vendredi 18 juillet 2025

Les routes de l'impossible

 

Dans la série des magazines TV de l'été, il manquait la nouvelle saison du magazine d'aventures, Les routes de l'impossible.
L'émission de ce soir a été, malheureusement pendant de nombreux années sous le feu des projecteurs, l'Irak. 
Nous sommes plutôt curieux d'en apprendre un peu plus sur cette Irak de 2025.
La découverte se fera tout à l'heure sur à 20:50.

jeudi 17 juillet 2025

Rue Saint-Urbain

Nous avions passé beaucoup de temps chez Archambault lors de notre dernière visite au Québec pour trouver un roman qui se déroulait là-bas. Notre choix c'était porté sur Rue Saint-Urbain sorti en 1969 de Mordecai Richler (1931-2001). 

Quelle déception !
En fait, l'auteur fait référence à la religion juive en détails, détails que nous n'avons pas pour comprendre ce dont il parle. Il raconte ensuite la ville de Montréal de son enfance, ville que nous ne connaissions pas également. Du coup, la lecture est ennuyante, incompréhensible et je regrette amèrement cet achat.
Ce livre fait partie des livres dont nous nous séparerons avec un grand plaisir car il ne viendra pas encombrer notre bibliothèque.

Rue Saint-Urbain
Mordecai Richler
BQ

mercredi 16 juillet 2025

Le circuit des crêtes

Dimanche, nous sommes passés dans le département voisin de la Loire pour randonner.
Le départ s'effectue du petit village de Saint-Cyr-de-Valorges (311 habitants).
La décoration du coin de verdure du parking est faite maison et donne un côté champêtre à ce coin de campagne ligérienne. 
Une propriété privée, en travaux et presque cachée par la végétation est le Château Lespinasse.
La première trace remonte à 1331 où l'on sait que réside ici Guichard De Thélys, le Seigneur des lieux.
Le bourg n'est pas vraiment grand, on note l'absence de commerce si ce n'est un restaurant, fermé le jour de notre venue. La place du village possède son Monument aux Morts surplombé par un Poilu coloré. La façade de l'église quant à elle nécessiterait un bon coup de nettoyage.
Des primevères fleurissent autour de cette croix. Mais par quel enchantement des primevères sont en fleurs en plein mois de Juillet ?
Aucune magie ni aucun miracle toutefois, ce sont des fleurs en plastique.
Commence pour nous une galère dans le chemin qui mène à un ruisseau. 
Les ronces et les orties sont très nombreux et nous devons ouvrir notre chemin à coups de bâtons de randonnée. On ne compte plus les piqûres et les écorchures. C'est d'ailleurs près de l'eau que nous dérangeons un serpent qui détale aussitôt qu'il sent notre présence. Nous n'avons pas le temps de vérifier s'il s'agit d'une couleuvre ou d'une vipère. 
Finalement, on est plutôt contents que le ciel se charge en nuages car ils vont nous permettre de ne pas avoir trop chaud durant notre marche.
Cet arbre est-il mort de sa belle mort ou a t'il été foudroyé lors d'un orage ? Nous ne le saurons sans doute jamais.
Nous sommes dans une partie de la Loire très agricole et l'on ne compte plus les champs de blé nous permettant de prendre de très belles photos et de profiter pleinement de ces paysages.
On apprécie encore plus ce que l'on a sous nos yeux avec le contraste entre le blond des champs de bléa et le puissant vert des champs de maïs.
Au loin, c'est le Mont Boussuivre (999 mètres) situé sur le village de Violay (1 210 habitants), très cher à mon Papa. On distingue parfaitement la tour de télécommunication tout près de la Tour Matagrin construite en 1876.
Il n'y a pas que de la culture à Saint-Cyr-de-Valorges mais également de nombreux élevages. Ici, un troupeau de vaches pensaient qu'elles allaient être nourries. Désolé les copines, notre sandwich n'est pas pour les bovins.
Voici du sureau de montagne dont les fruits, s'ils sont cuits, ne sont pas toxiques et sont souvent mélangés avec d'autres fruits pour en faire de la confiture. Il semblerait qu'on puisse également en faire de l'eau-de-vie.
Si nous avons très chaud, la température redescend lorsque nous marchons sur les chemins au milieu des forêts.
C'est à la fraicheur d'un bois que l'on pique-nique dans un calme absolu.
Une très haute et fine antenne se cache derrière les fougères très nombreuses dans le coin.
Elle semble dominer la région. Au loin, on voit Tarare.
Les paysages sont toujours aussi beaux à la reprise de notre marche.
La base de loisirs est équipée de tables de pique-nique, de matériels de sport et d'un joli lac, lac où cependant la baignade et la pêche sont deux activités interdites. Il n'est par contre pas interdit et plutôt fortement conseillé de profiter de ce très joli lieu.
La Croix Bourru nous donne l'occasion de vous raconter une légende, telle que nous aimons à vous les raconter chaque fois que nous en connaissons.
A quelques pas de la Croix Bourru, une dépression dans le terrain marquait l'emplacement du vieux village de Saint-Cyr-de-Valorges car autrefois, il y a fort longtemps, le village se situait ici. Mais lors d'un orage extrêmement violent, les maisons furent emportées par les eaux et par les incendies provoqués par la foudre. Saint-Cyr-de-Valorges fut rayé de la carte, ses habitants tous tués. Depuis lors, si vous venez ici durant la nuit de Noël, vous entendez sonner dans le sous-sol les cloches de l'églises enfouie. 
Qui est assez courageux pour faire le test ?
Les champs de maïs et de blé se succèdent tandis que les nuages se font plus nombreux et qu'un orage semble vouloir poindre. 
Ceci n'est pas un serpent mais un orvet malheureusement séché sur la route.
Ce lézard sans patte n'est pas de la famille des serpents. L'espèce est protégée. Celui-ci semble avoir littéralement "brûlé" sur le goudron bouillant.
De retour au village, si l'on met à part les (trop) nombreux câbles aériens, on aime la décoration naïve de cet abribus sans doute réalisée par des enfants.
Une grotte a été construite en 1954 en l'honneur de la Vierge Marie par les anciens de l'Armée d'Afrique Française du Nord (A.F.N.)
Direction chez mes parents pour terminer la journée.

