Ça fait vraiment bizarre d'écrire le titre de ce billet, car au moment où je tape ces quelques lignes, je porte une veste, les radiateurs sont chauds, il pleut dehors, il fait presque nuit, bref, l'été nous semble loin, très loin.
Et pourtant, c'est ce soir que débutent nos congés d'été.
Cette année en effet, nous partons début juin.
Mais avons-nous choisi la bonne destination, celle où nous trouverons soleil et chaleur ?
Rien n'est moins sûr !
Demain, nous vous dévoilerons le lieu où nous allons, beau temps ou pas, nous reposer et charger nos batteries pour affronter l'été lorsque vous serez à votre tour en congés.
vendredi 31 mai 2013
jeudi 30 mai 2013
C à vous
Depuis plusieurs années maintenant, nous avons pris l'habitude de suivre, surtout durant l'hiver où les printemps qui s'éternisent, l'émission de France 5, C à vous
Du lundi au vendredi à 19h00 nous avons plaisir à retrouver toute l'équipe menée par l'énergique Alessandra Sublet (originaire de Feyzin). Elle aime d'ailleurs à rappeler qu'elle est lyonnaise.
Elle est entourée de chroniqueurs avec qui elle ne cesse de délirer.
Et ça, on aime !
Commençons par le très sérieux Patrick Cohen qui à la charge d'interviewer les invités sur des sujets parfois légers, mais souvent graves et surtout traitant de l'actualité. Il est le sérieux de la bande.
Enfin pas si sérieux depuis qu'il se fait entraîner par les facéties des autres chroniqueurs qui l'ont affublé de divers surnoms, dont le plus célèbre reste Patou !
Côté journaliste (quel avenir pour sa carte de presse ?) il y a également Emmanuel Maubert qui à lui seul a du relancer la carrière de François Valéry, car, pas un soir ne passe sans que l'on entende le générique qui le caractérise : Emmanuel comme un soleil. Il est également la pauvre victime du plateau (mais on aime ça !) car il présente l'actualité de la télévision, et sa rubrique selon ses collègues, sort tout droit de Télé Poche.
Philippe Gaudin tente quant à lui de nous donner les actualités de ce qu'il fallait retenir en cette journée de jeudi 30 mai (il commence toujours sa chronique par ces mots, en changeant la date selon le jour, bien entendu Alessandra !) Il est malmené par son mentor, le grand Patrick Cohen, qui aime à le reprendre à chaque erreur. Il est souvent chambré sur ses tenues vestimentaires toujours impeccables, ses remplacements à BFM TV, et son amitié très proche pour Jean-Pierre Coffe.
Jérémy Michalak est chroniqueur. De quoi ? Tout le monde se le demande encore. Il semblerait qu'il arrive toujours plus tard, qu'il ne prépare absolument rien... et ça se voit ! Il a un tic : il fait toujours tourner son stylo dans sa main. C'est tout de même par lui, que nous apprenons tout ce qui fait le buzz sur la toile et dont en fait, tout le monde se fout. Mais on l'aime bien le petit Michalak. C'est un peu le chouchou de la maîtresse qui va ramasser les tableaux lorsqu'ils tombent, comme ce fut le cas dans l'émission d'hier.
Louise Ekland est la petite dernière. Elle est assez préservée par ses collègues, sans doute attristés par son handicap naturel : elle a un accent anglais ! Le pôvre petit boute de femme !
Il y a également de la cuisine avec les talentueux Luana Belmondo (la même que Louise mais en italien !), Babette de Rozières (la même que Louise et Luana mais en créole), Abdel Faraoui (le même que Louise, Luana et Babette mais en marocain), Julie Andrieu (la même que Louise, Luana, Babette... et ? et ? Michalak ne suit pas comme d'habitude. Il préfère faire des pitreries avec l'équipe et nier tout cela ensuite !, donc je disais la même que Louise, Luana, Babette et Abdel, mais en blonde ! Elle remplace d'ailleurs parfaitement Alessandra lors de ses absences. Quand je dis absences, c'est qu'elle n'est pas là, pas les absences qu'elle peut avoir sur le plateau.
N'oublions pas la petite Farida, très discrète... pour le moment.
Toute cette émission est réalisée, ou plutôt devrai-je dire est tentée d'être réalisée par Bruno Pinet et ses alcooliques... euh, ses acolytes même si parfois, certains soirs, on se demande si la régie n'a pas bu avec les plans et les cadrages qu'elle nous propose.
Me direz-vous, mais comment sait-il tout ça ?
Tout simplement en suivant, peu après le lancement de l'émission, la chronique de Mathieu Noël.
Son travail consiste à nous montrer tout ce qui a dérapé dans l'émission de la veille, et avec une bande si incontrôlable, dans une des rares émissions en direct à la télévision, il a de quoi remplir ses chroniques facilement !
Mais d'ailleurs, le reste de l'équipe, pauvres victimes de cet escroc de l'image et du son (si peu !), n'avez vous pas envie, avant le départ d'Alessandra, de vous venger ?
Vraiment un grand bravo à vous pour cette émission qui aborde tous les thèmes et dommage que son chef d'orchestre, quitte C à vous.
Vite, ça va commencer !
Du lundi au vendredi à 19h00 nous avons plaisir à retrouver toute l'équipe menée par l'énergique Alessandra Sublet (originaire de Feyzin). Elle aime d'ailleurs à rappeler qu'elle est lyonnaise.
Elle est entourée de chroniqueurs avec qui elle ne cesse de délirer.
Et ça, on aime !
Commençons par le très sérieux Patrick Cohen qui à la charge d'interviewer les invités sur des sujets parfois légers, mais souvent graves et surtout traitant de l'actualité. Il est le sérieux de la bande.
Enfin pas si sérieux depuis qu'il se fait entraîner par les facéties des autres chroniqueurs qui l'ont affublé de divers surnoms, dont le plus célèbre reste Patou !
Côté journaliste (quel avenir pour sa carte de presse ?) il y a également Emmanuel Maubert qui à lui seul a du relancer la carrière de François Valéry, car, pas un soir ne passe sans que l'on entende le générique qui le caractérise : Emmanuel comme un soleil. Il est également la pauvre victime du plateau (mais on aime ça !) car il présente l'actualité de la télévision, et sa rubrique selon ses collègues, sort tout droit de Télé Poche.
