Elle a la particularité d'avoir le plus grand nombre d'épisodes puisqu'elle en compte pas moins de 26 contre 6 ou 7 habituellement.
La multiplication des aventures de René Artois et de son petit univers n'a absolument pas appauvri l'histoire et surtout l'humour de cette série.
Les nouveaux personnages, que ce soit le Capitaine Alberto Bertorelli et Mimi Labonq s'intègrent parfaitement dans cette grande distribution dès les tous premiers épisodes.
Deux personnages prennent de plus en plus d'importance dans l'histoire : le Lieutenant Hubert Gruber interprété par l'excellent Guy Siner et l'inoubliable Roger Leclerc et sa réplique culte : it is I... Leclerc. (c'est moi... Leclerc). Roger Leclerc est superbement joué par Jack Haig. L'acteur ne poursuivra malheureusement pas l'aventure de cette série puisqu'il décède en juillet 1989 à l'âge de 76 ans.
Une fois de plus, les aventures de Monsieur René sont hilarantes et j'ai toujours autant de plaisir à les suivre en version originale et à découvrir quel plan va encore avoir Michelle of the Résistance pour tenter d'évacuer les deux parachutistes britanniques.
- Desperate doings in the dungeon
- The camera in the potato
- Dinner with the General
- The dreaded circular saw
- Otherwise engaged
- A marriage of inconvenience
- No hiding place
- The arrival of the homing duck
- Watch the birdie
- René under an assumed nose
- The confusion of the Generals
- Who's for the Vatican
- Ribbing the bonk
- The reluctant millionaires
- A duck for launch
- The exploding bedpan
- Going like a bomb
- Money to burn
- Puddings can go off
- Land mines for London
- Flight to Geneva
- Train of events
- An enigma variation
- Wedding bloss
- Down the drain
- All in disgeese
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