venait tout droit des États-Unis.
L'histoire :
au début des années 1800, un veuf père de six enfants (trois garçons et trois filles) joué par l'excellent André Dussollier, est un riche marchand propriétaire de trois bateaux.
Malheureusement, les trois navires sont pris dans une tempête et coulent entrainant dans ce triple naufrage, celui de la famille toute entière.
Ruinés, ils se retrouvent tous dans une maison à la campagne où seule, Belle est heureuse.
Son père, suite à une chute du haut d'une falaise découvre un endroit étrange où les saisons ne sont pas les mêmes que dans le reste du pays, où la végétation est différente, où il découvre un château en ruines.
Dans cette demeure qui semble abandonnée, il découvre une montagne de victuailles, des habits, des bijoux... qui semblent lui être offerts.
Au moment de partir, il prend une rose sur un gigantesque rosier, pour sa cadette Belle, mais le propriétaire, la Bête, apparait alors lui indiquant que le vol de cette rose l'oblige à revenir vivre éternellement au château sous peine que toute sa famille soit massacrée.
De retour dans son foyer, il explique tout à ses enfants.
Belle décide alors de prendre la place de son père au château...
La Belle et la Bête (2014) - Bande-annonce [VF|HD] par mator-fr
Le film est très poétique, les effets spéciaux sont splendides, les petites créatures sont trop mignonnes, les flashbacks pour expliquer l'histoire de la Bête tombent à pic à chaque fois, le réveil des statues géantes est très bien fait, la Bête est belle et semble parfois tellement humaine...
Bref, c'est un merveilleux film qui nous a fait rêver.
On regrette cependant une certaine lenteur et surtout le fait, qu'instantanément, alors que Belle semble rejeter la Bête, elle en tombe follement amoureuse. Ce doit être ce qu'on appelle le coup de foudre. On aurait aimé que ce changement d'émotion envers la Bête soit plus expliqué.
Il nous reste à le comparer avec l'oeuvre cinématographique dans laquelle joue Jean Marais datant de 1946.
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