Le froid est là pour la Fête des Lumières

Hier au soir, alors que les températures restaient en-dessous de 0, nous sommes retournés à la Fête des Lumières car des 30 oeuvres proposées, nous n'en n'avions vues que 4 au Parc de la Tête d'Or. Nous avons essayé d'en voir un maximum malgré la foule car ce dimanche soir, comme jeudi soir il y avait beaucoup de monde.

The shape of things to come, Place Antonin Poncet est un tunnel lumineux que vous pouvez traverser.

Depuis la Place, on voit la Basilique de Fourvière et le célèbre Merci Marie.

A quelques mètres de là, sur la Place Bellecour, c'est une toute petite oeuvre qui est proposée, I love light. L'inscription se compose d'une multitude de lampes de chevets de récupération, très dans l'air du temps.

Murmuration ce sont ces petites bulles qui changent de couleur Place des Jacobins. C'est également ici très discret.

Cymopolée sur la Place de la République est une surprise et nous aimons bien cette sculpture de lumière.

Si habituellement les oeuvres proposées sur les bâtiments du Quai Romain Rolland sur les bords de Saône ne nous laissent pas beaucoup de souvenirs, nous tombons sous le charme du Voyageur céleste, l'histoire d'un petit extraterrestre venu visiter notre planète et découvrant toutes les richesses que propose Lyon. Bravo !

Pour la première fois depuis que nous faisons la Fête des Lumières, la projection faite sur la Cathédrale Saint-Jean nous déçoit. Nous n'avons pas compris ce que l'artiste voulait dire et surtout nous avions l'impression de voir les mêmes images se répéter indéfiniment. Dommage.

La façade de la Gare Saint-Paul sert d'écran pour diffuser quatre petits films. Nous n'en verrons que deux car rien n'indiquait leur nombre.

Le spectacle qui nous a le plus plu, c'est bien entendu celui proposé Place des Terreaux où les tableaux du Musée des Beaux-Arts prennent vie sur la façade pour chanter des tubes que tout le monde connait et qui donnent envie de danser.

Nous terminons cette soirée par les incontournables expérimentations étudiantes qui sont toujours très intéressantes à voir. Une nouvelle fois, les étudiants 2022 égalent leurs prédécesseurs. 

Même si nous sommes bien habillés, le froid nous gagne et la faim également. Pour poursuivre encore un peu nos vacances sud-américaines, nous nous réchauffons au restaurant El chivito (99, Montée de la Grande Côte) autour d'un verre de pisco sour, totalement différent de celui que l'on a pu boire au Chili, et d'un repas à partager bien chaud.