Vendredi soir, nous avons poursuivi la 39e édition du festival Reflets du Cinéma Ibérique & Latino-américain au Zola à Villeurbanne avec un film du Guatemala.
Si l'affiche, la bande-annonce et les premières images du films sont prometteurs,
Si l'affiche, la bande-annonce et les premières images du films sont prometteurs,
très vite on déchante, on est perdus, on ne comprend rien. On s'obstine pourtant, malgré quelques sorties de spectateurs, histoire de voir si le scénario va changer, à rester dans la salle.
Que vient faire el ojo (l'œil) dans l'histoire car on n'assiste à aucune scène flagrante de surveillance. Quelle est cette femme censer régner sur la population dont on ne sait si c'est un humain ou une machine et d'ailleurs... on s'en fiche. Nous ne sommes parvenus à nous attacher à aucun des héros et franchement, le jeu des acteurs n'est pas terrible et absolument pas convaincant. Plus on avance dans le film et rien ne change malheureusement et à la sortie, en échangeant avec d'autres courageux spectateurs, nous réalisons que nous sommes bien loin d'être les seuls à ne pas avoir du tout accroché à El ojo y el muro du réalisateur Javier del Cid. C'était son premier long métrage, mais il ressemble beaucoup plus à un court-métrage dont il était habitué à tourner. Le seul point positif est la petite durée du film, 78 minutes, largement suffisante. Nous vous laissons vous faire votre propre opinion mais nous, ce film là, nous l'avons déjà oublié.
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