Presque deux ans après, nous sommes allés voir le deuxième opus de Sherlock Holmes.
Nous retrouvons les mêmes personnages, Sherlock Holmes et le Docteur Watson.
Il n'y a plus cette fois aucune ambiguïté sur le duo que forme les deux compères puisque le Docteur Watson épouse Mary, rencontrée dans le film précédent.
L'intrigue se déroule toujours dans les années 1890, à la veille de la Première Guerre Mondiale.
L'Europe est secouée par des attentats anarchistes.
Sherlock Holmes est certain que l'infâme Professeur Moriarty est à l'origine de ces violences.
En effet, ce dernier aimerait se voir affronter deux des puissances européennes de l'époque : la France et l'Allemagne.
Les autres nations européennes choisiraient alors leurs camps, et il pourrait vendre ses armes à chaque belligérants sans distinction.
Le plan de Moriarty semble parfait mais un grain de sable vient le contrecarrer.
Ce grain de sable, c'est Sherlock Holmes...
Cette fois, l'histoire est moins centrée sur l'esprit de déduction inouïe du personnage mais plutôt sur les scènes d'actions et sur le combat que se mènent les deux ennemis : Holmes et Moriarty.
Pire encore, on se rend compte qu'Holmes arrive à se tromper, qu'il est faillible.
Il faut toutefois bien suivre chaque instant du film car ils vous serviront de puzzle pour vous conduire à la scène finale où vous découvrirez bien entendu que Sherlock Holmes reste Sherlock Holmes.
Nous avons aimé les scènes d'action (le ralenti dans les scènes de bombardements est admirable), l'humour utilisé, la relation entre Holmes et Waston.
Nous nous questionnons encore sur certains faiblesses du scénario :
Pourquoi le frère de la gitane lance une sorte d'appel à l'aide alors qu'il souhaite finalement la fin des régimes actuels ?
Pourquoi le chef des anarchistes choisit cette destinée finale ?
Comment Watson garde t'il intact son cadeau de mariage ?
Bref, mise à part ces quelques incohérences, le film reste un bon film d'action, comme nous les aimons.
Ah oui, encore un détail : merci aux spectateurs de se doucher lorsqu'ils sortent de leurs salles de sport et qu'ils souhaitent aller au cinéma.
En effet, trois gars se sont assis près de nous apportant avec eux une odeur de vestiaires de salle de sport !
Je ne voudrai pas faire mon pénible mais c'est assez répugnant de sentir l'odeur de la chaussette sale et de la transpiration durant plus de deux heures dans un lieu clos comme l'est une salle de cinéma !
Sherlock Holmes 2 : Jeu d'Ombres - Bande-Annonce... par Lyricis
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