En ce samedi soir et malgré la pluie, nous sortons nous promener dans les rues de Valence.
Nous avons réservé une table dans un restaurant lors de nos précédentes promenades.
Nous mangerons cuisine traditionnelle et campagnarde puisque le nom du restaurant est La Ferme.
Toute la décoration extérieure et intérieure nous rappelle les fermes d'antan (que j'ai connues !)
Le fermier avec son béret se retrouve un peu partout et je mange d'ailleurs face à lui et sa passoire remplie de patates.
Le service est impeccable et nous notons l'habileté de notre jeune serveur à verser le vin dans nos verres : c'est plutôt rare !
Après un petit apéritif, c'est soir de fête, nous débutons une véritable orgie !
Nos entrées se composeront de plateaux de charcuterie pour moi (voir le détail sur la photo) et d'un énorme pot de terrine de lapin (oh mon Dieu !) pour Frédéric.
Nous aurions du en rester là car nous avons pris l'habitude de souper (ou dîner selon si vous êtes en ville ou à la campagne) plutôt de manière légère depuis quelque temps.
Mais nous ne pouvions pas venir en Valence sans manger les traditionnelles ravioles !
Un pur délice mais dont les plats étaient nettement trop copieux.
Véritablement gavés, nous n'avons pris qu'une soupe de fruits en dessert en ayant même du mal à la terminer !
La digestion étant très difficile, nous sommes allés nous promener pour admirer Valence by night.
A côté de La Ferme se situe le cinéma d'art et d'essais de la ville, Le Navire avec sa belle architecture qui me fait penser à notre Zola à Villeurbanne.
Les trottoirs du large Boulevard d'Alsace accueillent des jets d'eau que les illuminations rendent encore plus jolis.
Ce splendide bâtiment art-déco dans lequel nous nous sommes rendus accueille les Galeries de Valence (vêtements, restaurant et salle de sport au dernier étage).
Ce grand magasin a ré ouvert ses portes en décembre dernier car le bâtiment a été inoccupé durant 14 ans ! Auparavant, l'immeuble accueillait les Nouvelles Galeries de 1922 à 2000 et même encore avant Le Bazar de Valence de 1900 à 1922.
C'est une troisième jeunesse qui s'ouvre à lui.
Les boulevards sont bien illuminés mais du fait de la pluie, il y a peu de monde.
J'aime particulièrement la mise en lumière du Kiosque des Amoureux.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire