Et c'est (presque) au niveau de cette torche que nous allons nous rendre en montant tout en haut d'une tour; une de plus à notre actif; la Calgary Tower. Inaugurée en 1968 et haute de 191 mètres, la flamme olympique a été posée à son sommet durant les J.O. d'Hiver de Calgary. 
La vasque olympique n'est plus visible mais la tour l'est toujours et d'un peu partout dans la ville, même dans des reflets d'immeubles en verre.
Nous prenons l'ascenseur
et arrivons à la terrasse panoramique.
La vue est incroyable et l'on réalise que Calgary est nettement moins envahie par les gratte-ciels que ne peut l'être Vancouver. Les petits immeubles, les quartiers résidentiels restent encore la majorité dans cette ville de 1 478 148 habitants. Elle semble être, en tout cas depuis la tour, moins densément construite, avec un sentiment de plus d'espace, que la ville donne l'air d'être plus aérée.
Mais pour combien de temps encore ?
Du côté du Scotiabank Saddledome ouvert en 1983, les gratte-ciels semblent pousser
mais ce sont surtout tous les chantiers de ce côté-ci de la ville qui laisse à penser que Calgary est en pleine mue.
Du haut de la tour, on voit les Montagnes Rocheuses et dans le cercle le Parc National Olympique du Canada avec ses tremplins de saut à skis.
Calgary Tower nous propose une surprise vue d'en d'autres tours : un plancher de verre sur lequel les moins téméraires n'osent pas se rendre. Ce n'est pas notre cas et nous multiplions les photos.
ATTENTION : nous déconseillons aux personnes sujettes au vertige de regarder les photos suivantes.
Nous voyons l'aéroport où nous devrons nous rendre dans quelques heures.
Nous notons une petite particularité sur cette façade d'immeuble. Allez-vous voir de quoi l'on parle ? Petit indice, c'est le symbole de l'amour.
Mais il est temps pour nous de retourner sur le plancher des vaches et de visiter Calgary au plus près.
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