dimanche 6 mai 2018

Cancùn

Notre hôtel est situé dans la partie de la ville où résident les habitants de Cancùn plus proche de l'aéroport et du "centre-ville".
Le Gouvernement décide dans les années 60 d’attirer les touristes du monde entier au bord de la mer en créant de toutes pièces des stations balnéaires mais il faut attendre 1974 pour qu'ouvre le premier complexe hôtelier. Depuis, des centaines de constructions ont été édifiées sur une bande de terre de 23 kilomètres qui est entourée par la lagune Nichupte et la Mer des Caraïbes.
Les mexicains aiment à dire que cette ville est l'une des seule qui n'a pas été construite par les conquistadors espagnols.
Nous marchons de notre hôtel au Zocalo où se pressent les habitants pour tenter d'échapper aux hordes de touristes.
Les parents accompagnent ici leurs enfants qui conduisent des répliques de voitures.
Le soleil se couche sur la scène qui accueillera demain les festivités des fêtes de Pâques.
Nous prenons un bus qui se dirige vers la zone hôtelière et descendons un peu au hasard.
Nous voici au bord de la lagune et de la mangrove. Les paysages ressemblent beaucoup à la Floride.

De l'autre côté, les hôtels bouchent la vue de la mer et en barrent l'accès.
Nous tentons d'entrer dans l'un de ces établissement mais nous sommes vite repérés et invités à quitter les lieux.
Nous nous dirigeons vers la tour d'observation de Cancùn
où nous repérons à son pied un genre de petit port avec des terrasses.
C'est là que nous mangeons deux énormes plats de fruits de mer dans le restaurant d'un hôtel.
Nous parvenons tout de même à enfin voir la Mer des Caraïbes car nous mangeons au bord de l'eau.
A la fin du repas, nous décidons d'aller nous promener sur une plage nous permettant de voir de près la mer et de marcher dans le sable.
Mais il nous est impossible de quitter la plage ailleurs que par là où nous sommes entrés, les autres accès étant exclusivement réservés aux clients des hôtels.
Nous faisons donc marche arrière et partons à pieds sur le boulevard.
Un bus s'approche, nous faisons signe au chauffeur et nous l'empruntons.
Sur la route du retour, nous voyons quelques monuments de Cancùn by night.
La ville est vraiment trop grande pour nous et nous avons du mal à accrocher.
Heureusement que nous nous étions bien documentés avant de partir et que nous avions décidé de faire l'impasse sur cette ville.
Air France en a décidé autrement pour nous.
Demain, il sera temps de mettre un terme au récit de nos vacances avec notre escapade à Cuba...

1 commentaire:

plou a dit…

la fin approche........