Les diaboliques

Hier au soir nous avons branché arte pour suivre un film sorti en 1955, Les diaboliques.

Le film en noir-et-blanc n'inspirait pas trop Frédéric et pourtant, au bout de quelques minutes, nous nous sommes laissés entraîner par ce classique du cinéma français d'Henri-Georges Clouzot.
A l'affiche Simone Signoret, Véra Clouzot, Paul Meurisse, Charles Vanel, Noël Roquevert. Il y avait également quelques débutants : Michel Serrault, Jean Lefebvre et également un jeune garçon de 11 ans que l'on reconnait bien : Jean-Philippe Smet qui allait devenir quelques années plus tard Johnny Hallyday.

L'histoire est angoissante, intrigante, mystérieuse, étonnante.
C'est un film que nous avons beaucoup aimé et dont on se souviendra longtemps.

Michel Delasalle est Directeur d'un pensionnat pour garçon qu'il dirige d'une main de fer et craint des élèves et des professeurs. Mais en réalité l'établissement appartient à son épouse, Christina.
Cette dernière est malade du cœur et doit subir les humiliations de son mari qui la trompe ouvertement avec une autre professeur, Nicole. Cette dernière en a assez de la tyrannie de son amant et est devenue amie avec sa rivale. Nicole pousse Christina à mettre fin à ce cauchemar que Delasalle fait vivre à tout le monde en échafaudant un plan pour le supprimer...

La bande-annonce de l'époque permet de nous mettre dans l'ambiance de ce film.