Etretat, par-delà les falaises Courbet, Monet, Matisse

Avec Fabricio, nous sommes allés au Musée des Beaux-Arts de Lyon où nous nous étions rendus il y a 18 ans lors des Journées Européennes du Patrimoine et il y a 15 ans avec Maël et Elodie. 

Si les collections permanentes n'ont pas trop changées, c'est l'exposition temporaire qui nous a attirée. 

Etretat, par-delà les falaises est visible jusqu'au 1^er Mars 2026.

Dès l'entrée de l'exposition, des écrans géants nous permettent de voir les falaises d'Etretat comme si nous étions en mer et de faire face à ces falaises de craie de plus de 90 mètres de haut. 

On peut voir la Porte d'Aval, la Manneporte et la Falaise d'Amont. Nous nous étions rendus sur place en 2009 comme vous pouvez le lire sur ce billet.

Le village d'Etretat devient au XIX^e siècle une station balnéaire réputée surtout grâce à la présence des falaises. De très nombreux artistes se sont alors rendus sur place et ont immortalisé pour toujours leurs silhouettes car ces géantes risquent un jour prochain de disparaître. Les toiles de ces grands peintres seront alors des témoins de ce que fut ce site. Ce sont en effet, des toiles de peintres très connus que nous avons pu admirer samedi : Gustave Courbet (1819-1877), Claude Monet (1840-1926), Henri Matisse (1869-1954). 

Car même si le sujet représenté était toujours le même, nous ne nous sommes pas lassés de regarder les différentes versions réalisées par ces artistes et par d'autres.

Il y avait également quelques photographies intéressantes.

Pour Fabricio, nous sommes allés ensuite nous promener dans les différents étages du MBA-Lyon où nous avons croisé Arlequin.

Nous avons passé également beaucoup de temps dans la partie égyptologie.

Une salle propose des œuvres du XX^e siècle dans une très jolie scénographie. 

Nous avons pu voir les statues du Rhône et de celle de la Saône, qui, autrefois, embellissaient la statue de Louis XIV sur la Place Bellecour de 1713 à 1792 où l'ensemble fut fondu pour fabriquer des canons à la Révolution Française.

Terminons ce billet par cette peinture d'Antoine Guindrand (1801-1843) intitulée La Vallée du Grésivaudan, vallée chère à notre famille.