Nos achats faits, nous mettons nos sacs sur nos dos et nous prenons le départ de notre randonnée du jour sous la surveillance d'un chamois qui est en réalité une statue en bois.
La Forêt de l'Enfer n'a rien d'infernal et alors qu'on nous annonce une passerelle himalayenne
nous sommes déçus par sa petite taille.
Le Pont du Diable, les Gorges de l'Enfer,
ici tous les noms font peur mais rien en réalité ne nous effraie.
Le Ruisseau de Pémian et le Ruisseau Péssin se rejoignent ici.
Au Printemps, ces petits cours d'eau doivent être déchainés car nous retrouvons les traces d'anciens ponts sans doute emportés par le courant. Voici le dernier en date.
On monte en forêt où beaucoup de souches ont été laissées en terre. Des panneaux nous apprennent que ces souches sont des armes redoutables pour freiner et éviter les avalanches qui pourraient avoir lieu à cet endroit.
Alors que nous étions bien au frais dans les bois, la sortie dans les pâturages est difficile car nous sommes en plein soleil.
Nous sommes bien loin des paysages verdoyants des Alpes car comme vous pouvez le constater, l'herbe est totalement grillée.
C'est au lieu-dit Les Balais (1 912m) que nous pique-niquons. Il y a un peu d'air frais, nous sommes bien
avec une vue imprenable sur le Galibier.
Beaujournal est un petit hameau totalement rénovés avec deux ou trois maisons.
Voici l'un des hameaux de Valloire où subsistent de vieilles maisons qui semblent se faire encercler par de nouvelles constructions.
Notre prochaine étape le Chapelle-Saint-Pierre.
Depuis cet édifice religieux fermé à la visite à notre passage,
nous pouvons voir par où nous sommes passés plus tôt dans la journée.
Valloire se rapproche
avec à la clé la récompense d'une limonade bien fraîche.
Notre dernière soirée à Valmeinier se passe au Restaurant des 3 Diables.
1 commentaire:
bel fin de vacances !
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