Une halte à l'érablière et un petit tour au chaud pour boire nos verres de réduit (vous connaissez maintenant les conséquences) à la cabane à sucre.
On réalise la quantité de bois qu'il faut pour obtenir ce nectar québécois.
On découvre là les outils anciens et les raquettes qui permettent de marcher en forêt.
Même s'il reste de la neige, nous ne les utiliserons pas durant notre marche.
Parfois, des ruisseaux apparaissent mais heureusement, nos guides connaissent bien les lieux.
On aperçoit des vols d'oiseaux migrateurs
mais nous découvrons surtout le dur labeur exécuté par les castors. Ces grands travailleurs n'ont peur de rien et s'attaquent à n'importe quel arbre quel que soit sa circonférence ou sa hauteur. C'est impressionnant et en plus, les traces laissées sur les troncs sont belles voir artistiques. On voit chaque coup de dents.
Ils construisent des barrages et des retenues d'eau sur les rivières et jouent avec eux un rôle important dans le cycle de l'eau. Parfois cependant, les Humains doivent les détruire car ils gênent la circulation fluviale.
Nous quittons la famille mais promettons de revenir vite pour découvrir la région à une autre saison.
Ils construisent également des huttes pour s'y réfugier.
Certains arbres qui sont restés debout, servent de... porte-champignons.
Direction maintenant, Montréal.
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