et nous en profitons pour déambuler une seconde fois dans les rues de la capitale en faisant un peu de lèche-vitrines sur les quelques magasins que proposent la ville.
Tout près de là, il y a une boutique d'habits traditionnels féroïens que les habitants portent lors de fêtes et à l'occasion des mariages également.
Arrivés au port, le soleil illumine les façades colorées.
De vieux voiliers mouillent dans les eaux du port aux côtés de bateaux de plaisance ou de navires de guerre.
On voit également des fresques murales.
Des particuliers ont également décidé d'embellir leur entrée, avec ce qu'on imagine être des os de baleines.
On entre par exemple dans cette échoppe de laine aux couleurs du drapeau des Îles Féroé.
On reste bien plus longtemps dans l'unique disquaire de l'île, Tutl records.
On reste un long moment dans ce magasin au plafond rempli de disques pour tenter de trouver un vinyl à notre goût. On tombe sur The very best of de Bonnie Tyler édité en 1981. Ce 33 tours a fait le voyage jusqu'à la maison entier.
L'art s'invite également dans la ville avec de nombreuses statues rendant hommage aux Féroïens.
Car ne l'oublions pas, les Féroïens sont un peuple de marins. D'ailleurs, en regardant cette carte que l'on croyait être touristique pour le pays frère qu'est l'Islande, on réalise qu'il n'est nullement question de tourisme. Non, en réalité, cette carte fait l'état des lieux des naufrages de navires venus des Îles Féroé autour de l'Islande entre 1870 et 1993. Et ils sont assez nombreux !
Pour le repas, nous n'avons pas hésité et nous nous sommes dirigés vers le restaurant Bitin qui propose une belle variété de smørrebrøds. La première fois que nous en avions goûté, c'était lors de nos vacances au Danemark en 2010.
Voici ceux qui composent notre repas.
Cette seconde journée dans la capitale prend fin, nous rentrons en empruntant cette fois le plus long tunnel sous-marin des Îles Féroé.
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