Philippe Gaudin tente quant à lui de nous donner les actualités de ce qu'il fallait retenir en cette journée de jeudi 30 mai (il commence toujours sa chronique par ces mots, en changeant la date selon le jour, bien entendu Alessandra !) Il est malmené par son mentor, le grand Patrick Cohen, qui aime à le reprendre à chaque erreur. Il est souvent chambré sur ses tenues vestimentaires toujours impeccables, ses remplacements à BFM TV, et son amitié très proche pour Jean-Pierre Coffe.
Jérémy Michalak est chroniqueur. De quoi ? Tout le monde se le demande encore. Il semblerait qu'il arrive toujours plus tard, qu'il ne prépare absolument rien... et ça se voit ! Il a un tic : il fait toujours tourner son stylo dans sa main. C'est tout de même par lui, que nous apprenons tout ce qui fait le buzz sur la toile et dont en fait, tout le monde se fout. Mais on l'aime bien le petit Michalak. C'est un peu le chouchou de la maîtresse qui va ramasser les tableaux lorsqu'ils tombent, comme ce fut le cas dans l'émission d'hier.
Louise Ekland est la petite dernière. Elle est assez préservée par ses collègues, sans doute attristés par son handicap naturel : elle a un accent anglais ! Le pôvre petit boute de femme !
Il y a également de la cuisine avec les talentueux Luana Belmondo (la même que Louise mais en italien !), Babette de Rozières (la même que Louise et Luana mais en créole), Abdel Faraoui (le même que Louise, Luana et Babette mais en marocain), Julie Andrieu (la même que Louise, Luana, Babette... et ? et ? Michalak ne suit pas comme d'habitude. Il préfère faire des pitreries avec l'équipe et nier tout cela ensuite !, donc je disais la même que Louise, Luana, Babette et Abdel, mais en blonde ! Elle remplace d'ailleurs parfaitement Alessandra lors de ses absences. Quand je dis absences, c'est qu'elle n'est pas là, pas les absences qu'elle peut avoir sur le plateau.
N'oublions pas la petite Farida, très discrète... pour le moment.
Toute cette émission est réalisée, ou plutôt devrai-je dire est tentée d'être réalisée par Bruno Pinet et ses alcooliques... euh, ses acolytes même si parfois, certains soirs, on se demande si la régie n'a pas bu avec les plans et les cadrages qu'elle nous propose.
Me direz-vous, mais comment sait-il tout ça ?
Tout simplement en suivant, peu après le lancement de l'émission, la chronique de Mathieu Noël.
Son travail consiste à nous montrer tout ce qui a dérapé dans l'émission de la veille, et avec une bande si incontrôlable, dans une des rares émissions en direct à la télévision, il a de quoi remplir ses chroniques facilement !
Mais d'ailleurs, le reste de l'équipe, pauvres victimes de cet escroc de l'image et du son (si peu !), n'avez vous pas envie, avant le départ d'Alessandra, de vous venger ?
Vraiment un grand bravo à vous pour cette émission qui aborde tous les thèmes et dommage que son chef d'orchestre, quitte C à vous.
Vite, ça va commencer !
mercredi 29 mai 2013
Mystère de La Poste

Ayant le besoin de récupérer un courrier, avant de partir en vacances, qui m'a été envoyé il y a quelques jours, j'ai posé mon après-midi pour pouvoir me rendre au centre de tri postal, comme me l'indiquait le message placardé sur notre porte.
A mon arrivée à la maison pour déjeuner, n'allons pas à La Poste le ventre vide, j'ai la surprise de trouver une boîte aux lettres pleine de courrier !
Je n'y comprends plus rien !
Les lettres les plus récentes ont été postées hier, les plus anciennes, le 7 mai dernier et heureusement, dans le tas, j'ai celui que j'attendais plus particulièrement.
Pourtant sur notre porte, il y a toujours le message nous invitant à nous rendre au centre de tri. Ce n'est sûrement pas un voisin qui l'a récupéré pour nous, car la personne de La Poste que j'ai eu au téléphone hier m'a affirmé que c'était tout à fait impossible.
Que comprendre ?
Plus rien !
Nous verrons ce qu'il va se passer les jours qui viennent, car à La Poste, les jours se suivent mais ne se ressemblent pas.
mardi 28 mai 2013
Quel culot !
Vous vous souvenez du billet sur nos problèmes de courrier il y a quelques jours ?
Et bien hier, nous avions enfin deux lettres !
Même si l'une des deux était une facture, nous étions presque sur le point d'ouvrir le champagne pour fêter ce retour à la normal.
A mon retour aujourd'hui ma joie de la veille a été vite dissipée en lisant le message suivant placardé sur la porte de notre allée :
Que s'est-il passé durant la nuit ?
Nul ne le sait.
Ni La Poste, dont la plate forme est à Paris, ni notre syndic de copropriété ne comprennent ce qui se passe.
Aucun changement d'interphone, aucun changement de serrure... et pourtant notre factrice n'arrive pas à accéder à nos boîtes aux lettres.
Bizarrement, le monsieur des publicités y parvient lui !
Résultat : notre courrier nous attend an centre de tri pendant des heures d'ouverture ou bien entendu, nous travaillons !
Et bien hier, nous avions enfin deux lettres !
Même si l'une des deux était une facture, nous étions presque sur le point d'ouvrir le champagne pour fêter ce retour à la normal.
A mon retour aujourd'hui ma joie de la veille a été vite dissipée en lisant le message suivant placardé sur la porte de notre allée :
Que s'est-il passé durant la nuit ?
Nul ne le sait.
Ni La Poste, dont la plate forme est à Paris, ni notre syndic de copropriété ne comprennent ce qui se passe.
Aucun changement d'interphone, aucun changement de serrure... et pourtant notre factrice n'arrive pas à accéder à nos boîtes aux lettres.
Bizarrement, le monsieur des publicités y parvient lui !
