Acta est fabula

Du latin la pièce est jouée.
Mais tout d'abord pourquoi n'avons-nous pas écrit de billet hier et pourquoi parlons-nous latin dans celui-ci ?

Les deux événements sont liés car hier au soir, nous étions de sortie.
Dans le cadre de la Biennale de la Danse 2018, nous nous sommes rendus au TNP, théâtre très récemment visité lors des derniers Journées Européennes du Patrimoine pour assister au spectacle intitulé Acta est fabula du chorégraphe Yuval Pick.

Installés au deuxième rang du Petit Théâtre Salle Jean-Bouise, tout près de l'ancien regretté Président de la Région Rhône-Alpes, Jean-Jack Queyranne, nous étions idéalement placés pour regarder les cinq danseurs; Julie Charbonnier, Thibault Desaules, Madoka Kobayashi, Adrien Martins et Guillaume Forestier.

En ce qui concerne le spectacle, certaines parties nous ont plu, d'autres nous ont laissé très perplexes. En fait, celle où un danseur seul intervient en hurlant des cris, tantôt de joie, tantôt de douleur, tantôt de jouissance, tantôt de surprise, tantôt de déception... est très surprenant voir perturbantes.
Au contraire, lorsqu'ils se retrouvent à plusieurs, c'est plus harmonieux et plus agréable à regarder.
Nous n'avons pas trop compris le message mais en y réfléchissant, je me demande si en fin de compte il n'y avait pas un affrontement entre l'individuel et le collectif ?
Mais je suis sans doute à côté de la plaque.

NB : je viens de trouver une vidéo dans laquelle Yuval Pick nous apporte quelques précisions sur son œuvre.

Acta est fabula de Yuval Pick, entretien et répétitions from Théâtre de Chaillot on Vimeo.