David Wozniak, la quarantaine, est un éternel adolescent qui ne sait pas franchement que faire de sa vie. Alors qu'il avait une vingtaine d'années, David pour gagner de l'argent facilement faisait don de son sperme donnant la vie à 533 enfants.
Or, 142 d'entre eux décident de poursuivre en justice la clinique afin de donner l'identité de Starbuck, le nom d'emprunt que David utilisait.
Lorsqu'il reçoit le dossier des 142 jeunes adultes, il ne peut s'empêcher de jeter un œil à l'un d'entre eux et d'aller à la rencontre de ce premier enfant biologique. Il décide de l'aider tout en restant anonyme.
Puis il ouvre un deuxième dossier et il agit de la même manière.
Puis un troisième, un quatrième, un cinquième...
David voit alors sa vie changer littéralement...
Starbuck est un petit bijou cinématographique.
On assiste au changement du héros au fur et à mesure qu'il rencontre ses enfants biologiques par la force de toutes les différences qu'ils représentent et qui pourtant ont tous un point commun : David Wozniak.
Le film nous fait rire et pleurer.
Il est rempli de bons sentiments et nous réconcilie avec l'Humanité.
Bravo à Ken Scott et à Martin Petit les scénaristes et réalisateurs.
Starbuck nous a bluffé et c'est sans doute l'un des meilleurs films que nous ayons vu depuis longtemps.
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