Je viens de terminer le numéro 24 avec à la une d'autre stars de comédies françaises que j'aime beaucoup, les Charlots.
Le groupe est composé de Gérard Rinaldi (décédé en 2012), de Jean Sarrus, de Gérard Filippelli, de Jean-Guy Fechner et de Luis Rego (qui quitte les Charlots en 1971).
A l'origine, ils composaient un groupe de musiciens et sont devenus des stars de la comédie française dans les années 70 avec des films très légers.
Autant leurs films me font rire, certaines de leurs parodies de chansons sont amusantes, autant après la lecture de ce long reportage, Les Charlots me déçoivent sur la manière dont ils se comportaient durant leur carrière. Leurs mauvais choix a provoqué leur chute et d'être désavoués par leur public à la fin des années 70.
Dommage...
Schnock
n°24
La revue des vieux de 27 à 87 ans
Merci patron !
Les Charlots
Nicoletta : "J'ai fait découvrir la soupe à l'oignon à Jimi Hendrix"
Les meilleurs pipes du cinéma
Le journalisme avant Internet
Pascal Jardin
Patrice Blanc-Francard
Jean Tissier
Le sommaire :
L'édito
Le trombinoschnock
Bien entendu, c'est on
Top 15 de la pipe au cinéma
Le grand dossier : les Charlots
- Les Charlots par les Charlots
- 18 bonnes raisons d'aimer les Charlots
- Antoine : "Ils étaient meilleurs que les Chaussettes Noires ou les Chats Sauvages"
Philippe Clair : "Ils avaient un atout de taille : c'était une bande de copains déjà formée !"
- Les Charlots selon Claude Zidi
- "La critique les ignore et ils ignorent la critique" Henri Chapier & Co. contre Les Charlots
- Les Charlots : la filmo invisible !
- François Ruffin : "Merci patron" ? Une espèce de révolte souriante
Nicoletta : "J'ai fait découvrir la soupe à l'oignon à Jimi Hendrix"
Le temps béni du grand reportage
Patrice Blanc-Francard : les auditeurs adoraient qu'on passe du coq à l'âne
Jean Tissier, l'amant de la Continental
Pascal Jardin, l'homme pressé
Nos trésors cachés ne le restent jamais très longtemps
Rue du Havre de Paul Guimard
The Humours of de Lewis Furey
Juste avant la nuit de Claude Chabrol
Le schnock des photos : Jean-François Bizot vu par Foc Kan
Je termine ce billet avec leur célèbre : L'apérobic
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