vendredi 30 octobre 2009

Mathématique du crime

Le 22 février dernier, je mettais un commentaire sur ce livre que Frédéric avait lu.
Je terminais en disant : "Des maths dans une histoire ? Vais-je me laisser tenter alors que cette matière a toujours été pour moi plutôt repoussante ?"
Je me suis laissé tenter et bien je peux vous dire que cela n'a pas été la meilleure idée de l'année.
L'histoire est longue et ennuyante. L'auteur se perd dans ses explications si bien qu'en lisant le livre vous tombez sur des phrases du genre : "... La matrice se trouve dans ce premier meurtre, ce cercle est comme le zéro des nombres naturels, un symbole doué de la plus grande indétermination, certes, mais qui en même temps détermine tout..." ou encore "... Ce que je parvins à prouver, fondamentalement, c'est que si une interrogation mathématique peut être formulée à l'intérieur de la même échelle que les axiomes, alors elle se situera dans le monde habituel des mathématiciens et aura donc une démonstration ou une réfutation..."
Alors là, moi je dis halte.
Pour celles et ceux qui ne le savent pas, je lis habituellement mes livres, avant de me coucher, et bien je peux vous avouer, que lire ce genre d'ouvrage alors que le sommeil vous gagne, pardonnez-moi l'expression, c'est pas d'la tarte !
En écrivant ces deux extraits je ne comprends rien alors imaginez lorsque le Marchand de Sable se trouve tout près de vous : ce texte devient un vulgaire charabia, une langue que vous ne maîtrisez plus.
Mais comme je suis têtu, je suis allé jusqu'au bout.

1 commentaire:

Elodie et Maël a dit…

Tu m'a filé la migraine j'ai rien compris à ta phrase!!!!De toute façon dès que je vois le mot MATHS mon cerveau se bloque...c'est dingue!!!!