Avant cela, nous visitons le Museo Galileo, divertissant à la fin, lorsque l'on peut faire des expériences.
Le musée nous offre une très belle ville sur l'Arno et le Ponte Vecchio.
Sur les quais, tandis que nous cherchons nos cartes postales, nous avons la chance de prendre en photos ces deux policiers.
Leur tenue est tellement différente des nôtres.
De l'autre côté du fleuve se dresse le Palais Pitti qui tient le nom de son premier propriétaire Luca Pitti qui le fit construire en 1458.
C'est la famille Médicis qui le rachète en 1549.
De l'intérieur, vous n'aurez aucune photo car elles sont interdites.
Et pourtant il y avait tant de choses à voir dans la Galerie Palatine, les appartements royaux, la Galerie d'Art Moderne, le Musée de l'Argenterie, la Galerie des Costumes.
Nous ne nous rendrons pas dans le Musée des Transports ni dans celui de la Porcelaine car nous trouvons que nous en avons déjà vu beaucoup.
Tandis que le ciel se couvre un peu, nous partons à la découverte des Jardins de Boboli.
Pour monter au sommet des jardins, Rob et moi improvisons une course.
USA : 1 France : 1 (et j'avais mon sac à dos !)
L'honneur est sauf pour nos deux pays.
Nous faisons une halte, assis dans l'herbe, à admirer le Palais et la ville.
De retour au centre ville de Florence, nous prenons un bus pour le village de Fiesole d'où l'on a un très beau panorama de Florence au soleil couchant.Le panorama est là, mais le coucher de soleil non du fait de l'épaisse couverture nuageuse.
Dommage.
Le village organise une petite fête : des jeunes filles défilent dans différents costumes mais il semblerait que ces différents habits ne leur plaisent pas du tout car, passez moi l'expression, elles tirent une de ces tronches !
Nous nous amusons à voir le jury composé d'élus de la commune sans doute.
Il y a également de l'autre côté de la place, un mariage. Les jeunes mariés s’engouffrent dans cette vieille voiture italienne.
Nous prenons l'apéritif sur une terrasse (nous payons la vue !) mais dégustons tout de même un délicieux Spritz.
De retour en ville en empruntant le bus dans le sens inverse de notre venue, et après un bref passage à l'appartement, nous allons dîner en terrasse au restaurant Cibreo, restaurant où nous mangerons très bien.
Par contre, nous prenons des fous rires toute la soirée après que notre pauvre Rob demande à notre serveur s'il est possible de manger du pain grillé avec de l'huile d'olive en guise de biscuits apéritifs.
La réponse de ce dernier, le serveur, pas le biscuit apéritif, sur un ton très sévère, est du genre : "Ne me fais pas suer pauvre Yankee, c'est non !"
Si bien qu'à chaque fois qu'il passera près de nous ou qu'il viendra nous voir si tout va bien, nous nous amuserons à faire peur à Rob en disant que le méchant serveur venait le gronder !
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