Le bus A3247 nous dépose Plaza de Don Federico Moyùa et là, nous avons l'impression de faire un bon dans le passé du style Retour vers le futur. Car si pour nous, Noël est terminé, les décorations sont de mises dans toute la ville pour la venue prochaine des Rois Mages.
Le sapin sur la place est tout juste gigantesque et change très régulièrement de couleurs.
Bilbao scintille de mille lumières pour notre plus grand plaisir.Si les mots utilisés pour la plupart des monuments sont dans la langue basque, c'est bien en Espagnol que nous allons parler durant notre séjour.
Près d'Arriaga Antzokia, le théâtre, sur Arriagako Enparantza trône un immense sapin.
Le théâtre est construit en 1890 mais est entièrement détruit lors de terribles inondations en 1983 par la rivière Nervion qui vont ravager la ville et tuer 43 personnes. Il est reconstruit en 1985.
Mais revenons à l'instant présent. Après avoir déposé nos sacs à dos à notre chambre, nous cherchons de quoi manger dans la vieille ville, Zazpikaleak / Casco Viejo. Construite en 1890, c'est à Plaza Nueva que nous faisons notre arrêt à la découverte de la gastronomie basque. Si la place centrale est gigantesque et dotée de palmiers lumineux à l'occasion des fêtes de fin d'année, les bâtiments qui l'entourent sont soutenus par des arches où s'abritent bars et restaurants.
Mais revenons à l'instant présent. Après avoir déposé nos sacs à dos à notre chambre, nous cherchons de quoi manger dans la vieille ville, Zazpikaleak / Casco Viejo. Construite en 1890, c'est à Plaza Nueva que nous faisons notre arrêt à la découverte de la gastronomie basque. Si la place centrale est gigantesque et dotée de palmiers lumineux à l'occasion des fêtes de fin d'année, les bâtiments qui l'entourent sont soutenus par des arches où s'abritent bars et restaurants.
A l'arrière de l'arche, il y avait là jusqu'en 1900, le siège du Gouvernement du Pays Basque. Depuis cette date, c'est Euskaltzaindia, l'Académie de la Langue Basque qui occupe les lieux.
Les pintxos, sortes de tapas, que nous ne connaissions pas vont être au menu pour cette première soirée. Le soir, les rues sont bondées, les clients boivent et mangent debout dehors. La vie espagnole débute en effet tard le soir pour retrouver la famille, des amis, faire des connaissances et surtout parler.
Les pintxos, sortes de tapas, que nous ne connaissions pas vont être au menu pour cette première soirée. Le soir, les rues sont bondées, les clients boivent et mangent debout dehors. La vie espagnole débute en effet tard le soir pour retrouver la famille, des amis, faire des connaissances et surtout parler.
Que ce soit chez Sorginzulo ou chez Gure Toki, nous nous régalons avec nos pintxos ! C'est bien simple, au moment où j'écris ce billet, j'en salive encore. Il en existe une multitude et il faudrait rester longtemps pour arriver à tous les goûter. Il semble d'ailleurs qu'il y ait toujours des nouveautés. Voici un échantillon.
Ravis de cette première soirée à Bilbao, nous rentrons à notre chambre et terminons la journée en regardant une émission que nous connaissions bien car nous la suivions il y a quelques années durant l'été sur la , Grand Prix. Cette émission arrive à la télévision espagnole en 1995 et n'a quasiment jamais été arrêtée même si parfois, elle a changé de chaînes. C'est essentiellement à la télévision publique qu'a été diffusée ce jeu présenté par Ramon Garcia (1961). Ce jeu n'est autre que l'adaptation d'une émission inventée en France en 1962 par Guy Lux (1919-2003) et Claude Savarit (?), Intervilles
Ravis de cette première soirée à Bilbao, nous rentrons à notre chambre et terminons la journée en regardant une émission que nous connaissions bien car nous la suivions il y a quelques années durant l'été sur la , Grand Prix. Cette émission arrive à la télévision espagnole en 1995 et n'a quasiment jamais été arrêtée même si parfois, elle a changé de chaînes. C'est essentiellement à la télévision publique qu'a été diffusée ce jeu présenté par Ramon Garcia (1961). Ce jeu n'est autre que l'adaptation d'une émission inventée en France en 1962 par Guy Lux (1919-2003) et Claude Savarit (?), Intervilles
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