Résultat : notre courrier nous attend an centre de tri pendant des heures d'ouverture ou bien entendu, nous travaillons !
lundi 27 mai 2013
A la bourre !
dimanche 26 mai 2013
Bonne fête maman
C'est aujourd'hui qu'officiellement nous fêtons nos mamans mais c'est tous les jours que nous pensons à elles.
J'ai fêté la mienne hier, Frédéric fête la sienne aujourd'hui.
Bonne fête maman, nous vous aimons bien fort.
J'ai fêté la mienne hier, Frédéric fête la sienne aujourd'hui.
Bonne fête maman, nous vous aimons bien fort.
samedi 25 mai 2013
Plus de courrier
Je ne sais pas si nous sommes les seuls mais depuis quelques semaines, en fait, depuis le début des ponts du mois de mai, notre boîte aux lettres, reste désespérément vide !
Pas un seul courrier ne nous attend le soir à notre retour du travail alors même que nous devrions en avoir puisqu'on nous dit nous en envoyer.
Notre factrice fait elle un pont d'un mois ?
Est-elle en grève ?
En arrêt maladie non remplacé ?
Quelqu'un nous vole t-il notre courrier ?
J'attends encore de voir lundi, et s'il n'y a toujours rien, je me rendrai à mon bureau de poste pour mener mon enquête.
Pas un seul courrier ne nous attend le soir à notre retour du travail alors même que nous devrions en avoir puisqu'on nous dit nous en envoyer.
Notre factrice fait elle un pont d'un mois ?
Est-elle en grève ?
En arrêt maladie non remplacé ?
Quelqu'un nous vole t-il notre courrier ?
J'attends encore de voir lundi, et s'il n'y a toujours rien, je me rendrai à mon bureau de poste pour mener mon enquête.
vendredi 24 mai 2013
Doctor Who saison 7
Demain soir, France 4 diffuse la septième saison de cette superbe série britannique de science-fiction : Doctor Who.
J'ai converti Frédéric et nous nous passionnons à regarder les épisodes de Doctor Who qui fête cette année ses 50 ans d'existence !
Fans, nous avons des livres en français et en anglais et cerise sur le gâteau, j'ai même acheté un polo à l'effigie du Tardis dans le magasin NBC de New York City qui diffuse avec succès la série anglaise outre-atlantique.
Il y aura d'ailleurs un épisode spécial cinquantième anniversaire.
Comme l'année dernière, la chaîne ne propose pas tous les épisodes de cette nouvelle saison mais les cinq premiers et l'épisode spécial Noël.
Cette année aussi, nous allons enfin apprendre quel est le nom du Doctor Who !
Que nous réservent les nouveaux épisodes ?
Nous avons hâte !
J'ai converti Frédéric et nous nous passionnons à regarder les épisodes de Doctor Who qui fête cette année ses 50 ans d'existence !
Fans, nous avons des livres en français et en anglais et cerise sur le gâteau, j'ai même acheté un polo à l'effigie du Tardis dans le magasin NBC de New York City qui diffuse avec succès la série anglaise outre-atlantique.
Il y aura d'ailleurs un épisode spécial cinquantième anniversaire.
Comme l'année dernière, la chaîne ne propose pas tous les épisodes de cette nouvelle saison mais les cinq premiers et l'épisode spécial Noël.
Cette année aussi, nous allons enfin apprendre quel est le nom du Doctor Who !
Que nous réservent les nouveaux épisodes ?
Nous avons hâte !
jeudi 23 mai 2013
Et pendant ce temps... à Madagascar
Tandis que nous cherchons désespérément le soleil et que, comme cet après-midi, tous mes collègues se sont collés contre les fenêtres, moi en tête, pour admirer un coin de ciel bleu, tandis que le chauffage fonctionne toujours, tandis qu'il n'arrête pas de pleuvoir, tandis que les rivières débordent, tandis qu'il fait froid et que la journée la plus froide de la semaine est annoncée pour demain, tandis que la neige est annoncée à basse altitude, nos amis nous envoient ces photos venues tout droit de Madagascar :
Merci les amis et profitez bien de vos vacances dans ce paradis.
Nous avons vécu la même chose lorsque nous étions en Floride en plein hiver, mais à ce moment là, nous étions... là où il fait beau !
Merci les amis et profitez bien de vos vacances dans ce paradis.
Nous avons vécu la même chose lorsque nous étions en Floride en plein hiver, mais à ce moment là, nous étions... là où il fait beau !
mercredi 22 mai 2013
Samson et Goliath
C'est au début des années 80 que nous découvrons en France ce dessin animé de Hanna Barbera qui date, lui, des années 60.
Je m'en souviens encore très bien.
Titre en anglais : Young Samson and Goliath
Année de diffusion aux États-Unis : 1967
Nombre d'épisodes : 20
Diffusion en France : TF1
D'ailleurs, entre copains, on essayait tous de l'imiter en frappant nos deux poignets.
Car le jeune Samson a un pouvoir.
Lorsqu'il frappe ses deux bracelets l'un contre l'autre, il se transforme en super héros de même son fidèle chien qui prend l'apparence d'un immense lion.
Pourquoi un chien se transforme en lion ?
J'aurai plus vu, à la rigueur, un chat qui se transforme en lion, mais bon, les scénaristes ont du trouver un chat moins fidèle que le chien pour suivre son maître à bord de sa moto.
Il n'empêche que je garde de très bons souvenirs de cette série que je regarderai avec plaisir.
Voici l'épisode numéro un.
Je m'en souviens encore très bien.
Titre en anglais : Young Samson and Goliath
Année de diffusion aux États-Unis : 1967
Nombre d'épisodes : 20
Diffusion en France : TF1
D'ailleurs, entre copains, on essayait tous de l'imiter en frappant nos deux poignets.
Car le jeune Samson a un pouvoir.
Lorsqu'il frappe ses deux bracelets l'un contre l'autre, il se transforme en super héros de même son fidèle chien qui prend l'apparence d'un immense lion.
Pourquoi un chien se transforme en lion ?
J'aurai plus vu, à la rigueur, un chat qui se transforme en lion, mais bon, les scénaristes ont du trouver un chat moins fidèle que le chien pour suivre son maître à bord de sa moto.
