dimanche 20 octobre 2013

Le Parc Güell

Nous avons consacré la semaine au Festival Lumière qui se termine ce soir.
Dès ce billet, nous reprenons le cours de notre récit de notre week-end allongé à Barcelone où nous passons ce dimanche au Parc Güell.
Mauvaise pioche : le dimanche il y a définitivement trop de monde !
Eusebi Güell demande à Antoni Gaudi d'édifier sur la colline d'El Carmel un jardin public.
L'artiste va laisser libre court à son imagination, toujours en s'appuyant sur ce qu'il observe de la nature.
La construction dure de 1900 à 1914 et deviendra la propriété de la ville de Barcelone en 1923.
Depuis des millions de personnes viennent gratuitement se promener dans ce parc extraordinaire qui offre une vue sur la ville incomparable.
Nous arrivons au parc par autobus dans lequel nous sommes montés Place de Catalogne.
Après de nombreux arrêts en ville, nous atteignons le notre et pénétrons dans les chemins du parc.
La première chose qui nous saute aux yeux, ce sont ces colonnes.
Elle supportent en fait les chemins eux-mêmes !
Certaines colonnes, semblent être faites de sable et à leurs cimes poussent d'énormes cactus.
Le cheminement est bien intégré dans la nature.
Une énorme villa semble perdue au milieu du parc.

 Nous débouchons ensuite sur une immense esplanade
où Gaudi a installé des bancs en mosaïque qui permettent tantôt de regarder la ville, tantôt de regarder le parc.

Avec la foule très nombreuse, il est très difficile de trouver une place sur cet immense banc sinueux.
Voici le détail de l'endroit où nous nous asseyons. Ils sont très confortables car nous pouvons appuyer notre dos.
J'aime particulièrement cette croix
et ces deux maisons qui semblent être venues tout droit d'un épisode des Barbapapas.
Nous avons la surprise de découvrir que l'esplanade sur laquelle se trouve ce banc est en fait un toit terrasse
que soutiennent d'énormes colonnes ornées de têtes de lions.
Le plafond est également orné de mosaïques.
Face à la montée soudaine du nombre de badauds, nous sommes pris d'une crise d'agoraphobie.
Il y a des gens partout, qui ne cessent de se photographier, de se bousculer.
 
Nous n'arrivons d'ailleurs même pas à prendre en photo la célèbre salamandre en mosaïque tellement il y a du monde autour.
Nous notons qu'il ne faut absolument pas venir ici un dimanche et la foule trop nombreuse nous laisse presque un mauvais souvenir de la fin de notre visite.
Dommage.
Nous partons très vite du parc en direction de rues plus calmes et nous devenons à nouveau plus sereins.
Il est temps de déjeuner, nous nous arrêtons à un restaurant mexicain, la Cantina Machito 
où nous goûtons à de la vraie cuisine mexicaine.
Tout y est délicieux et source de découvertes de nouvelles saveurs.
Je n'aime par contre pas la bière épicée que j'ai commandée.

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