Pourquoi avions-nous rendez-vous impérativement à Quimper ce mercredi ?
Je vous explique :
avant de partir en vacances en Bretagne, Frédéric voulait absolument nettoyer la voiture.
Tout content de la récupérer (je l'utilise quotidiennement), il se rend à la station de lavage alors que les températures sont très élevées et ce qui devait arriver, arriva, crac, le pare-brise se fissura !
Défaut de la machine de lavage, écart de températures ou impact sur le pare-brise l'ayant fragilisé (Frédéric opte étrangement pour cette solution étant donné que je suis la pauvre petite victime à condamner, celui qui aurait reçu un impact sur le pare-brise et qui n'aurait rien dit) nous ne le saurons pas !
Comme dans la publicité, Frédéric appelle une société spécialisée, Carglass pour ne pas la nommer.
L'échange de notre pare-brise s'effectuera à Quimper.
C'est pourquoi nous nous rendons à Quimper obligatoirement ce mercredi.
Le rendez-vous immobilise tout de même Titine pendant quelques heures, heures d'attente que nous mettons à profit à visiter Quimper.
La ville est traversée par l'Odet qui est enjambée par un multitude de passerelles. Chaque maison privée avait la possibilité de construire sa passerelle privée pour traverser la rivière et se rendre dans le centre de Quimper. Ce privilège fut abandonné et les passerelles devinrent publiques.
Que de poissons dans l'Odet ! Pêcher ici doit être un jeu d'enfant.
Il reste encore des murs de l'enceinte de la vieille ville où dépasse la cathédrale Saint-Corentin.
La dernière fois que nous étions venus dans la capitale de la Cornouaille, il ne faisait pas très beau et nous n'avions fait qu'une très courte halte.
Aujourd'hui, le ciel est bleu.
Nous prenons le temps d'entrer dans la cathédrale Saint-Corentin.
Les sculptures représentant la mise au tombeau sont très colorées et les personnages sont surtout de taille réelle.
Pas très fans de ce moyen de transport (nous avons un mauvais souvenir de celui de Vienne en Autriche), nous prenons toutefois le petit train touristique.
Notez à l'intérieur ce petit autocollant :
- en français : Attention : ni bras, ni jambes à l'extérieur du petit train
- en anglais : Consignes de sécurité : toutes jambes ou bras coupés par accident seront servis à un barbecue ce soir.
Ces différences me donnent à réfléchir car en maniant l'humour, les anglophones obéiront tandis que forcément, en imposant une règle, les français eux se feront un malin plaisir de désobéir...
Le vieux Quimper nous plonge dans la France du Moyen-Âge.
La maison où sont hissés des drapeaux et la plus vieille de la ville. C'est actuellement une boutique de souvenirs.
Nous traversons la Halle aux Marchés où les différents produits locaux nous donnent faim.
Frédéric à la gentillesse de retourner chercher la voiture pendant que nous partons en quête d'un lieu de restauration. Nous nous installons à deux pas de la cathédrale et prenons un apéritif. A son retour et pendant que nous déjeunons, Maël; qui connaît bien les pubs; lui demande si nous avons eu des essuie-glaces en cadeau. Il s'avère que non ! Et pourtant, Maël a raison, il y a bien une publicité qui passe en boucle en informant que des balais essuie-glaces sont offerts.
Serait-ce de la publicité mensongère ?
Ce n'est pas grave, de toute manière il ne pleut pas en Bretagne !
3 commentaires:
Il faut réclamer vos essuie-glace Bosch !!!
Et tu n'as pas dit que tu avais eu mal au coeur dans le petit train ?? ;)
Je ne dis pas tout ;o)
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