Il n'empêche que je garde de très bons souvenirs de cette série que je regarderai avec plaisir.
Voici l'épisode numéro un.
mardi 21 mai 2013
Lombalgie... le retour !
Ma lombalgie, ou tour de reins, m'a laissé tranquille depuis janvier 2011 mais la voici de retour depuis hier.
Un rendez-vous chez mon médecin n'est pas nécessaire puisque j'ai encore son ordonnance et bien entendu, j'ai encore, dans notre pharmacie, des médicaments qu'il m'avait prescrit puisqu'on nous vend toujours des boîtes trop grosses.
En tout cas, je suis content d'être rentré du bureau, je vais pouvoir m'étendre.
Dans quelques jours la douleur ne sera qu'un mauvais souvenir.
Un rendez-vous chez mon médecin n'est pas nécessaire puisque j'ai encore son ordonnance et bien entendu, j'ai encore, dans notre pharmacie, des médicaments qu'il m'avait prescrit puisqu'on nous vend toujours des boîtes trop grosses.
En tout cas, je suis content d'être rentré du bureau, je vais pouvoir m'étendre.
Dans quelques jours la douleur ne sera qu'un mauvais souvenir.
lundi 20 mai 2013
Honneur aux 10 ans
Certes il ne faisait pas très chaud hier, mais nous n'avons pas eu de pluie et Maël a pu défiler à l'occasion de la Fête des Classes ou Fête des Conscrits.
A l'origine c'était pour fêter l'appel sous les drapeaux des jeunes hommes de la ville ou du village, le passage à l'âge adulte.
Depuis, la Fête des Classes a évolué là où elle perdure encore.
Dans la région de Villefranche-sur-Saône, capitale de la Fêtes des Classes, et un peu au-delà, 53 communes organisent cette manifestation chaque année.
Défilent ceux qui le souhaitent et seulement les conscrits : ceux qui ont 0 dans leurs âges l'année courante.
Par exemple, Maël à 10 ans cette année.
Il est donc de la classe en 3 puisqu'il est né en 2003.
Les défilés sont organisés pour voir défiler les dizaines soit les 10, 20, 30, 40, 50, 60, 70, 80, 90, 100 ans.
Depuis quelques années, sont admis avec les conscrits, les jeunes ayant 18, 19, voir 21 ans !
Mais cela reste au choix des organisateurs de les admettre ou pas.
Les conscrits défilent soit en tenue de conscrit (costumes et gibus), soit déguisés, le tout accompagné de fanfares et de chars.
Frédéric est de la classe en 2, tandis que je suis de la classe en 4.
Nous ne sommes donc pas conscrits.
Moi qui suis né en 1974, je serai conscrit avec des personnes nées en 2004, 1994, 1984, 1964, 1954, 1934, 1924, 1914.
La Fête des Classes restent une tradition dans ma région natale mais ils existent d'autres Fête des Conscrits, différentes de celle dont nous venons de vous expliquer le fonctionnement, dans d'autres régions : en Alsace, dans le Mâconnais, dans le Haut-Doubs, dans le Charolais, dans le Brionnais, dans le Haut-Vivarais, en Haute-Loire, dans les Monts du Forez et dans la Bresse.
Le défilé se termine par un repas, entre conscrits ou en famille.
Il est habituellement accompagné du célèbre gibus (chapeau du conscrit) et de cadeaux.
Maël voit pour cette occasion, l'arrivée de Yoshi.
A l'origine c'était pour fêter l'appel sous les drapeaux des jeunes hommes de la ville ou du village, le passage à l'âge adulte.
Depuis, la Fête des Classes a évolué là où elle perdure encore.
Dans la région de Villefranche-sur-Saône, capitale de la Fêtes des Classes, et un peu au-delà, 53 communes organisent cette manifestation chaque année.
Défilent ceux qui le souhaitent et seulement les conscrits : ceux qui ont 0 dans leurs âges l'année courante.
Par exemple, Maël à 10 ans cette année.
Il est donc de la classe en 3 puisqu'il est né en 2003.
Les défilés sont organisés pour voir défiler les dizaines soit les 10, 20, 30, 40, 50, 60, 70, 80, 90, 100 ans.
Depuis quelques années, sont admis avec les conscrits, les jeunes ayant 18, 19, voir 21 ans !
Mais cela reste au choix des organisateurs de les admettre ou pas.
Les conscrits défilent soit en tenue de conscrit (costumes et gibus), soit déguisés, le tout accompagné de fanfares et de chars.
Frédéric est de la classe en 2, tandis que je suis de la classe en 4.
Nous ne sommes donc pas conscrits.
Moi qui suis né en 1974, je serai conscrit avec des personnes nées en 2004, 1994, 1984, 1964, 1954, 1934, 1924, 1914.
La Fête des Classes restent une tradition dans ma région natale mais ils existent d'autres Fête des Conscrits, différentes de celle dont nous venons de vous expliquer le fonctionnement, dans d'autres régions : en Alsace, dans le Mâconnais, dans le Haut-Doubs, dans le Charolais, dans le Brionnais, dans le Haut-Vivarais, en Haute-Loire, dans les Monts du Forez et dans la Bresse.
Le défilé se termine par un repas, entre conscrits ou en famille.
Il est habituellement accompagné du célèbre gibus (chapeau du conscrit) et de cadeaux.
Maël voit pour cette occasion, l'arrivée de Yoshi.
dimanche 19 mai 2013
3ème victoire pour le Danemark
Le 59ème Concours Eurovision de la Chanson n'aura qu'un pont un traverser, celui qui sépare Malmö en Suède, de Copenhague au Danemark.
Le Danemark a en effet remporté cette édition après celles de 1963 et de 2000.
Emmelie de Forest a apporté la victoire à son pays avec Only teardrops.
Bravo au Danemark, pays où nous nous sommes sentis si bien.
Le Danemark a en effet remporté cette édition après celles de 1963 et de 2000.
Emmelie de Forest a apporté la victoire à son pays avec Only teardrops.
Bravo au Danemark, pays où nous nous sommes sentis si bien.
samedi 18 mai 2013
La cage dorée
Notre séance de cinéma de vendredi soir nous a permis de nous plonger au cœur de la communauté portugaise de France grâce au film La cage dorée.
