Mais quelle mouche a piqué les organisateurs de cette 6e édition du Festival Peinture Fraîche ?
Les précédentes se tenaient dans d'immenses hangars laissés à l'abandon convenant parfaitement à créer une superbe atmosphère pour accueillir du street-art et laisser libre court à l'expression des artistes. Certaines œuvres étaient monumentales.
Les précédentes se tenaient dans d'immenses hangars laissés à l'abandon convenant parfaitement à créer une superbe atmosphère pour accueillir du street-art et laisser libre court à l'expression des artistes. Certaines œuvres étaient monumentales.
Mais cette année, changement total d'ambiance. On se retrouve dans un collège en rénovation, l'ancien Collège Serin dans le 4e arrondissement construit en 1885, qui se transforme en résidence étudiantes.
Il est à deux pas de la Saône et du Tunnel de la Croix-Rousse.
Petite parenthèse, Jacqueline et Arlette ont bien connu cet établissement pour l'avoir fréquenté.
Seuls quelques murs d'une grande pièce et les caves ont pu être recouvert de fresques. Si habituellement, nous faisons une sélection des œuvres que nous aimons le plus, ici, nous les mettons quasiment en toute totalité.
Notre coup de cœur de cette année c'est cette œuvre colorée.
Le reste ne sont que des œuvres digitales, qui, même si elles sont intéressantes, s'éloignent selon nous de l'âme du Festival Peinture Fraîche.
Nous avons été tellement déçus que nous émettons l'hypothèse de ne pas y retourner l'année prochaine si jamais Peinture Fraîche conserve ce format.
Notons la présence d'Esteban alias Huereck et de ses produits dérivés.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire