A notre retour pour l'heure dite, alors que nous pensions pouvoir profiter encore du soleil, la météo très changeante de l'île nous plonge dans la grisaille et la bruine. Cela n'empêche pas notre joie de découvrir ce restaurant. Autant vous dire que nous avions réellement besoin de réserver puisque lorsque nous entrons dans la salle du restaurant, nous découvrons... qu'il n'y a que deux convives. Pas un de plus ce qui fait que nous serons quatre en tout !
Nous avons la meilleure place avec vue sur le port.
On regarde la pluie tomber. Comment imaginer à cet instant qu'à peine une heure plus tôt, il faisait grand soleil et 15°c.
Notre habituelle bonne humeur ne disparait pas pour autant car nous profitons de l'excellent repas. De l'agneau local pour Frédéric, du poisson local pour moi le tout arrosé de la bière des îles.
Nous ne mettons aucune photo du dessert et nous nous abstiendrons d'en parler car c'est une catastrophe. Cette fausse note ne nous fait pas oublier que nous nous sommes régalés mais nous conforte dans l'idée qu'à l'étranger, il faut souvent faire l'impasse sur une douceur en fin de repas.
Nous ne mettons aucune photo du dessert et nous nous abstiendrons d'en parler car c'est une catastrophe. Cette fausse note ne nous fait pas oublier que nous nous sommes régalés mais nous conforte dans l'idée qu'à l'étranger, il faut souvent faire l'impasse sur une douceur en fin de repas.
De retour à Leirvik, nous faisons une pause digestive au port.
Une embarcation typique en bois mouille dans les eaux.
Comme à leur habitude, une poignée de gones pêchent au bout de la jetée.
La météo quant à elle ne s'arrange pas, bien au contraire, le brouillard descend sur le village.
Une embarcation typique en bois mouille dans les eaux.
Comme à leur habitude, une poignée de gones pêchent au bout de la jetée.
La météo quant à elle ne s'arrange pas, bien au contraire, le brouillard descend sur le village.
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