L'entrée de Grenoble est toujours en travaux et il nous semble que cela ne finira jamais même si grâce à Clara 😉 certaines portions semblent avoir un peu avancées.
Nous mangeons dans un restaurant spécialisé de poissons moules et tourteaux.
Un grand merci aux Taties pour ce bon moment.
Nous les laissons se reposer pour aller faire une marche digestive dans cette ville de 157 650 habitants entourée par les montagnes.
Si nous ne faisons que passer en voitures dans les nombreux quartiers neufs grenoblois du genre de celui de la Confluence à Lyon ou du Carré de Soie à Villeurbanne, nous nous dirigeons vers le centre historique en longeant l'Isère là où devaient rouler des voitures il y a quelques années et où dorénavant seuls les piétons et les cyclistes se promènent tranquillement.
Sur les hauteurs des derniers contreforts du Massif de la Chartreuse, sur le Mont Rachais (1 050m) veille la Bastille. Ce fort a été construit là entre 1824 et 1847 mais d'autres existaient là bien avant.L'Isère est enjambée par le Pont de la Porte de France que vous distinguez au fond.
Elle est construite en 1620 et faisait partie des fortifications de la Bastille, bien avant celles que l'on voit actuellement.
Depuis 1935, c'est également le Monument aux Morts de la Première Guerre Mondiale.
Papa connait bien ce grand magasin qu'il est venu livrer régulièrement pendant plusieurs années en semi-remorque très, très tôt le matin en évitant de gêner le tramway.
Grenoble possède cet air d'Italie avec les façades de ses vieux immeubles comme on peut en avoir à Lyon ici aussi.
Voici une halle de marché.
Papa connait bien ce grand magasin qu'il est venu livrer régulièrement pendant plusieurs années en semi-remorque très, très tôt le matin en évitant de gêner le tramway.
Grenoble possède cet air d'Italie avec les façades de ses vieux immeubles comme on peut en avoir à Lyon ici aussi.
Voici une halle de marché.
De retour sur les bords de l'Isère, nous découvrons un petit radeau bloqué par une branche dans les eaux de la rivière dont le niveau est assez bas.
Au loin, mais on les distingue à peine avec les arbres qui ont débuté leurs changements de couleurs en arrière plan, ce sont les stars de la ville : les bulles de Grenoble.
Alors qu'à Lyon l'installation d'un téléphérique fait polémique; c'est l'époque qui veut autant de polémiques pour tout et n'importe quoi; Grenoble est l'une des premières villes au monde où un téléphérique a été installé. Il a été inauguré le 29 septembre 1934.Au départ, les cabines sont bleues et dodécagonales (12 côtés). Elles sont en activité de 1934 à 1951.
En mars 1951, de nouvelles cabines viennent leur succéder en forme de caisses vitrées aux angles arrondis. D'abord vertes, elles sont peintes très rapidement en jaune et rouge, couleurs de Grenoble. Elles transporteront leurs passagers de 1951 à 1976.
Depuis 1976, ce sont ces très belles bulles qui font la fierté des Grenobloises et Grenoblois et que les touristes apprécient énormément.
Nous les avions empruntées Frédéric et moi il y a quelques années lors d'un précédent voyage.
3 commentaires:
Un bon moment isérois
Papa était content de revoir Grenoble!!
Joli reportage
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