Quel bon moment nous avons passé à suivre la famille Pereira.
Les Pereira ont émigré en France en 1979.
Maria, la mère est concierge dans un immeuble cossu de Paris où elle exécute un travail admirable.
Son époux José rend divers services de bricolage dans l'immeuble et travaille comme maçon dans l'entreprise de la famille Caillaux.
Maria et José ont deux enfants : Paula et Pedro.
Un jour, un courrier leur apprend qu'ils héritent d'une vaste propriété dans leur Portugal natal avec quantité de terres et de vignes qui produisent du Porto.
Du jour au lendemain, les Ribeiro passent de simples ouvriers à riches exploitants.
Mais Maria et José aiment leurs emplois et ne savent pas comment dire à leur entourage qu'ils vont rentrer au Portugal surtout que leurs enfants ne connaissent qu'un pays : la France.
Les parents décident donc de se taire pour l'instant mais c'est sans compter sur l'indiscrétion de Lourdes, sœur de Maria, qui met au courant l'amie de la famille, Rosa, qui elle même vend la mèche à son tour...
Le film est drôle et les personnages hauts en couleur.
Les scénaristes font jouer les acteurs avec les clichés que nous avons sur les portugais.
Chacun à sa personnalité propre et autant les parents joués par Rita Blanco et Joaquim de Almeida peuvent être émouvants, autant les personnages secondaires nous font rire.
Deux mentions spéciales à Chantal Lauby et à Maria Vieira qui forment un très beau duo comique.
Qui ne rit pas à l'imitation de Chantal Lauby lorsqu'elle prend l'accent portugais, lorsqu'elle apprend quelques mots et qu'en fait ensuite, elle parle... espagnol !
Quant à Maria Vieira, elle est drôle de par ses attitudes, de par ses petits commentaires grinçants.
Et lorsque vous voyez les deux associées, cela donne à une scène surréaliste où elles dansent toutes les deux sur une table, en arrière plan.
L'histoire est simple, il n'y a aucune violence, il nous fait rire, il se termine bien, bref un film très sympathique à voir actuellement au cinéma.
En prime, nous avons droit à de merveilleuses images du Portugal qui nous ramènent quelques années en arrière lorsque nous nous sommes rendus dans ce merveilleux pays.
Quel bon moment nous avons passé à suivre la famille Pereira.
Les Pereira ont émigré en France en 1979.
Maria, la mère est concierge dans un immeuble cossu de Paris où elle exécute un travail admirable.
Son époux José rend divers services de bricolage dans l'immeuble et travaille comme maçon dans l'entreprise de la famille Caillaux.
Maria et José ont deux enfants : Paula et Pedro.
Un jour, un courrier leur apprend qu'ils héritent d'une vaste propriété dans leur Portugal natal avec quantité de terres et de vignes qui produisent du Porto.
Du jour au lendemain, les Ribeiro passent de simples ouvriers à riches exploitants.
Mais Maria et José aiment leurs emplois et ne savent pas comment dire à leur entourage qu'ils vont rentrer au Portugal surtout que leurs enfants ne connaissent qu'un pays : la France.
Les parents décident donc de se taire pour l'instant mais c'est sans compter sur l'indiscrétion de Lourdes, sœur de Maria, qui met au courant l'amie de la famille, Rosa, qui elle même vend la mèche à son tour...
Le film est drôle et les personnages hauts en couleur.
Les scénaristes font jouer les acteurs avec les clichés que nous avons sur les portugais.
Chacun à sa personnalité propre et autant les parents joués par Rita Blanco et Joaquim de Almeida peuvent être émouvants, autant les personnages secondaires nous font rire.
Deux mentions spéciales à Chantal Lauby et à Maria Vieira qui forment un très beau duo comique.
Qui ne rit pas à l'imitation de Chantal Lauby lorsqu'elle prend l'accent portugais, lorsqu'elle apprend quelques mots et qu'en fait ensuite, elle parle... espagnol !
Quant à Maria Vieira, elle est drôle de par ses attitudes, de par ses petits commentaires grinçants.
Et lorsque vous voyez les deux associées, cela donne à une scène surréaliste où elles dansent toutes les deux sur une table, en arrière plan.
L'histoire est simple, il n'y a aucune violence, il nous fait rire, il se termine bien, bref un film très sympathique à voir actuellement au cinéma.
En prime, nous avons droit à de merveilleuses images du Portugal qui nous ramènent quelques années en arrière lorsque nous nous sommes rendus dans ce merveilleux pays.
vendredi 17 mai 2013
58ème Concours Eurovision de la Chanson
La Suède a remporté cette grande compétition européenne l'année dernière.
Le concours en trois temps se tient à Malmö, très belle ville de Suède d'où nous gardons de très bons souvenirs.
Les deux demi-finales sont passées.
Les artistes attendent donc de pouvoir s'affronter vocalement et musicalement demain soir.
Voici la liste des candidats qui accèdent à la finale.
En cliquant dessus, vous irez sur la page présentant l'artiste et la chanson.
Arménie : Dorians - Lovely planet
Azerbaïdjan : Farid Mammadov - Hold me
Belarus : Alyona Lanskaya - Solayoh
Belgique : Roberto Bellarosa - Love kills
Danemark : Emmelie de Forest - Only teardrops
Estonie : Birgit - Et uus saaks alguse
Finlande : Krista Siegfrids - Marry me
France : Amandine Bourgeois - L'enfer et moi
Géorgie : Nodi Tatishvili et Sophie Gelovani - Waterfall
Allemagne : Cascada - Glorious
Grèce : Koza Mostra feat. Agathon Iakovidis - Alcohol is free
Hongrie : ByeAlex - Kedvesem
Islande : Eythor Ingi - Eg a lif
Irlande : Ryan Dolan - Only love survives
Italie : Marco Mengoni - L'essenziale
Lituanie : Andrius Pojavis - Something
Malte : Gianluca - Tomorrow
Moldavie : Aliona Moon - O mie
Norvège : Margaret Berger - I feed you my love
Roumanie : Cezar - It's my life
Russie : Dina Garipova - What if
Espagne : ESDM - Contigo hasta el final
Suède : Robin Stjernberg - You
Pays-Bas : Anouk - Birds
Ukraine : Zlata Ognevich - Gravity
Royaume-Uni : Bonnie Tyler - Believe in me
Voici les pays que je verrai bien gagner cette année :
Norvège ou
Italie ou
Danemark ou
Azerbaïdjan ou
Russie ou
France ou
Roumanie.
