Les salles sont classées par thème et accueillent quelques intéressantes sculptures.
Nous pensons que c'est la première fois que nous découvrons des sculptures... en laine !
Si nous ne sommes pas convaincus par les galets de laine,
nous aimons nettement plus ce tableau de chandails.
Une imposante baleine semble remplir l'une des pièces.Elle est constituée d'une multitudes de figurines de petits soldats que l'on voit lorsqu'on s'approche.
Le peintre Sámal Joensen-Mikines propose une collection colorée de peintures sur les traditions de l'île,
dont ce sanglant tableau représentant le tristement célèbre Grindadráp, une chasse traditionnelle aux cétacés. Si dans les temps anciens, c'était une chasse nécessaire pour nourrir les habitants des îles, à notre époque, la poursuite de ces massacres est incompréhensible. Apparemment, malgré le tollé international, cette tradition perdure. Il faudra du temps encore pour que tout cela cesse et que seul ce tableau sera témoin de ce que l'on considère aujourd'hui comme étant une barbarie.
Grâce à des QR codes, on peut regarder des tableaux en écoutant des chansons féroïennes. Voici par exemple celle qui accompagne celui-ci. Vous pouvez écouter les musiques ici sur le site du musée.
On aime aussi beaucoup cette montagne avec cette toute petite maison à sa base.
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