lundi 18 février 2019

Les Crêtes du Pilat

La météo semblant vouloir rester printanière durant plusieurs jours, nous avons profité de la journée de dimanche pour aller faire une randonnée dans le Pilat.
L'année dernière, nous l'avions faite le 29 janvier, la neige était alors plus fraîche que celle dans laquelle nous avons marché hier.
Arrivés par Saint-Chamond, nous garons notre voiture sur un parking recouvert par la glace en direction de la Jasserie.
Chaussures de randonnée aux pieds, sacs au dos, nous partons pour 13km de marche et pour la plupart du temps dans la neige même si cette dernière fond rapidement avec la hausse des températures.
Tout débute par une montée.
Arrivés sur le chemin des crêtes, nous nous rendons compte qu'il y a beaucoup de monde venus ici soit marcher, soit faire de la raquette, soit courir, soit encore pour certains faire du ski avec un parachute. Pas besoin de remontée mécanique !
Au loin, c'est le Crêt de l'Oeillon
 et à l'arrière nous découvrons un monument naturel de notre région, le Mont-Blanc.
C'est d'ailleurs toute la chaîne des Alpes que nous voyons depuis les hauteurs du Massif du Pilat.
La neige était tombée en abondance jusqu'à il y a peu mais on sent que le manteau blanc vit ses dernières heures.
Nous profitons de ce joli décor qui aura totalement fondu d'ici quelques jours... à moins de nouvelles chutes mais elles ne sont pas attendues... pour le moment.
Au Crêt de l'Oeillon, le vent souffle très fort alors qu'il est presque inexistant ailleurs.
Nous avions prévu le pique-nique et nous nous posons un moment sans trop nous refroidir même si les températures sont plus clémentes que l'an passé.
Finalement, c'est depuis le Crêt de la Chèvre à 1 427 mètres que nous avons le plus beau point de vue.
Nous descendons dans la forêt pour remonter ensuite vers le Crêt de la Perdrix, le point culminant du Pilat (1 431 mètres) que nous voyons depuis chez nous.
 De là-haut, au loin c'est le Crêt de la Chèvre d'où nous arrivons

et encore plus loin, c'est celui de l'Oeillon.
Nous voici de retour au parking, où la glace s'est transformée en eau.
Nous arrivons néanmoins à entrer dans Titine et à changer de chaussures.
Tandis qu'il faisait 8, 9 degrés au Pilat, dans la vallée, le thermomètre extérieur de la voiture indique 17 !

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