Les bookmakers eux pensent que ce pourrait être :
Danemark ou
Norvège ou
Ukraine ou
Russie ou
Azerbaïdjan.
Et pour vous, qui sont les éventuels gagnants de cette édition ?
La réponse demain, tard dans la soirée.
Le concours en trois temps se tient à Malmö, très belle ville de Suède d'où nous gardons de très bons souvenirs.
Les deux demi-finales sont passées.
Les artistes attendent donc de pouvoir s'affronter vocalement et musicalement demain soir.
Voici la liste des candidats qui accèdent à la finale.
En cliquant dessus, vous irez sur la page présentant l'artiste et la chanson.
Arménie : Dorians - Lovely planet
Azerbaïdjan : Farid Mammadov - Hold me
Belarus : Alyona Lanskaya - Solayoh
Belgique : Roberto Bellarosa - Love kills
Danemark : Emmelie de Forest - Only teardrops
Estonie : Birgit - Et uus saaks alguse
Finlande : Krista Siegfrids - Marry me
France : Amandine Bourgeois - L'enfer et moi
Géorgie : Nodi Tatishvili et Sophie Gelovani - Waterfall
Allemagne : Cascada - Glorious
Grèce : Koza Mostra feat. Agathon Iakovidis - Alcohol is free
Hongrie : ByeAlex - Kedvesem
Islande : Eythor Ingi - Eg a lif
Irlande : Ryan Dolan - Only love survives
Italie : Marco Mengoni - L'essenziale
Lituanie : Andrius Pojavis - Something
Malte : Gianluca - Tomorrow
Moldavie : Aliona Moon - O mie
Norvège : Margaret Berger - I feed you my love
Roumanie : Cezar - It's my life
Russie : Dina Garipova - What if
Espagne : ESDM - Contigo hasta el final
Suède : Robin Stjernberg - You
Pays-Bas : Anouk - Birds
Ukraine : Zlata Ognevich - Gravity
Royaume-Uni : Bonnie Tyler - Believe in me
Voici les pays que je verrai bien gagner cette année :
Norvège ou
Italie ou
Danemark ou
Azerbaïdjan ou
Russie ou
France ou
Roumanie.
Les bookmakers eux pensent que ce pourrait être :
Danemark ou
Norvège ou
Ukraine ou
Russie ou
Azerbaïdjan.
Et pour vous, qui sont les éventuels gagnants de cette édition ?
La réponse demain, tard dans la soirée.
jeudi 16 mai 2013
Sur les pas du pont romain
Direction la frontière entre le Rhône et la Loire dans le Parc Naturel Régional du Pilat pour cette deuxième randonnée.
Il ne pleut pas, le ciel reste toutefois couvert mais nous avons la chance de ne pas nous mouiller et de voir de belles éclaircies.
La pluie de ce Printemps a tout de même détrempé les chemins et la plupart d'entre eux, lorsqu'ils ne sont pas transformés en véritables ruisseaux, sont, on ne peut plus boueux !
Nous croiserons les seuls animaux qui adorent cette météo humide : les escargots.
Notre départ s'effectue depuis le village des Longes.
La verdure est éclatante (tu m'étonnes !), les genêts sont en fleurs.
Très vite, alors que nous pensons être au milieu de nulle part, surgissent de merveilleuses constructions qui ont traversé les siècles. Les romains ont tracé le chemin sur lequel nous nous promenons et surtout, ils l'ont protégé d'un mur qui ne semble jamais se terminer.
Nous sommes impressionnés par la façon dont il a été construit.
Des pierres sont posées sur plusieurs rangées de manière verticale tandis que d'autres rangées viennent s'asseoir horizontalement sur cette base solide.
Le tout offre un mur qui semble être indestructible.
Ou presque... car à certains endroits, la végétation l'abîme, à d'autres, de récents glissements de terrains ont emporté la muraille.
Nous traversons une rivière sur un pont qui semble être une bête passerelle de pierres.
Curieux, nous quittons le chemin et nous nous approchons du lit de la rivière.
Notre guide ne nous avait pas menti : nous venons d'emprunter un pont romain !
Si nous ne l'avions pas lu auparavant, nous l'aurions raté et cela aurait été dommage.
Ici, c'est l'épaisseur du pont qui est impressionnante pour ce petit ouvrage.
C'est sans doute grâce à cette structure massive qu'il tient le coup.
A partir de cet endroit, nous débutons notre distribution de bonjour aux vttistes qui nous doublent.
Il semblerait que nous nous trouvions également sur un chemin pour VTT.
Mais pas que !
Puisque arrivés sur les hauteurs du village de Dizimieux, nous ne cesserons plus de dire bonjour.
Nous croisons en effet, deux randonneurs, puis quatre, puis huit, puis douze...
Mais que se passe t'il ?
Nos chemins, par endroit, deviennent de véritables autoroutes piétonnes.
Nous le comprendrons plus tard, mais ce jour avait lieu la 23ème Castelneuvienne (randonneurs, vttistes, chevaux) et leur itinéraire se confondait parfois au nôtre.
Le journal annonçait lundi la présence de 2 204 personnes !
Avons-nous dit 2 204 bonjours ? Ça se pourrait !
Il n'empêche que nous profitons des paysages et faisons de nombreuses photos de pommiers en fleurs,
de forêts,
de landes desquelles des pierres semblent se dresser.
des champs où poussent des coquelicots.
Tantôt nous montons, tantôt nous descendons
A certains endroits, les genets semblent dévorer de vieilles charrues disloquées et rouillées.
Les nuages deviennent de plus en plus noir, laissant apparaitre un arbre solitaire.
Au loin, il pleut.
Nous serons épargnés par cette pluie.
Les nuages se dissipent laissant la place à un beau ciel bleu.
