lundi 23 avril 2018

El museo Amparo

En ce vendredi 23 mars, nous débutons la journée par notre petit déjeuner
sur la terrasse de notre hôtel en profitant de la vue qui s'offre à nous.
Nous avons décidé de visiter ce matin El Museo Amparo.
Avant d'y arriver, nous prenons des photos de ces maisons dont les façades sont recouvertes de faïence leur donnant un aspect très brillant.
 La ville est très agréable et le quartier ne souffre pas trop de la circulation.
Étrangement, alors qu'habituellement il n'y a aucun feu de signalisation pour les piétons, nous en trouver un ici et qui plus est des plus modernes !
En arrivant près d'une publicité, notre grand regret sera de ne pas avoir pu assister à un match de lucha libre (le catch).
Les matchs n'ont lieu en effet que le lundi.
Nous aimons beaucoup la façade de ce restaurant.
Arrivés au Musée Amparo, nous tombons immédiatement sous le charme de la cour intérieure et de sa décoration.
Dans le musée, nous sommes étonnés de voir un ou deux surveillants par salle, prêts à nous renseigner et surtout là pour nous orienter et nous ouvrir les portes.
Un luxe rarement vu dans un musée.
Dès l'entrée, nous sommes très intéressés de voir cette frise géante de photos qui met en comparaison les différents continents pour montrer que bien avant les Européens, d'autres cultures de par le monde avait été en avance et dominaient leurs régions.
Le musée Amparo est conçu de manière très claire et possède énormément d'objets.
C'est vraiment un musée où nous nous sentons bien.
Des écrans géants nous montrent les populations du Mexique, la faune et la flore.
Les cours intérieurs sont décorées
tandis que d'autres accueillent de merveilleux jardins rafraîchissants.
Dans le musée, il y a également une exposition d'art contemporain à laquelle nous n'accrochons absolument pas.
Par contre, nous aimons énormément l'exposition temporaire sur le textile.
Le bâtiment du musée est composé d'une partie moderne et d'une ancienne où nous pouvons visiter encore quelques pièces.
Ici la cuisine, toujours très colorée.
Là, un salon.
Vous noterez que la maison abritait des gens aisés. Nous sommes loin des maisons que nous voyons durant notre voyage.
La maison construite en 1538 a tout d'abord abrité l'Hôpital Saint-Jean-de-Latran puis elle a été transformée en un collège pour jeunes filles au XVIIe siècle. Un célèbre avocat de la ville, Espinosa Bandini en fit l'acquisition en 1871. C'est son petit-fils qui en fit un musée en 1991.
Sur la terrasse, il y a un bar où l'on boit un jus de fruits.
D'ici, nous avons une vue sur les toits de la ville.
Voici une série de photos.
Sous la pointe de la flèche blanche, on devine le Popocatépetl surnommé le Popo (5 426 m); volcan toujours en activité.
 
Terminons ce billet pour vous parler du livreur de gaz.
En effet, il n'y a pas de gaz de ville et pour en obtenir il faut en acheter à un livreur (soit en bouteilles, soit en recharge dans votre cuve). Ces livreurs passent en ville et pour attirer le client, ils diffusent par haut-parleurs de la musique tout en criant "El gas !".
Les musiques sont différentes selon les distributeurs et les villes.
Celle-ci est une mélodie qui reste bien en tête.
Marie nous rejoint et nous emmène visiter d'autres endroits à Puebla...

1 commentaire:

plou a dit…

jolies couleurs des maisons