mercredi 9 décembre 2020

太陽戦隊サンバルカン / Sun Vulcan

Attention, ce cinquième ancêtre de Bioman fait apparaître une grande différence avec les héros précédents : c'est la première fois que ce groupe n'est formé que de trois super héros !

太陽戦隊サンバルカン / Sun Vulcan est diffusée sur TV ASAHI de 1981 à 1982 durant 50 épisodes.
Les costumes s'améliorent encore, les casque sont vraiment jolis dorénavant. Un énorme pin's du soleil (sun) vient agrémenter les costumes de ces trois héros sans oublier le foulard blanc qui s'allonge.
Le soleil est présent dans le générique.

- Ryûsuke Ohwashi Vul Eagle I qui sera remplacé durant le 23 épisode par Takayuki Hiba sous le nom de guerre de Vul Eagle II
- Kinya Samejima est Vul Shark
- Asao Hyô est Vul Panther

Si vous comprenez l'anglais, le premier représente l'aigle, le deuxième le requin et le troisième la panthère.

Un avion des forces de défense japonaises est attaqué au-dessus du Pôle Nord par l'Empire des Machines Black Magma. Son dirigeant le Führer Hell Saturn apparaît comme par magie au siège de l'ONU et annonce aux dirigeants du monde qu'il s'apprête à régner sur la Terre. L'ONU donne tous les pouvoirs au Japon pour défendre notre planète de ce danger. C'est la naissance de l'Escadron Solaire Sun Vulcan...

Les alliés :
- Daizaburô Arashiyama
- Misa Arashiyama
- CC (encore un chien)
Les ennemis :
- Le Dieu Black Magma représenté par un cerveau
- Führer Hell Saturn qui contrôle le Dieu Black Magma. Avec des noms pareils, je comprends pourquoi les détracteurs des sentai, à l'époque, considéraient que l'on nous proposait des séries remplies de Nazis 😂
- Reine Hedrian qui nous arrive tout droit du sentai précédent et qui s'allie aux Machines Black Magma avec une tenue différente
- Zero Girls
- Amazon Killer
- Inazuma Gingar
- Dark Q

Leurs soldats sont les Machinemen.
Le super robot détruit ses ennemis par un mouvement de son épée en formant un arc-en-ciel.
Nous terminons ce billet par le générique de l'époque mais surtout avec une autre vidéo de la reprise quelques années plus tard du "Bernard Minet local".
Nous, on adore !

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