vendredi 4 octobre 2024

Dune : 1ere partie

La première partie du film Dune du réalisateur canadien Denis Villeneuve (1967) a été diffusée sur TF1 en mars dernier.
Revenons donc sur ce film que nous avons regardé quelques temps après.
Nous ne pouvons pas le comparer à celui qu'avait réalisé David Lynch (1946) sorti en 1984 ni à la mini-série diffusée en 2000 car nous ne les avons jamais regardés. Il faudra sans doute s'y atteler.

Dune à l'origine est un roman de science-fiction de Frank Herbert (1920-1986) paru en 1965. Idem, nous devrons sans doute réparer cette lacune de lecture. 
La deuxième partie quant à elle est sortie au cinéma à peu près au moment de la diffusion de la première sur TF1. Quelle jolie coïncidence ! Mais oui on le sait, cela n'en n'est pas une.
Il n'empêche que nous avons été happé par cet univers que nous ne connaissions pas et qui nous a forcément fait penser à toute une série de films de science-fiction, de séries de science-fiction ou de livres de science-fiction que nous affectionnons tant. 

En 10191 du calendrier Impérial, l'Empereur Shaddam IV offre au Duc Léto Atréides le fief de la planète désertique Arrakis, connue sous le nom de Dune. C'est ici que l'on récole l'Epice, une drogue qui prolonge la vie, immunise contre les poisons, décuple les facultés mentales humaines et permet les voyages interstellaires. Le Duc s'installe avec sa famille, ses soldats, sa cour sur la planète tout en sachant que ce cadeau est empoisonné et que c'est un piège concocté par son ennemi, le Baron Harkonnen. La récolte de l'Epice est dangereuse car sous le sable vivent de terribles créatures, les vers des sables géants. Paul, le fils du Duc, va être considéré par le peuple d'Arrakis, les Fremen comme leur Messie, Mahdi...

Nous pensions que les presque trois heures du film allait être un frein à son visionnage mais il n'en n'est rien. Nous avons adhéré assez rapidement à l'histoire tout en mettant un moment tout de même à savoir qui est qui. Une fois que les personnages sont en tête, et même si parfois on les mélange encore; nous nous sommes laissé entraînés par ce film de science-fiction. La musique, les paysages désertiques sont un bonus appréciable lui donnant un air de nos déserts d'Afrique et d'Arabie fort agréable. 
C'est du grand et beau spectacle et nous avons hâte de voir la suite.

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