Le mur romain, recouvert de mousse réapparait
Nous voici de retour aux Longes.
La boucle est bouclée.
Il ne pleut pas, le ciel reste toutefois couvert mais nous avons la chance de ne pas nous mouiller et de voir de belles éclaircies.
La pluie de ce Printemps a tout de même détrempé les chemins et la plupart d'entre eux, lorsqu'ils ne sont pas transformés en véritables ruisseaux, sont, on ne peut plus boueux !
Nous croiserons les seuls animaux qui adorent cette météo humide : les escargots.
Notre départ s'effectue depuis le village des Longes.
La verdure est éclatante (tu m'étonnes !), les genêts sont en fleurs.
Très vite, alors que nous pensons être au milieu de nulle part, surgissent de merveilleuses constructions qui ont traversé les siècles. Les romains ont tracé le chemin sur lequel nous nous promenons et surtout, ils l'ont protégé d'un mur qui ne semble jamais se terminer.
Nous sommes impressionnés par la façon dont il a été construit.
Des pierres sont posées sur plusieurs rangées de manière verticale tandis que d'autres rangées viennent s'asseoir horizontalement sur cette base solide.
Le tout offre un mur qui semble être indestructible.
Ou presque... car à certains endroits, la végétation l'abîme, à d'autres, de récents glissements de terrains ont emporté la muraille.
Nous traversons une rivière sur un pont qui semble être une bête passerelle de pierres.
Curieux, nous quittons le chemin et nous nous approchons du lit de la rivière.
Notre guide ne nous avait pas menti : nous venons d'emprunter un pont romain !
Si nous ne l'avions pas lu auparavant, nous l'aurions raté et cela aurait été dommage.
Ici, c'est l'épaisseur du pont qui est impressionnante pour ce petit ouvrage.
C'est sans doute grâce à cette structure massive qu'il tient le coup.
A partir de cet endroit, nous débutons notre distribution de bonjour aux vttistes qui nous doublent.
Il semblerait que nous nous trouvions également sur un chemin pour VTT.
Mais pas que !
Puisque arrivés sur les hauteurs du village de Dizimieux, nous ne cesserons plus de dire bonjour.
Nous croisons en effet, deux randonneurs, puis quatre, puis huit, puis douze...
Mais que se passe t'il ?
Nos chemins, par endroit, deviennent de véritables autoroutes piétonnes.
Nous le comprendrons plus tard, mais ce jour avait lieu la 23ème Castelneuvienne (randonneurs, vttistes, chevaux) et leur itinéraire se confondait parfois au nôtre.
Le journal annonçait lundi la présence de 2 204 personnes !
Avons-nous dit 2 204 bonjours ? Ça se pourrait !
Il n'empêche que nous profitons des paysages et faisons de nombreuses photos de pommiers en fleurs,
de forêts,
de landes desquelles des pierres semblent se dresser.
des champs où poussent des coquelicots.
Tantôt nous montons, tantôt nous descendons
A certains endroits, les genets semblent dévorer de vieilles charrues disloquées et rouillées.
Les nuages deviennent de plus en plus noir, laissant apparaitre un arbre solitaire.
Au loin, il pleut.
Nous serons épargnés par cette pluie.
Les nuages se dissipent laissant la place à un beau ciel bleu.
Le mur romain, recouvert de mousse réapparait
Nous voici de retour aux Longes.
La boucle est bouclée.
mercredi 15 mai 2013
On ne s'en sort plus !
Je parle bien sûr de la pluie qui est revenue après une belle journée ensoleillée de mardi.
D'après Le Progrès d'aujourd'hui, la dernière fois que nous avons eu un Printemps aussi arrosé dans la région, c'était il y a ... trente ans en 1983 !
Mais nous restons positifs, car après la pluie, vient le beau temps !
D'après Le Progrès d'aujourd'hui, la dernière fois que nous avons eu un Printemps aussi arrosé dans la région, c'était il y a ... trente ans en 1983 !
Mais nous restons positifs, car après la pluie, vient le beau temps !
mardi 14 mai 2013
Une chanson venue de l'espace
L'astronaute canadien Chris Hadfield est devenue une star mondiale grâce au clip tourné dans la station spatiale internationale avec une reprise de la chanson de David Bowie : Space Oddity.
Il nous rappelle qu'il y a toujours une poignée d'hommes qui partent à la conquête de l'espace, et nous montre notre Terre, si belle vue de là-haut !
Grâce à ce clip, nous recevons un peu de poésie, de rêve, de magie... tandis qu'ici sur notre planète, nous nous efforçons à ne pas nous entendre !
Un grand merci Commandant Hadfield pour ce moment de paix.
Il nous rappelle qu'il y a toujours une poignée d'hommes qui partent à la conquête de l'espace, et nous montre notre Terre, si belle vue de là-haut !
Grâce à ce clip, nous recevons un peu de poésie, de rêve, de magie... tandis qu'ici sur notre planète, nous nous efforçons à ne pas nous entendre !
Un grand merci Commandant Hadfield pour ce moment de paix.
lundi 13 mai 2013
Top 50
Depuis le 15 avril, c'est un groupe mythique qui s'est emparé de la première place du Top 50.
Les Daft Punk et leurs célèbres tenues venues de l'espace.
Ils nous proposent ici un tube, Get Lucky en compagnie de Pharell Williams.
Nous, on adore.
Les Daft Punk et leurs célèbres tenues venues de l'espace.
Ils nous proposent ici un tube, Get Lucky en compagnie de Pharell Williams.
Nous, on adore.
dimanche 12 mai 2013
Le pays cerdonnais
Le départ de notre première randonnée de l'année se tient dans le village de Cerdon dans l'Ain.
Nous sommes dans le Haut-Bugey et tandis que la météo était plutôt ensoleillée, nous trouvons du brouillard sur la route. Heureusement, ce dernier se dissipe à notre arrivée dans le célèbre village du vin pétillant, le Cerdon.
Sur la place de la Mairie, se dresse d'ailleurs une statue en l'honneur du vin, puisque ce personnage porte une grappe de raisins.
Cerdon, c'est également un village d'eau, car outre des ruisseaux qui la traversent à divers endroits, les fontaines sont nombreuses.
