Sa construction s'est étalée entre 1176 et 1439 et succède à trois précédentes cathédrales, toutes détruites par des incendies.Cette Cathédrale a été de 1647 à 1874, l'édifice le plus haut du monde.
On se sent tout petit lorsqu'on se trouve à l'entrée de l'édifice.
A l'intérieur, nous observons l'énorme rosace
mais nous restons également un long moment à décrypter tous les détails de cette magnifique horloge astronomique et essayons de comprendre son fonctionnement.
Pas simple car la machine indique l'heure, mais aussi les saisons, les fêtes, la position des planètes, la position de la Terre, l'heure du lever du soleil, l'heure du coucher du soleil... Un bijou de technologie datant de 1842.
Cela fait un quart d'heure que nous l'observons, et soudain, un automate se met à bouger. Tout le monde retrouve alors son âme d'enfant et admire la courte procession des personnages.
Une plate-forme permet de monter presque au sommet de la Cathédrale, en tout cas au-dessus des cloches, en empruntant un long escalier en colimaçon de 332 marches.
Voici une petite explication en image :
La vue est magnifique et nous découvrons Strasbourg d'en haut.
Nous restons là le temps de reprendre notre souffle, de faire une série de photos et d'admirer le paysage. Et nous redescendons par l'autre côté, toujours avec le même nombre de marches. Il ne faut d'ailleurs pas descendre trop vite car sinon la tête vous tourne.
Pour récupérer de notre exercice physique et avant de quitter Strasbourg, nous décidons de nous arrêter manger une munsterflette pour moi, une tarte flambée pour Frédéric. Bizarrement, de partout ailleurs en France on parle de flammekueche et on a d'ailleurs du mal à prononcer le nom de ce plat et ici, son lieu d'origine, devinez comment on l'appelle : tarte flambée !
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