Quoi de mieux qu'une salle de cinéma climatisée durant la canicule à regarder un film ?
Après Les aventuriers de l'Arche Perdue (1981), Indiana Jones et le Temple Maudit (1984), Indiana Jones et la Dernière Croisade (1989), Indiana Jones et le Royaume du Crâne de Cristal (2008), Harrison Ford (1942) a renfilé son chapeau, son blouson et repris son fouet pour une nouvelle aventure du professeur en archéologie, Dr Henry Walton Indiana Jones Jr. Ce cinquième film est intitulé Indiana Jones et le Cadran de la Destinée. Indiana Jones a vieilli mais reste prêt, malgré lui, à reprendre ses aventures et à lutter une nouvelle fois contre les Nazis. Il est accompagné d'anciens compagnons et de nouvelles têtes. On joue beaucoup sur la nostalgie en suivant la trame des épisodes précédents et en multipliant les clins d'œil. Si la technologie a permis de rajeunir Harrison Ford dans la première partie du film, l'acteur a le courage de se montrer tel qu'il est physiquement à 81 ans là ou d'autres se cachent et utilisent du maquillage ou des effets spéciaux pour cacher le temps qui passe. La fin est démente et originale. Ce cinquième opus est plutôt à notre goût même si le personnage de la filleule d'Indiana Jones Helena Shaw (Phoebe Waller-Bridge 1985) et de son jeune ami Teddy (Etan Isidore 2007) sont très superficiels. Nous avons été ravis de revoir l'ami égyptien d'Indiana Jones, Sallah (John Rhys-Davies 1944) qui vit dorénavant aux Etats-Unis. Notons également la présence d'Antonio Banderas (1960) que je n'ai absolument pas reconnu !
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