Il est vrai que ces derniers jours ont été très humides, nous nous en rendrons vite compte avec les nombreux débordements où les débits élevés des ruisseaux que nous allons rencontrer ou tenter de traverser. Un autre inconvénient des pluies de ces derniers jours, c'est la boue, omniprésente sur tous les chemins que nous allons emprunter, rendant certains d'entre eux quasiment impraticables.
Notre première randonnée sera en définitif bien éprouvante avec cette accumulation d'obstacles.
Mais ce n'est pas grave, nous sommes là pour faire du sport et pour communier avec la nature.
Nous rencontrons nos premiers animaux en la présence de ces ânes. Ils sont très curieux et viennent nous voir, sans doute pour réclamer à manger.
Voici les vignes qui donnent le Cerdon, ce vin mousseux à la robe rosée.
Les torrents dévalent les pentes au hameau de Préau et l'on se demande si parfois, il y a des risques d'inondation.
Notre parcours ne débute pas par le plus facile, puisque nous entamons déjà la montée.
Les premières petites chutes d'eau font leur apparition.
Le spectacle le plus impressionnant que nous offre Mère Nature, est cette forêt où chaque arbre, chaque buisson, est recouvert d'un épais manteau de mousse.
Cela rend les lieux très mystérieux et certains arbres ressemblent à des fantômes.
Tandis que la montée se fait dans une boue très collante, rendant notre avancée très difficile, nous accédons à un sous-bois où certes, le relief est plus plat, mais où les ruisseaux sont sortis de leurs lits d'origine, nous forçant à contourner ce lieu inondé.
Nous traversons le ruisseau sur des troncs d'arbres posés en travers de son cours, en espérant que nous ne chuterons pas !
Ce moment d'équilibriste en valait la peine, car sur l'autre rive, nous sommes tête à tête avec une biche. Ni Frédéric ni moi ne dégainons assez rapidement nos appareils photos pour immortaliser cette rencontre, car la biche se sauve rapidement.
Nous découvrons alors une autre merveille de la nature : la cascade de la Fouge.
Nous prenons à cet endroit un repos bien mérité après cette première partie de notre randonnée.
La seconde partie nous mène encore plus haut, sur le Mont Châtel, où depuis la crête, nous pouvons admirer la vue qui s'offre à nous.
Nous pique-niquons ici, avec Cerdon en contrebas.
Du village, nous entendons la musique d'une fanfare, c'est la fête du Four.
Nous y ferons d'ailleurs un tour pour nous rafraîchir d'un verre de Cerdon. (un peu chaud à mon goût)
Pour le moment, nous profitons du moment présent, de nos sandwichs, de la vue... et de la musique car la fanfare joue des airs plutôt récents.
Nous rentrons de cette première ballade en pleine nature, des images pleins la tête, mais des courbatures plein les jambes.
Nous sommes prêts à repartir.
Tiens, et si on y allait ?
Nous sommes dans le Haut-Bugey et tandis que la météo était plutôt ensoleillée, nous trouvons du brouillard sur la route. Heureusement, ce dernier se dissipe à notre arrivée dans le célèbre village du vin pétillant, le Cerdon.
Sur la place de la Mairie, se dresse d'ailleurs une statue en l'honneur du vin, puisque ce personnage porte une grappe de raisins.
Cerdon, c'est également un village d'eau, car outre des ruisseaux qui la traversent à divers endroits, les fontaines sont nombreuses.
Il est vrai que ces derniers jours ont été très humides, nous nous en rendrons vite compte avec les nombreux débordements où les débits élevés des ruisseaux que nous allons rencontrer ou tenter de traverser. Un autre inconvénient des pluies de ces derniers jours, c'est la boue, omniprésente sur tous les chemins que nous allons emprunter, rendant certains d'entre eux quasiment impraticables.
Notre première randonnée sera en définitif bien éprouvante avec cette accumulation d'obstacles.
Mais ce n'est pas grave, nous sommes là pour faire du sport et pour communier avec la nature.
Nous rencontrons nos premiers animaux en la présence de ces ânes. Ils sont très curieux et viennent nous voir, sans doute pour réclamer à manger.
Voici les vignes qui donnent le Cerdon, ce vin mousseux à la robe rosée.
Les torrents dévalent les pentes au hameau de Préau et l'on se demande si parfois, il y a des risques d'inondation.
Notre parcours ne débute pas par le plus facile, puisque nous entamons déjà la montée.
Les premières petites chutes d'eau font leur apparition.
Le spectacle le plus impressionnant que nous offre Mère Nature, est cette forêt où chaque arbre, chaque buisson, est recouvert d'un épais manteau de mousse.
Cela rend les lieux très mystérieux et certains arbres ressemblent à des fantômes.
Tandis que la montée se fait dans une boue très collante, rendant notre avancée très difficile, nous accédons à un sous-bois où certes, le relief est plus plat, mais où les ruisseaux sont sortis de leurs lits d'origine, nous forçant à contourner ce lieu inondé.
Ce moment d'équilibriste en valait la peine, car sur l'autre rive, nous sommes tête à tête avec une biche. Ni Frédéric ni moi ne dégainons assez rapidement nos appareils photos pour immortaliser cette rencontre, car la biche se sauve rapidement.
Nous découvrons alors une autre merveille de la nature : la cascade de la Fouge.
Nous prenons à cet endroit un repos bien mérité après cette première partie de notre randonnée.
La seconde partie nous mène encore plus haut, sur le Mont Châtel, où depuis la crête, nous pouvons admirer la vue qui s'offre à nous.
Nous pique-niquons ici, avec Cerdon en contrebas.
Du village, nous entendons la musique d'une fanfare, c'est la fête du Four.
Nous y ferons d'ailleurs un tour pour nous rafraîchir d'un verre de Cerdon. (un peu chaud à mon goût)
Pour le moment, nous profitons du moment présent, de nos sandwichs, de la vue... et de la musique car la fanfare joue des airs plutôt récents.
Nous rentrons de cette première ballade en pleine nature, des images pleins la tête, mais des courbatures plein les jambes.
Nous sommes prêts à repartir.
Tiens, et si on y allait ?
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