jeudi 19 avril 2018

Notre promenade à Guanajuato se poursuit

Nous souhaitons monter sur la route panoramique au-dessus de la ville mais nous nous perdons dans les ruelles et nous ne la trouverons jamais.
Ce n'est d'ailleurs pas plus mal car nous verrons plus tard que cette route était bien trop loin pour s'y rendre à pieds.
Nous entrons prendre le frais dans l'une des innombrables églises de Guanajuato.
Dans celle-ci, nous aimons particulièrement les vitraux.
L'intérieur est très richement décoré et des fleurs au parfum très puissant, voir entêtant viennent encore embellir les lieux.
Comment ne pas succomber à cette demande de dons en sortant ?
C'est nettement plus efficace qu'un vulgaire tronc d'église non ?
La photo suivante représente selon moi parfaitement le Mexique : le ciel bleu, la chaleur de la ville, les couleurs des maisons, les fleurs, les cactus, l'église et le musicien au chapeau mexicain.
Une véritable carte postale !
Près de cette fontaine, nos yeux sont attirés par ce vendeur ambulant que nous avions vu passer un peu plus tôt.
Il porte sur son dos ces énormes chicharrones.
 Nous continuons à monter sur la colline nous permettant par moment d'avoir une vue dégagée.
Nous nous amusons de l'ingéniosité des mexicains : pourquoi acheter un pot pour planter ses fleurs à sa fenêtre ?
Les boites de conserve de la marque mexicaine créée en 1923; La Costeña; font l'affaire (marque distribuée en France)
Effectivement, pourquoi ne pas recycler plutôt que de jeter et d'acheter continuellement ?
Et si on faisait pareil ?
Faisons un essai avec les conserves de notre dernier repas mexicain ici (avec la même marque)
C'est dommage car nous pensions pouvoir prendre une photo d'une tortilleria (où l'on fabrique les tortillas). Nous en avons vu partout durant notre voyage mais la seule que nous immortaliserons avec notre appareil est... fermée !
Nous ne ratons pas de prendre en photos le livreur de gaz dont nous vous reparlerons dans un prochain billet car c'est également une institution au Mexique.
Nous aimons beaucoup ces cactus qui ressemblent à celui que nous avons ici dans notre appartement.
Au loin, derrière les fleurs, sur une autre colline se dresse la statue d'El Pipila qui fera également partie d'un prochain billet.
Si vous doutiez encore que la religion catholique tient une grande place ici, cette œuvre taguée vous en apportera une preuve supplémentaire.
Nous rendant compte que nous ne trouverons pas la route panoramique, nous redescendons en centre-ville en passant le long de l'imposante université.
Nous allons maintenant nous cultiver un peu au Musée Diego Rivera...

1 commentaire:

plou a dit…

bien catho...