L'année 2012 cinématographique commence pour nous avec un merveilleux film poétique : Hugo Cabret.Hugo est un jeune garçon, fils d'horloger, qui habite dans une gare de Paris depuis la mort de son père. Son travail consiste à remonter toutes les horloges du lieu. Il n'a conservé de son père qu'un seul objet : un automate. Malheureusement, il manque une seule pièce pour que ce dernier prenne vie. Il rencontre alors la jeune Isabelle, "fille" de "papa Georges"...
Martin Scorsese rend hommage à l'un des pionniers du cinéma : Georges Méliès. Cet homme a inventé le cinéma moderne, tel que nous le connaissons. C'est le premier qui s'appuie sur des scénarii pour raconter une histoire. Une scène fera d'ailleurs dire à "papa Georges" s'adressant à un garçon visitant ses studios : "C'est ici que tes rêves sont créés"
Mais c'est aussi le premier a utilisé des effets spéciaux, des effets de montage, à tourner le premier film de science-fiction...
C'est une très belle idée de mettre des extraits des films de Méliès dans l'histoire, mais également ceux d'autres films du cinéma muet comme celui d'Harold Lloyd (Monte là-dessus) où l'acteur est suspendu dans le vide en tenant une aiguille d'une horloge. Cette scène sera d'ailleurs reprise dans le film.
Nous avons passé un très bon moment à nous replonger dans les débuts du cinéma, art merveilleux qui nous apporte tant de... rêves !
Le film peut toutefois avoir des longueurs et des incohérences : Hugo cherche son livre pendant le début du film et d'un coup, nous n'en n'entendons plus parler !
1 commentaire:
excellent n'est-ce pas !!
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