En France, c'est M6 qui nous a fait découvert la saison 1 mais faute d'audience suffisante, la saison 2 s'est retrouvée sur sa petite sœur W9 l'été dernier.
Je n'avais pas encore donné mes impressions comme je l'avais fait dans le billet intitulé : The last ship : saison 1.
Je terminais mon billet en disant que tout pouvait arriver.
Effectivement, tout arrive puisqu'un anti-virus est finalement élaboré sur l'USS Nathan James.
Le Capitaine de Frégate Tom Chandler et son équipage prennent la direction des États-Unis mais découvrent très vite que le Gouvernement a été complètement éliminé par la maladie. De plus, des groupes de fanatiques, naturellement protégés du virus, suivent un guide qui leur assure qu'ils sont les élus qui doivent repeupler le pays pour mettre en place un nouveau monde dont il serait le chef de ces nouveaux États-Unis sous son régime totalitaire. Il utilise pour arriver à ses fins, un Secrétaire d’État qui a survécu. Tom Chandler décide alors de le libérer du joug de cet illuminé car il est le seul à pouvoir prétendre à la Présidence des États-Unis tels que le pays était avant l'arrivée du virus...
Comment dire ?
Bof, bof, bof !
Trop d'action et trop de violence à mon goût.
On est partis complètement sur une autre histoire en oubliant presque le virus car finalement il n'a pas tué tout le monde encore, il y a plein de personnes immunisés naturellement, l'anti-virus a été trouvé donc il ne fait même plus peur, bref, l'intrigue principale porte plutôt sur le risque de l'installation d'une dictature dans ce grand pays de liberté.
Tiens, cela ne ferait-il pas écho à l'actualité ?
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