Samedi, c'était une journée de festivals.
Nous avons débuté à midi, rejoints par Élodie et Maël pour nous rendre aux Gratte-Ciels pour participer à la 5e édition du Festival sur Place ou à Emporter.
C'est Avenue Henri-Barbusse que nous avons fait notre choix de cuisine du monde parmi un grand nombre de food-trucks. Notre choix se portera sur des plats grecs que nous dégusterons à table dans la rue elle-même.
Un rapide tour à la Part-Dieu puis nous avons pris la direction de la Halle Tony-Garnier.
Arrivés un peu plus à l'avance qu'à l'accoutumée, nous avons pu nous placer très près de la scène pour assister au lancement de cette 11e édition et à ce 10e anniversaire du festival.
Les stars font leur entrée par le grand rideau rouge
puis prennent place au milieu de la salle.
La soirée est orchestrée par l'excellent Thierry Frémaux qui fait enchaîner les diffusions de petits montages sur les éditions passées et sur le programme de celle-ci. Un hommage est rendu aux disparus de cette année, Bertrand Tavernier fait un petit discours avec ses éternels "c'est formidable !" puis ils invitent toutes les stars à monter sur scène
pour déclarer cette 11e édition du Festival Lumière ouverte.
La Halle Tony Garnier s'embrase de confettis, la fête est lancée.
Les personnes à l'honneur ce soir sont Nicolas Bedos, Daniel Auteuil et Doria Tillier. On notera les absences de Guillaume Canet et Fanny Ardant qui pourtant venaient les années précédentes.
Il n'empêche que le film dans lequel joue tous ces acteurs sous la direction du fils de Guy Bedos, que nous avions vu au Festival Lumière 2019 en 2016, La belle époque est proposé ce soir en avant-première.
Nous qui nous rendons au Festival Lumière depuis le début (sauf l'édition de 2014), nous avons été surpris car aucun spectateur n'a quitté la salle au moment de la diffusion. Habituellement, on entend un brouhaha durant le premier quart d'heure du film. Cette fois, personne n'a bougé et mieux encore tout le monde est resté jusqu'à la fin du film pour applaudir ce merveilleux film qui nous a été proposé.
La belle époque est un régal et l'histoire est très originale. En plus, on remonte à la meilleure des années : 1974 !
Victor s'ennuie en 2019. Cette époque n'est pas la sienne. Il n'aime pas que tout puisse être livré chez soi, que tout puisse être vu depuis chez soi. Antoine, un ami de son fils, propose une attraction d'un
genre nouveau qui mélangent les artifices théâtraux et les reconstitutions
historiques. L'entreprise propose à ses clients de replonger dans
l'époque de leur choix.
Alors que son épouse le chasse violemment de son domicile, Victor choisit de revivre la semaine la plus marquante de sa vie : celle où il rencontra le grand amour... en 1974...
La belle époque ouvre parfaitement bien l grande fête du cinéma et cette 11e édition du Festival Lumière où nous allons aller voir cinq films durant la semaine à venir...
1 commentaire:
Que du beau monde
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