lundi 2 juin 2014

A surveiller comme le lait sur le feu

Pourquoi cette expression en titre du billet de notre blog ?
Rien à voir avec nos dernières vacances, mais je dirai plutôt que c'est une conséquence du retour de vacances.
Allez, je sens que vous brûlez, le mot est d'actualité, d'impatience pour lire ce qui nous est arrivé aujourd'hui.
Comme à mon habitude, travaillant plus loin que Frédéric, je quitte la maison le premier, vers 7h00 du matin, le laissant se doucher, s'habiller et petit déjeuner tranquillement.
Ce matin, le réveil a été plus difficile puisque nous nous étions habitués aux horaires de vacances.
Ma journée de reprise s'est déroulée sans encombres.
J'ai retrouvé mon quotidien et mes collègues de bureau.
Tout cela ne me manquait absolument pas !
J'imagine que pour Frédéric ce fut la même chose.
En rentrant il y a quelques minutes, mon odorat m'a alerté d'une odeur suspecte.
Odeur rappelant vaguement le caramel brûlé, voir l'appareil électrique en surchauffe.
Mon catalogue olfactif a immédiatement trouvé l'origine de cette odeur car elle émane régulièrement des bureaux où se trouvent les machines à café à mon travail.
Bingo, l'odeur provient de la cuisine et de notre propre machine à café.
Le pauvre Frédéric devait avoir la tête encore en vacances ce matin, car; je ne bois pas de café; il a oublié de l'éteindre avant de partir.
Forcément, le fond de café qui restait, a chauffé, chauffé, chauffé... jusqu'à se transformer en une sorte de pâte noire.
Plus de peur que de mal, il n'y a pas d'autres dégâts, si ce n'est le fait que la zone entourant la cafetière était relativement chaude.
Heureusement que ce n'était pas lorsque nous sommes partis en vacances !



Aucun commentaire: