Wallace & Gromit : The curse of the were-rabbit / Wallace et Gromit : le mystère du lapin-garou

 

Ce film britannique d'animation fête ses 10 ans et met en scène les deux personnages en pâte à modeler les plus célèbres de la télévision et du cinéma britannique né de l'imagination de Nick Park (1958) également à l'origine des univers de Chicken Run, Shaun le mouton, Cro Man...

Nous avons regardé Wallace & Gromit : The curse of the were-rabbit / Wallace et Gromit : le mystère du lapin-garou lors de sa diffusion sur .

Nous nous sommes amusés à regarder ce premier long-métrage avec un grand plaisir. Le duo entre Wallace et Gromit fonctionne très bien. Nous avons une préférence pour le chien, Gromit car finalement, c'est lui qui est de loin, le plus malin.

Il va y avoir le Concours Annuel du plus gros légumes à Tottington Hall. Les jardiniers amateurs ou professionnels passent beaucoup de temps à faire grossir leurs légumes en espérant remporter cette compétition. Même Gromit s'y met. Mais les jardiniers et Lady Tottington sont soudainement envahis par des lapins. Wallace se charge, avec un aspirateur géant de les faire disparaître et les regroupe dans sa cave où Gromit les nourrit de carottes. Un soir de pleine lune, Wallace essaie une machine destinée à influencer le cerveau à des messages subliminaux. Mais par accident, son cerveau est relié à celui de l'un des lapins. Peu de temps après, la peur s'installe dans le village car les potagers sont ravagés par un lapin géant que tout le monde surnomme, le lapin-garou...

Comme nous vous l'avons dit, nous avons bien ri avec ce film d'animation car les scènes sont drôles et il faut un moment avant de comprendre d'où vient ce lapin-garou même si l'on peut s'en douter. On adore les stratagèmes mis en place par Wallace et Gromit pour tenter de faire disparaître la bête qui dévaste tout le village. Si l'on s'amuse beaucoup, il y a une certaine émotion qui transparait tout du long du film mais également de la crainte voir de la peur. Mais rassurez-vous, l'humour britannique permet à cette histoire d'être finement déroulée et si la fin s'annonce être tragique, tout est bien qui finit bien. En tout cas, ce premier long-métrage nous a donné envie de voir la totalité des films de Nick Park.
On est bien entendu ébahis par le travail des équipes de ce film pour réaliser tous ces personnages en pâte à modeler et pour leur donner vie. De l'excellent travail de grande qualité.