dimanche 1 juin 2008

ΑΘΗΝΑ (Athènes)

C'est avec quelques heures de retard que nous arrivons à l'aéroport international d'Athènes : Eleftherios Venizelos (http://www.aia.gr/)
Sans aucun contrôle douanier cette fois, nous entrons sur le territoire grec.
Nous nous dirigeons vers l'agence de location de voiture Sixt.
Notre interlocutrice parle un peu le français et nous informe que nous roulerons en Peugeot 107.

Il ne reste plus qu'à trouver sa route dans les rues de la capitale pour nous rendre à l'hôtel. Nous n'avions acheté aucun plan de la ville avant notre départ car nous comptions sur le G.P.S. de Frédéric mais nous avons eu la malheureuse surprise, la veille, de nous rendre compte que l'option Grèce n'est pas incluse dans l'option Europe !
Nous réclamons alors un plan à l'employée qui nous donne une carte très peu informative sur les routes. Elle ne sera pas utile. Nous décidons de dépenser nos premiers euros par l'achat de cet outil dans une librairie. Le seul problème c'est que nous ne trouvons aucun plan de la ville avec les noms des rues en alphabet latin !
Ça promet d'être dur !
Nous prenons alors une grande décision : nous jeter dans les rues d'Athènes à l'aveuglette. Que faire d'autre de toute façon !
Nous récupérons notre véhicule (de couleur noire brillante) à l'extérieur de l'aéroport où règne une chaleur étouffante. La pluie de France est loin derrière nous.
Je m'installe au volant de cette petite voiture (je mettrai du temps à trouver le point de patinage !) et Frédéric prend le titre de co-pilote. Nous arrivons à nos premiers panneaux de signalisation et nous découvrons qu'ils sont à la fois écrits en alphabet grec et latin.
Nous quittons l'aéroport et commençons à rouler sur une autoroute grecque. Nous sommes alors confrontés aux automobilistes grecs qui ont, il faut l'avouer, une conduite encore plus libre que celle de leurs confrères italiens. Il faut que je me concentre énormément pour m'intégrer dans cette circulation.
Déjà, les premières maisons d'Athènes approchent et après avoir tourné un peu dans tous les sens, après avoir patienté dans les immenses embouteillages de la ville, nous apercevons un immense parking qui nous semble gratuit et nous garons notre véhicule au pied du Zappeion (lieu où se tiennent de grandes réceptions, des meetings... inauguré le 20 octobre 1888. Il a été utilisé en 1896 et 1906 pour les Jeux Olympiques) Nous apprendrons plus tard que nous sommes dans le plus grand parc de la ville : Ethnikos Kipos (Le Jardin National)

Nous empruntons les allées du parc bordées de citronniers, d'immenses palmiers, d'arbres couverts de fleurs odorantes pour une immense avenue où se trouvent des kiosques. Nous sommes toujours à la recherche d'un plan. Finalement, nous en trouvons un, en alphabet latin, et demandons même au commerçant de nous indiquer notre hôtel sur la carte : nous en sommes à deux pas !
Bravo Frédéric !
Ne serait-ce pas l'Acropole que nous devinons au loin ?


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