Malgré l'herbe sur la voie, la Gare du Grau-du-Roi est toujours en activité. Si elle est ouverte tous les jours entre mai à septembre, elle est fermée les samedis, dimanches et jours fériés en dehors de cette période. Nous traversons les voies en empruntant une passerelle.
Nous voici Rue des Arènes qui nous mène bien évidemment à un autre symbole graulen, les arènes. Si elles existent depuis 1960 et peuvent accueillir 3 000 personnes, trois statues de cocardiers (taureaux) ont été érigées à l'entrée depuis 2002. Dans ces arènes, il n'y a aucune corrida mais des courses camarguaises où des sportifs tentent d'enlever des éléments accrochés aux cornes des animaux.Aucun taureau en vue, l'arène accueille aujourd'hui un vide-grenier. Nous avons du rater mes parents de peu mais ils ont eu bien raison de venir tôt car il commence déjà à faire chaud sur le sable.Sur le Quai Colbert, nous décidons de nous arrêter à un café, véritable institution au Grau-du-Roi, Le Grand Café de Paris qui a ouvert ses portes il y a 110 ans, en 1912 !Ce qui fait le charme de cet établissement, c'est son architecture et ses décorations avec de nombreuses affiches,
dont on se demande comment certaines n'ont pas encore été censurées par certains groupes ou activistes.
Si l'architecture, les affiches donnent l'air d'une autre époque, les fauteuils en osier et la décoration intérieure nous transportent tout autant dans le temps.Combien de fessiers ont vu passer ces sièges en 110 ans même si j'imagine qu'ils sont régulièrement changés mais en conservant le même modèle. C'est en tout cas celui que j'ai toujours vu depuis autant que je m'en souvienne.La dernière particularité du Grand Café de Paris, c'est sa verrière colorée.
Nous rejoignons toute la famille Rue Michel Redares, la grande rue commerçante à la salle de jeux, Circus où même Goku se laisse tenter par une partie...Il est temps de rentrer car les embouteillages commencent sur le chemin du retour. Si mes parents restent et vont passer encore une belle semaine, nous nous promettons de revenir encore et encore... en basse saison comme ici.
Nous rejoignons toute la famille Rue Michel Redares, la grande rue commerçante à la salle de jeux, Circus où même Goku se laisse tenter par une partie...Il est temps de rentrer car les embouteillages commencent sur le chemin du retour. Si mes parents restent et vont passer encore une belle semaine, nous nous promettons de revenir encore et encore... en basse saison comme ici.
1 commentaire:
c'était chouette !!!
Enregistrer un commentaire