
Jean Gabin, alors en perte de vitesse dans sa carrière, a le rôle principal, ce qui lui permettra de reprendre le chemin des tournages. Il faut également noter, la première prestation d'un jeune premier, Lino Ventura.
C'est agréable de voir un film en noir et blanc et de faire un bond dans les années 50, de revoir les voitures, les appartements de l'époque mais surtout d'entendre les dialogues avec des termes bien spécifiques du milieu parisien.
Et nous devons vous l'avouer, nous ne l'avions jamais vu !
C'est ça la magie du Festival du Cinéma Lumière : nous donner l'occasion de revoir des classiques ou des films venant du monde entier.
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