mardi 15 juillet 2025

Speak English, UNIT TWELVE, lesson one

Si on connaissait bien Jenny, Brian, David et Helen, voici qu'à la page 118 arrive dans ce petit groupe une petite nouvelle, Liz Burton.
Cette nouvelle voisine ne semble avoir peur de rien et s'invite facilement chez les Miller.
Si Jenny pense pouvoir peut-être avoir une nouvelle amie, Brian est tout heureux d'apprendre qu'elle a un frère. Lui aussi se voit déjà avoir un nouvel ami avec qui aller faire du vélo. Malheureusement, le frère de Liz est un bébé de 2 ans. 
Le souvenir que j'ai de cette Liz, c'est que c'est une peste... mais ça on le découvrira dans la prochaine leçon.
L'autre souvenir bien plus plaisant, c'est la scène que jouait Monsieur Dupont lorsqu'il interprétait Jenny dans la case où elle disait que ce n'était pas son ballon et où elle tient une fleur. Notre professeur se transformait alors en jeune fille avec une fleur imaginaire dont il enlevait les pétales.
Imaginez un peu cette scène face à un homme à la carrure très impressionnante !

lundi 14 juillet 2025

Bon 14 Juillet !

Aujourd'hui, c'est notre Fête Nationale.
Nous vous souhaitons de passer une très belle journée du 14 Juillet.

A Paris, c'est le défilé militaire qui est la coutume, défilé que nous regardons chaque année sur les antennes de notre télévision publique aux couleurs de notre drapeau pour l'occasion.

Cette année, ce sont les soldats de l'armée d'Indonésie qui ouvrent le défilé.

dimanche 13 juillet 2025

Adieu mes quinze ans

 

Ce feuilleton en 19 épisodes a été diffusé sur la première chaîne de l'O.R.T.F. 

à partir du 4 Mai 1971. Chacun des épisodes durait 13 minutes et on le retrouvait chaque soir de la semaine à 20.15. 
Télé 7 Jours, sur son numéro 576 avait mis en couverture l'héroïne d'Adieu mes quinze ans, la jeune Patricia Calas (1953) dans le rôle titre de Fanny dans cette histoire qui se déroule en 1957 à Boulogne-sur-Mer.
Fanny et son frère aîné Guillaume sont orphelins et vivent avec leur grand-père, un ancien marin du grade de Capitaine, dans la grande maison familiale du Cadran Solaire. Fanny va croiser un charmant jeune homme très mystérieux, Yann. Ce dernier est camionneur mais ne semble pas avoir rencontré la jeune fille par hasard puisqu'il épie cette famille aux jumelles depuis quelques jours...
Adieu mes quinze ans est l'adaptation à la télévision d'un roman publié en 1963 par Claude Campagne qui était en fait un couple d'auteurs, Jean-Louis Dubreuil (1914-1995) et Brigitte Dubreuil (1928-2009).
L'histoire est racontée par Fanny qui écrit en même temps son journal intime. D'ailleurs, chaque épisode commence et termine par un plan sur ce cahier.
Cette histoire qui apparait être dans un premier temps une histoire à l'eau de rose d'une relation entre deux jeunes gens charmants; notons la présence du séduisant Christian Baltaus (1947) dans le rôle de Yann;
se transforme en une histoire plus complexe qui fait remonter le Capitaine à l'époque de la Seconde Guerre Mondiale, lors d'une intervention en Norvège. 
Si au démarrage on se disait qu'on allait s'ennuyer et même si le rythme du feuilleton est lent et souvent parfois gnangnan, on se prend à espérer que les origines de Yann vont enfin être découvertes et que le secret du Capitaine interprété par Henri Guisol (1904-1994) va également éclater au plein jour.

J'ai passé un assez bon moment à suivre cette histoire qui mériterait, comme c'est à la mode, d'être réadapté sous un format actuel.

samedi 12 juillet 2025

Le Prix Lumière 2025 sera attribué à...

Bientôt ce sera la 17édition du Festival Lumière.
Hier, le Prix Lumière 2025 a été dévoilé.
Après :
  • 2009 : Clint Eastwwod (1930)
  • 2010 Milos Forman (1932-2018)
  • 2011 : Gérard Depardieu (1948)
  • 2012 : Ken Loach (1936)
  • 2013 : Quentin Tarantino (1963)
  • 2014 : Pedro Almodovar (1949)
  • 2015 : Martin Scorsese (1942)
  • 2016 : Catherine Deneuve (1943)
  • 2017 Wong Kar-wai (1958)
  • 2018 : Jane Fonda (1937)
  • 2019 : Francis Ford Coppola (1939)
  • 2020 : Jean-Pierre Dardenne (1951) et Luc Dardenne (1954)
  • 2021 ; Jane Campion (1954)
  • 2022 : Tim Burton (1958)
  • 2023 : Wim Wenders (1945)
  • 2024 : Isabelle Huppert (1953)

c'est au tour du réalisateur, scénariste et producteur, Michael Mann (1943) d'avoir l'honneur de le recevoir nous proposant comme à chaque fois de (re)découvrir certaines des œuvres de cet homme.