dimanche 26 novembre 2017

14e Biennale d'Art Contemporain : les mondes flottants

Élodie et Maël nous avaient demandé de venir avec eux dans un musée de Lyon, à l'occasion.
La Biennale d'Art Contemporain se tenant à Lyon du 20 septembre 2017 au 07 janvier 2018, nous leur avons proposé de nous rendre dans les deux principaux lieux : la Sucrière et le mac Lyon.
Après avoir pris notre repas à la Confluence, nous voici à la Sucrière dont l'entrée a changé de côté.
Les photos que vous allez voir se succéder sont celles des œuvres que nous avons aimées.
Ici, de la mousse sort de hauts tubes.
Là, du sucre se déverse d'un sous-marin aux airs de rhinocéros.
Nous avons bien aimé cette sorte de centrifugeuse et son son angoissant.
Celle où des gouttes d'eau tombent dans ce qui fut le hall d'entrée de la Sucrière est sympa également mais il ne faut pas avoir envie de faire son petit pipi.
On a l'impression d'être dans une grotte où résonne chacune des gouttes.
Derrière un rideau, un vigile laisse passer les spectateurs en tout petit groupe pour découvrir l’œuvre que nous avons préféré :  une araignée a tissé sa toile et seule la toile est allumée dans cette pièce toute sombre ainsi que la projection sur un mur de notre univers. L"artiste a montré que la toile de l'araignée ressemble à notre univers.
Ce voile soufflé par des ventilateurs permet la création de vagues très artistiques.
 
Dans ce petit bois reproduit derrière des panneaux de verre, nous découvrons d'étranges insectes qui ressemblent beaucoup à des feuillages.
Ici, des oiseaux semblent vouloir prendre leurs envols.
La bise souffle fort dehors mais il fait beau.
Nous découvrons l'avancée de la future tour Jean Nouvel (c'est bien elle !) 
qui bientôt ressemblera à çà :
A bord du tramway, nous prenons la direction du Parc de la Tête d'Or pour poursuivre notre visite au Musée d'Art Contemporain : mac Lyon.
Il y a nettement plus de monde ici, les équipes semblent être débordées et désordonnées, l'accès dans les étages par les ascenseurs est long même si une fois à l'intérieur, nous nous amusons de la musique angoissante qui est diffusée, genre, film catastrophe.
En plus, les œuvres sont nettement moins à notre goût si ce ne sont celles qui suivent en photos.
Ici, l'eau s'écoule par divers ustensiles.
Sur un mur vierge à l'origine de la Biennale, les visiteurs sont invités à accrocher des petits mots avec des épingles à nourrice créant un tableau.
Encore deux œuvres que nous apprécions
puis nous nous amusons dans une pièce éclairée seulement par une lampe ultra violette qui fait ressortir en bleu tout ce qui est blanc : habits, chaussures, lacets, dents... 
 Pour celle-ci, un minimum d'explication est nécessaire. Selon où vous vous placez, vous voyez un arc-en-ciel. Sans cette information, vous ratez l’intérêt.
Même si nous avions juré de ne plus venir, cette édition était plutôt intéressante et accessible. Il y avait tout de même moins de folie que la précédente édition à laquelle nous nous étions rendus.
Ce fut une superbe journée culturelle et sportive car nous avons beaucoup marché sans forcément nous en rendre compte.
Quel sera le prochain musée ?
Nous verrons d'ici quelques mois...

1 commentaire:

Elodie et Maël a dit…

C'était vraiment sympa ! Le prochain ? Les Beaux-Arts...