Depuis les montagnes, Corniglia, le troisième village de ces Cinque Terre se dévoile, surplombant la mer. Il est encore plus petit car il ne compte que 195 habitants à l'année.
Un pin parasol semble situer le point le plus haut.
Il faut encore marcher pour enfin l'atteindre. Corniglia se mérite mais il en vaut la peine. C'est, avec Manarola les deux villages que nous préférons. Les ruelles sont étroites donnant un charme fou à ce village.
Sur la Piazza Largo Taragio, devant la Capella dei Flagellati, cette statue de cuivre usée par le temps est le Mémorial aux Soldats Tombés durant la Première Guerre Mondiale.
Santa Maria Belvedere propose le plus beau point de vue.
Frédéric se souvenait avoir regardé
Echappées belles ayant pour thème les Cinque Terre et le passage où un guide local racontait jouer au foot sur la place juste en dessous... avec le risque que le ballon tombe à la mer.
Nous prenons un petit repas bien mérité à la table du Bar Pan e Vin. C'est simple, mais très bon.
Pour nous rendre aux deux prochains villages, nous sommes obligés de faire le voyage en train car le chemin repasse par la montagne et va nous faire faire de longues heures de marche. Nous affrontons un autre monument de Corniglia, Lardarina. C'est une montée d'escalier qui relie la gare tout en bas au village tout en haut. Nous effectuons fort heureusement la descente et c'est plutôt amusant d'emprunter les 33 virages et les 382 marches !
Il faut quand même un certain temps pour atteindre le quai et nous évitons de peu de louper le train. Nous n'avons d'ailleurs pas eu le temps de composter nos tickets et nous nous en excusons auprès du contrôleur qui nous a vu monter dans le wagon in extremis...
Le trajet est court jusqu'au 4e village...
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