Les Visiteurs : la Révolution

En 1993 arrivaient sur nos écrans le Comte Godefroy de Montmirail et son serviteur Jacquouille la Fripouille dans Les Visiteurs.
Par un sortilège lancé par une sorcière, le Comte Godefroy de Montmirail tuait le père de sa future épouse Dame Frénégonde. Celle-ci horrifiée par cet acte refuse de l'épouser et se réfugie dans un couvent. Complètement anéanti, Godefroy fait appel au Mage Eusaebius qui prépare une potion censée le ramener quelques minutes avant le drame mortel. Malheureusement, l'oubli d'un ingrédient propulse le Comte et la Fripouille en 1993 ! S'en suit une histoire très drôle.
En 1998, Les Visiteurs II : les couloirs du temps reprennent les aventures de nos deux héros de retour au Moyen-Âge sauf que Jacquouille a mis à sa place son ptit ptit fillot Jacques-Henri Jacquart. A cause de cela et de bijoux volés, restés en 1993, les couloirs du temps ne se sont pas refermés et les voici de retour dans le futur. L'histoire est toujours très drôle et se termine encore par une erreur du mage qui propulse Godefroy de Montmirail et Jacqouille la Fripouille en pleine Révolution Française.
Il faut attendre 2016 pour enfin avoir une suite avec Les Visiteurs III : la Révolution.

Le Comte Godefroy de Montmirail et Jacquouille la Fripouille sont arrêtés car en possession d'objets venant sans doute de l'ennemi anglais. Ils sont menacés d'être décapités. Mais Godefroy ne fait qu'une bouchée des gardes révolutionnaires et s'échappe pour retrouver sa descendance qui tente soit de fuir, soit de vivre avec les changements apportés par cette Révolution. Nos deux héros vont alors affronter la Terreur de Robespierre...
Maël et moi avons passé un bon moment à retrouver ces deux mythiques personnages venus de ce lointain Moyen-Âge et confrontés à ces nouvelles idées répandues à la Révolution mais aussi à sa violence souvent aveugle. J'ai aimé retrouver la bande-son des deux précédents opus dont le célèbre générique remis au goût du jour.
Même si dans l'histoire, on nous explique pourquoi les héros ont vieilli, on sent que Jean Reno n'est plus en aussi grande forme qu'auparavant. Christian Clavier égal à lui-même retrouve son personnage fétiche.
Vite, la suite, car suite il y aura.